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23/11/2013

Aujourd'hui : le dimanche du ''Christ, Roi de l'univers''

Ne surtout pas confondre sa royauté avec le slogan (micro-clanique) d'un ''retour de la chrétienté'' :

jésus-christ,christianisme,catholiques

 


 

Ce dimanche est celui du Christ Roi de l'univers. L'évocation de cette royauté clôt chaque année le cycle liturgique, avant le recommencement de la grande dramatique de la Rédemption : l'Incarnation, la Passion-Résurrection, la Pentecôte...

 

En quoi le Christ est-il le Roi ? Ouvrons le Catéchisme de l'Eglise catholique. Au § 763 : « Il appartient au Fils de réaliser, dans la plénitude des temps, le plan de salut de son Père ; c'est là le motif de sa ''mission''... Pour accomplir la volonté du Père, le Christ inaugura le royaume des cieux sur la terre... Ce Royaume brille aux yeux des hommes dans la parole, les oeuvres et la présence du Christ... » Au § 764 : «  À ceux qu'il a ainsi rassemblés autour de lui, il a enseigné une ''manière d'agir'' nouvelle... » Au § 767 : « ''Jusqu'à ce jour [celui du retour glorieux du Christ], l'Eglise avance dans son pèlerinage à travers les persécutions du monde et les consolations de Dieu'' [St Augustin : cf. Vatican II, Lumen Gentium 8]... La consommation de l'Eglise et, à travers elle, celle du monde, dans la gloire ne se fera pas sans de grandes épreuves. »

 

Ce que la Lettre aux Hébreux (11, 14 – trad. Bible AELF) annonce ainsi : « C'est dans la foi, sans avoir connu la réalisation des promesses, qu'ils [les patriarches bibliques] sont tous morts ; mais ils l'avaient vue et saluée de loin, affirmant que, sur la terre, ils étaient des étrangers et des voyageurs. Or, parler ainsi, c'est montrer clairement qu'on est à la recherche d'une patrie. S'ils avaient songé à celle qu'ils avaient quittée, ils auraient eu la possibilité d'y revenir. En fait, ils aspiraient à une patrie meilleure, celle des cieux. Aussi Dieu n'a pas honte d'être appelé leur Dieu, puisqu'il leur a préparé une ville... »

 

La mission du chrétien est « d'avancer » vers la Cité de Dieu. Ajoutons à cela la dimension cosmique du Salut, annoncée par la Lettre aux Romains (8, 18-23 – Bible AELF) : « La création attend avec impatience la révélation des fils de Dieu. Car la création a été soumise au pouvoir du néant, non pas de son plein gré, mais à cause de celui qui l'a livrée à ce pouvoir. Pourtant, elle a gardé l'espérance d'être, elle aussi, libérée de l'esclavage de la dégradation, pour connaître la liberté de la gloire donnée aux enfants de Dieu. Nous le savons bien, la création tout entière gémit, elle passe par les douleurs d'un enfantement qui dure encore. Et elle n'est pas la seule. Nous aussi, en nous-mêmes, nous gémissons ; nous avons commencé à recevoir l'Esprit Saint, mais nous attendons notre adoption et la rédemption de notre corps. Car nous avons été sauvés, mais c'est en espérance... »

 

Joseph Ratzinger souligne cette double dimension du salut, à la fois historique et cosmique, dans L'Esprit de la liturgie (p. 24, éd. Ad Solem) :« On comprend généralement le sacrifice comme l'offrande faite à Dieu d'une réalité précieuse à l'homme : l'objet de l'offrande, pour prendre toute sa valeur, devrait être définitivement soustrait à l'usage de l'homme, donc détruit. On se pose d'emblée la question : quelle joie Dieu prendrait-il à cette destruction ? […] Dans la vision des Pères de l'Eglise, qui suivent en cela la pensée biblique, le véritable don consiste dans la réunion de l'homme et de la Création avec Dieu. Or l'union avec Dieu n'a rien à voir avec la destruction ou l'annihilation, mais tient plutôt à un mode d'être. Elle implique le renoncement à l'état de séparation, à cette apparente autonomie qui consiste à vivre uniquement en soi et pour soi. Elle implique la perte de soi-même, unique possibilité de se trouver (cf. Marc 8,35 ; Matthieu 10,39). On comprend alors, avec saint Augustin, que le véritable ''sacrifice'' soit la Création, l'humanité devenue amour, dans la déification de la Création et l'abandon de toutes choses en Dieu. ''Dieu tout en tous'' (1 Corinthiens 15,28), telle est la finalité du monde et tel est le but essentiel du sacrifice et du culte. Voilà qui nous permet d'affirmer que le culte et la Création ont en commun la déification, l'édification d'un univers de liberté et d'amour. »

