15/08/2019
QUINZE-AOÛT
(création 'Convergences bolcho-catholiques')
00:25 Publié dans Cathophilie, Idées | Lien permanent | Commentaires (1)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
D | L | M | M | J | V | S |
---|---|---|---|---|---|---|
1 | 2 | |||||
3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 |
10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 |
17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 |
24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 |
« "L'argument Thunberg" : pas ça, ou pas eux ! | Page d'accueil | Les médias et l'évolution du "vote catholique" »
(création 'Convergences bolcho-catholiques')
00:25 Publié dans Cathophilie, Idées | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
DEPOSUIT POTENTES
> Le "deposuit potentes de sede / et exaltavit humiles" n'est pas uniquement une allégorie de vie spirituelle, comme le voudrait Rémi Brague à propos du Bon Samaritain. C'est aussi une vision anthropologique et sociale ! L'éphémère des puissances temporelles a ceci de providentiel qu'il relativise radicalement les orgueils terrestres.
C'est ce que ne pouvait accepter Maurras, dont la vision de la vie plafonnait dans la résistance à l'éphémère... (Jusqu'à sa vieillesse il ne perçut aucune autre forme de transcendance que cette horizontalité). Et il reprocha au christianisme de miser sur autre chose. D'où son célèbre texte contre "le venin du Magnificat", dans sa préface de 1894 au 'Chemin de Paradis'.
______
Écrit par : PP / | 16/08/2019
Les commentaires sont fermés.