Macron, nouvelle étape de la déconstruction du politique

...commémore quand même la fondation de la Ve République :

On n'a pas fini d'en entendre parler [3]

On n'a pas fini d'en entendre parler...

Arrogance retrouvée : la Macronie de nouveau en marche

Le boss montre les dents, l'affaire serait donc finie :

Peut-on escamoter une affaire tout en la disant "grave" ?

La prestation de M. Macron ne dissipe pas le malaise public :

Benalla, sous-produit de la Disruption

Visionner les débats de la commission, expérience instructive :

M. Benalla n'est pas un problème mais un symptôme

Tollé général parce que le président de la République a un triste copain... On aimerait que sa politique soulève autant d'indignation :

Le discours de Macron à Versailles [2]

"En marche" vers le darwinisme social, estime G. de Prémare :

OTAN : Macron parle dans le vide

En dépit du choeur des dirigeants de l'UE, l'Otan ne sert à rien : 

Prix de vente du livre : le cas Nyssen et son effet pervers

Pour conflit d'intérêts (évident), la ministre de la Culture perd la régulation économique du secteur de l'édition littéraire. C'est logique par rapport à Mme Nyssen. Mais est-ce un premier pas vers une abolition - favorable à Amazon -  de la loi Lang, qui garantissait le prix unique du livre et la survie des librairies ?

Macron joue les souverains à Versailles [1]

...mais sa souveraineté est en trompe-l'oeil :

Le "trou d'air sondagier" de Macron

La rhétorique du ruissellement ne trompe personne :

En politique les faits sont la seule chose qui compte

Ce lundi à Radio Espérance, je reviens sur l'entrevue pape-Macron :

Le pape accorde 57 minutes à Macron

Le président français invite à son tour le pape à venir en France. Attendons la suite, mais la question n'est pas aussi simple que naguère... en raison notamment du climat régnant dans une fraction des milieux catholiques français :

Le gouvernement brade les barrages au privé

Décision aberrante mais conforme à l’idéologie eurolibérale :

Macron à Saint-Pétersbourg : faiblesses et contradictions

On ne peut à la fois parler de "souveraineté" et se résigner à n'être que membre d'un "Occident collectif" sous suzeraineté américaine :

Non, M. Macron, il y a beaucoup d'autres choix...

Ma chronique d'hier à Radio Espérance :

Célébrons toutes et tous en choeur l'an I de Macron (2)

...par une autre citation des Mémoires de Mme de Chastenay, cette fois sur Napoléon Bonaparte :

► « L'empereur donnait le change aux gens de l'autre ligne en prétextant une grandeur philosophique et en y ajoutant une force de volonté qui devait broyer tous les genres d'opposition. »

 

 

Macron, an I : célébrons en choeur "le Plus Beau, le Plus Fort et qui Parle Anglais" (dixit reportage du service public à Laval dont la population vota Macron à 85 %)

Puisque le Souverain aime les "racines" dont la "sève" (discours des Bernardins) est censée irriguer son régime, en voici une, tirée des Mémoires de Mme de Chastenay sous la Révolution et l'Empire...

► Sur le ministre de la Police Joseph Fouché :  « Il avait pour principe d'avancer entre les partis, d'étourdir les masses, de les accabler et de faire servir tous les individus, de les neutraliser du moins par l'espérance, la vanité et l'intérêt »

 

Macron insolemment ultralibéral : "NO OTHER CHOICE !"

Cette interview devrait révolter les catholiques... Est-ce le cas ?  

Le plan Borloo et "le système qui se ment à lui-même"

Le plan Borloo est ambitieux. Mais il est coûteux : chose interdite par Bruxelles. On peut donc s'interroger sur le degré de sincérité du gouvernement qui avait commandé ce plan :

Retour de chez Trump

Le bilan de la visite Macron n'est pas positif :

En refusant le projet NDDL, Macron se démasque

Comparaison paradoxale (et en partie discutable) entre le projet Notre-Dame-des-Landes et les promesses de Macron - mais qui dévoile la véritable nature du macronisme :

Economie US : ce qui n'instruira ni M. Emmanuel Macron ni sa troupe de commerciaux...