 

Que l'homme soit pour le Créateur le prêtre de la Création (inséparablement humaine et environnementale) qui lui est confiée, exclut évidemment qu'il la saccage. Tout système de saccage est une auto-idolâtrie de l'homme.

 

Mettre un tel système sous le patronage du mythe de la ''chrétienté'' serait un blasphème...

 

Or lisez les fables de ''retour de la chrétienté'' qui fleurissent ici et là ces temps-ci : elles rejettent non seulement le social mais le souci de l'environnement. Elles véhiculent les mots d'ordre d'une droite pour laquelle le social c'est ''l'assistanat'', et l'écologie  ''le gauchisme''. L'idée qu'elles se font de la ''chrétienté'' répond au fantasme d'un micro-milieu : exorciser le présent au nom du passé – un passé lyophilisé en images pieuses. Le premier Moyen-Âge fut une chrétienté (une société dont les normes se voulaient chrétiennes) parce qu'alors presque tout le monde en Europe était chrétien ; situation sans commune mesure avec celle de 2013, où très peu d'Européens adhèrent à la foi. L'Europe est devenue terre à évangéliser. Parler de ''chrétienté'' dans ces conditions serait le contraire de l'évangélisation. Compte tenu du terrain, ce serait, au choix : a) pactiser avec le matérialisme mercantile, b) s'enfermer entre soi, très petit nombre partageant une même conception de la société et de la religion... La formule a et la formule b étant d'ailleurs chacune contraire à l'Evangile, si l'on en juge par ce qui s'écrit sur les sites dédiés à cette utopie contradictoire. (Qu'est-ce que leur ''chrétienté'' pour aujourd'hui ? Une salle de marchés avec de bons jeunes gens aux claviers, une forêt de tours de multinationales pétrogazières avec des aumôniers motorisés ? Ou bien un château-fort néogothique peuplé de Cyrillus  avec, aux créneaux, des identitaires casqués ? Dans les deux cas on serait hors de la perspective chrétienne).

Les fabulistes feraient mieux de lire Ratzinger, qui les vaccinerait contre le libéralisme ! (op.cit.: ''l'union avec Dieu implique le renoncement à cette apparente autonomie qui consiste à vivre uniquement en soi et pour soi''). Et d"écouter honnêtement François, plutôt que de se gaver d'élucubrations de journalistes romains pour se persuader que ce pape ne sait pas ce qu'il dit...

Le Christ est le Roi eschatologique de l'univers : ne donnons pas ''honte à Dieu d'être appelé notre Dieu'' en faisant de Lui la caution de nos peurs, de nos ridicules et de nos hypocrisies.

 

 

 

Voir aussi 2012 :

http://plunkett.hautetfort.com/archive/2012/11/25/le-christ-roi-de-l-univers.html

 

  

Commentaires

JOURNALISTES ROMAINS

> " se gaver d'élucubrations de journalistes romains pour se persuader que ce pape ne sait pas ce qu'il dit" :
l'article de Sandro Magister qui tourne en boucle dans la blogosphère intégriste française est une désinformation.
Il fait croire que le retrait du Scalfari du site du Magistère est un désaveu de ;l'esprit de l'article, alors que c'est un simple mesure de bon sens, une interview n'étant pas un acte magistériel.
Et il fait croire que le pape ne pense plus du bien de Vatican II, avec pour seul argument une sombre querelle entre deux exégètes qui n'intéresse absolument personne en Italie.
En vérité il y a une phobie contre François dans certains milieux catholiques français. Ceux qui prenaient Benoit XVI pour un intégriste comme eux, ce qu'il n'a jamais été un seul instant !
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Écrit par : leoluca / | 23/11/2013

