Tunis hue BHL

... et devrait huer Sarkozy : 

Tout ça pour ça ? Washington rouvre ses ambassades

 

Obama et le grand-guignol de "l'alerte mondiale" :  

 

Le bilan du voyage du pape au Liban

selon le Saint-Siège :

Syrie : après Bachar el-Assad, quoi ?

Une question que les Occidentaux devraient se poser :

http://www.marianne2.fr/Syrie-les-dangers-de-l-apres-Bashar-el-Assad_a220851.html 

 

Témoignages dérangeants sur le séisme arabe

http://www.franceculture.fr/emission-carnet-nomade-festival-al-kalimat-de-tunis-2012-04-28

Au premier festival du Marathon des mots (Al Kalimat, "la parole"), tenu à Tunis du 6 au 8 avril, l'émission  Carnet Nomade de France Culture a donné la parole à des intellectuel(les) de Tunisie, d'Algérie, du Liban et d'Egypte. Résultat : un discours très incorrect sur les événements récents. Des Arabes nous ouvrent les yeux sur "les coulisses invisibles de ces révolutions, le financement du fondamentalisme, le statut de la femme, le pouvoir réel du salafisme'', ou sur le fait que "l'islamisme a le souci de la solidarité (inscrite dans le Coran) mais pas de la justice sociale, et ne s'attaque pas aux causes de la pauvreté" ... etc.

Le P. Samir Khalil Samir parle du printemps arabe

"J'aurais tendance à dire que nous allons vers une plus grande démocratie... Il est clair que les jeunes ne sont pas manipulés par des mouvements radicaux, par des extrémistes. En Égypte c'était assez clair, par exemple musulmans et chrétiens étaient main dans la main... Ce Ce ne sont, en aucun cas, des extrémistes radicaux..."

http://www.zenit.org/article-27136?l=french

Tunisie : quel avenir économique ?

Un pays peut-il s’en sortir quand il n’a presque pas de pétrole et que beaucoup d’emplois dépendent des sociétés étrangères, avec des salaires assez bas ? Investig’Action a interrogé Saïd Bouamama, Mohamed Hassan et Michel Collon… (Interview Ramy Brahem et Abdellah Boudami) :

Pays arabes : "un changement prometteur" que nous devons aider "sans peur", déclare le Vatican

Cette "grande révolution" promet un "printemps", souligne le P. Federico Lombardi dans Octava Dies :

De quoi Boillon est-il le nom ?

Notre effarant "ambassadeur" à Tunis

n'est pas si effarant que ça...

C'est plutôt un cas typique :