 

...ni la droite (y compris ses cercles bien-pensants, euphoriques depuis le discours des Bernardins) :

Macron attire à Paris la “malédiction de la finance”

Privilèges fous, inégalités galopantes, désinvestissement de l'économie réelle, spéculation immobilière, dépérissement des villes moyennes... Un avertissement qui nous vient de Grande-Bretagne :

La "présidence des riches" choque même à LRM

 

Vote de la "flat tax" (globish !) abaissant fortement l'imposition des revenus financiers... Mais le député LRM Joël Giraud se joint à la gauche pour demander une étude d'impact sur les effets de la réforme de l'ISF. Réponses furieuses du gouvernement :

Emmanuel Macron, président normal

Affirmations inexactes, enfonçages de portes ouvertes, sa prestation d'hier ressemblait à celles de Sarkozy et de Hollande :

Macron, virtuose du double langage

Une "relance de l'Europe" (notamment militaire) par l'Elysée ?

Un "piège redoutable" : pour qui, et pour quelle raison ?

Dans "la confrontation Macron-Mélenchon", des commentateurs voient "un piège redoutable pour la France". Il y a plusieurs failles dans ce raisonnement :

Macron veut "une France capable de se faire entendre" ?

Il a raison : alors elle doit sortir de l'Otan. Sinon elle et l'Allemagne finiront en champ de bataille, dans la guerre que visiblement la classe politique US veut rendre inéluctable contre la Russie :

France : 44 % des bénéfices captés par les actionnaires

Les derniers chiffres détruisent le dogme libéral du "ruissellement", et montrent que la financiarisation (libéralisme réalisé) est le pire ennemi de l'économie réelle :

Rentrée sociale chaude pour Emmanuel Macron ?

La réforme du code du travail va-t-elle profiter à l'économie réelle... ou à la volatilité financière ?

La machine a dit : "raboter l'aide au logement"

L'algorithme se fout des pauvres :

Hypermarchés : l'agonie des villes moyennes

Contradiction entre la politique de M. Macron et ses promesses :

Budget de l'armée : Pierre de Villiers démissionne

Le président de la République ne peut pas, 'en même temps', faire des cadeaux à la finance... et  financer l'armée française :

Macron en actes : n'est pas de Gaulle qui veut

Le one man show macronien ne fait que prolonger l'atlantico-libéralisme de Sarkozy&Hollande (à l'opposé de l'héritage gaullien) :

Budget Macron : le libéralisme va coûter très cher

Éperonné par des libéraux absurdes, l'Elysée-Matignon dépouille les services publics (armée, police) pour financer des baisses d'impôts bénéficiant aux plus riches :

L'ère Macron : à quoi peut-on s'attendre ?

Les premiers actes en donnent un aperçu :

La France capitule sur les perturbateurs endocriniens

Le gouvernement passe aux actes.  En voilà un beau :

Sondages : macronisation quasi-générale à droite ?

Cette bouffée transpartisane est assez compréhensible. Mais l'alliance de presque tous contre très peu esquiverait les réalités :

Peu de voix, beaucoup d'élus. Analyse non-conformiste...

...proche (en partie) de ce qu'on a dit ici. À lire dans Le vent se lève :

http://lvsl.fr/en-marche-et-la-france-insoumise-s-affirme...

'En marche' : le fragile triomphe

Les 57 % d'abstentions donnent le sens profond du scrutin d'hier :

Pour que Macron ne soit pas Louis-Napoléon

Quelques moyens simples d'éviter l'hyper-pouvoir caricatural :

Du talent, et bientôt des super-pouvoirs. Pour quoi faire ?

Navré de troubler le choeur des anges, mais il y a des questions :

"Le pays est à droite" : et la droite a voté Macron

De Fillon à Macron, c'est la dynamique du bourgeois perpétuel :

"Relancer l'Europe" : vers où, et pour quoi faire ?

Sur quelle musique danse le couple Merkel-Macron ?  Peut-être celle du rapport de la Commission publié hier. Une musique qui ressemble à un cliquetis d'engrenage : 

"Cavalier français" ou virtuose de la com' ?

Adulé par les médias pour son entrée spectaculaire sur la "scène internationale", Emmanuel Macron devra très vite montrer l'idée qu'il se fait du monde réel :

Abolir l'article 101 ! Empêcher la délocalisation !

Deux réformes vitales. M. Macron veut-il ?  On va voir ça :

Macronisme : ce qu'annonçait Gaël Giraud

 

Dès janvier, Macron ne faisait pas illusion à l'économiste jésuite :

"Société civile" : un trompe-l'oeil

La Macronie représente surtout la France d'en-haut : ce qu'à Bruxelles on appelle "société civile" depuis un certain rapport de la Commission. Coup d'oeil sur ce gouvernement et ces candidats :