> Rappelez-vous le rôle d'enfumeur joué par Magister tout au long de l'affaire des négociations avec les lefebvristes. A l'en croire ça y était c'était fait ou presque, sauf méchant complot de franc-maçons infiltrés au Vatican, etc.
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Écrit par : louis rossel / | 23/11/2013

TOUTES LES NATIONS

> Je ne connais qu'une chose "Allez enseigner toutes les Nations, baptisez les au nom du Père du Fils et du Saint Esprit" Cela n'a rien à faire avec la chrétienté.
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Écrit par : Caillaud / | 23/11/2013

ATTENTION ?

> Attention. Il semble que ce soit un peu plus emmerdant que ça. A mon regret.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/11/22/01016-20131122ARTFIG00499-les-dessous-de-la-vraie-fausse-interview-du-pape.php

H.


[ PP à H. - Si le pape a fait confiance à Scalfari, Le Figaro fait confiance à Magister. Souvent à tort... C'était déjà le cas à propos des lefebvristes : or c'est nous - non pas Magister ni Le Figaro - qui avons eu finalement raison dans les faits. ]

réponse au commentaire

Écrit par : Haglund / | 23/11/2013

LA REPONSE

> La réponse la meilleure et la plus radicale en 8mn, à la question "Quel est notre Roi ?" à méditer et intérioriser (à partir de 42mn) :
http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveautes/messe-a-notre-dame-de-paris-messe-du-22-novembre-2013/00079988
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Écrit par : Isabelle / | 23/11/2013

A P.P. :

> Inch'allah !

H.


[ PP à H. - mektoub. ]

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Écrit par : Haglund / | 23/11/2013

à PP

> Il convient de distinguer totalement l’article de Magister du papier de Guénois sur Scalfari. JM Guénois ne fait pas écho à Magister, il a émis des doutes sur l’authenticité du travail de Scalfari (publié le 1er octobre) dès le 4 octobre. Et Scalfari avait à l’époque concédé à Guénois qu’il avait réalisé cet entretien sans notes ni enregistrement. Par ailleurs, Andrea Tornielli a émis des doutes dès le 2 octobre, c’est-à-dire le lendemain de la publication. Les services du Vatican ont retiré l’interview jeudi dernier, officiellement pour distinguer un acte du magistère d’un travail journalistique. Mais le problème est plus profond. Appelé à se justifier après ce retrait, Scalfari a admis lui-même dans la foulée avoir attribué au pape des propos qu’il n’avait pas tenus. C’est grave de sa part. Cet aveu disqualifie totalement le document Scalfari et traduit une fois encore les dysfonctionnements des services du Vatican, ce qui n’est malheureusement pas nouveau. Au départ, il n’était pas convenu que l’entretien entre Scalfari et le pape fasse l’objet d’une publication sous forme d’interview, il s’agissait davantage d’une conversation privée à l’invitation du pape, mais c’était un peu flou. Scalfari a soumis le texte avant publication, mais le pape ne l’a pas relu, c’est l’un de ses secrétaires qui a donné l’accord, alors qu’il n’avait pas assisté à l’entretien.
Bref, l’information majeure de jeudi, c’est bel et bien l’aveu de Scalfari qu’il a traité comme citation, entre guillemets, des propos que le pape n’a pas formellement tenus. Cela corrobore le fait que cette interview ne pouvait rester dans la liste des paroles officielles du pape. D’une certaine manière, l’interview Scalfari n’existe plus.

GP


[ PP à GP :

a) Je ne faisais pas allusion à l'article de JM Guénois auquel tu sembles faire allusion, mais
à un papier non signé et très "dramatique".
b) Ne dramatisons rien. Et n'apportons pas d'eau au moulin de pseudo-papistes anxieux, secrètement hostiles à François et acharnés à nous dire que dans l'Eglise il ne peut ni ne doit jamais rien y avoir d'autre que leurs "PNN" !
Ces faux amis du pape ne sont en phase ni avec lui, ni avec les évêques. Ils sont l'éteignoir de la nouvelle évangélisation. ]

réponse au commentaire

Écrit par : Guillaume de Prémare / | 23/11/2013

Merci pour cet article rappel sur le Christ Roi.

> Je m'émerveille un peu plus chaque jour de voir comment, dans les évangiles, la royauté du Christ est savamment distinguée d'une royauté politique. On peut penser aux passages bien connus où Jésus doit fuir ceux qui veulent le faire roi, et évidemment, on sourit en lisant cela... Même... même quand on est un adepte d'une variante quelconque d'augustinisme politique : parce qu'on se dit qu'évidemment, le Christ devait mourir et ressusciter, alors forcément il ne pouvait pas être roi d'Israël pendant sa vie publique... et parce qu'on croit qu'il est venu pour être roi de toutes les nations, mais de la même royauté que l'on refusait à Israël !!!

Sauf que... il y a des perles dans les évangiles qu'il faut redécouvrir, comme l'enseignement du récit des pèlerins d'Emmaüs (j'ai découvert ça tout récemment et j'ai commencé d'en parler dans un billet hier, mais je vais en faire un plus fouillé), qui recadre justement ceux qui attendent "le libérateur d'Israël", en faisant un merveilleux parallèle, par contraste, avec l'épisode de la révolte de Judas Maccabée restaurant une forme de royauté messianique en Israël. Bref...

La réalité c'est qu'il y a toujours eu des chrétiens, comme il y avait déjà des croyants en Israël avant eux (et comme il y a toujours... cf certaines forme de sionisme) cette façon de projeter sur l'idée de "royaume de Dieu sur terre" notre idée humaine de la royauté (ce qui engendre peu ou prou l'idée de théocratie), alors qu'il faudrait comprendre ce qu'est la véritable notion de gouvernement en fonction de ce que la révélation nous dit du "royaume de Dieu sur terre" : un abandon unilatéral, total, à l'inspiration de l'Esprit Saint. Et cet abandon va jusqu'à la croix, au renoncement total.

JS


[ PP à JS - Merci de ce regard. Et bravo pour le livre* que vous avez fait avec Natalia Trouiller. J'en parlerai longuement cette semaine.

* 'Confessions des nouveaux enfants du siècle' (Salvator) ]

réponse au commentaire

Écrit par : Joël Sprung / | 24/11/2013

à PP

> Et quand l'encyclique sociale et environnementale de François va être publiée, qu'est-ce que les "faux papistes" vont inventer pour la discréditer ? que ce n'est pas lui qui l'a écrite mais les Illuminati ?
______

Écrit par : Amicie T. / | 24/11/2013

LE BON LARRON

> La liturgie, en nous donnant à lire en cette année C qui se termine l’Évangile selon Saint Luc, nous a donné à entendre en ce dimanche du Christ Roi le récit du bon larron reconnaissant dans le Christ en croix ce Roi de gloire : "Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton Royaume" (nouvelle traduction liturgique). Tout est dit !
______

Écrit par : Michel de Guibert / | 24/11/2013

BAPTISER LES "NATIONS" ?

> Je n'ai sans doute pas relu mon commentaire précédent car tel quel il dit le contraire de ma position: Baptiser les Nations ne serait-ce pas instaurer la chrétienté? (c'est ce point d'interrogation qui faisait défaut).

Caillaud


[ PP à C. :

- Les spécialistes vous diront que "nations" (surtout avec une majuscule) est un anachronisme doublé d'un faux sens. Ce que le français d'autrefois a traduit par "baptisez toutes les nations", était en réalité (en hébreu et araméen) quelque chose comme : "faites des adeptes parmi tous les goyim" (rétrotraduction Chouraqui pour Matthieu) ; "goyim" voulant dire : "ceux qui n'appartiennent pas au peuple juif". Il ne s'agit évidemment pas de collectivités politiques,
mais d'individus ; comme l'étaient (avant et après le Christ) les prosélytes venus du paganisme
à la religion juive.

- On baptise des individus. Comment pourrait-on baptiser des collectivités ? et contre le gré d'une partie de leurs membres ? ce serait contraire à la démarche de conversion, qui suppose
le libre choix de la personne... Les théologiens ont démontré à de nombreuses reprises que la fameuse phrase sur le "baptême de la France" était une hyperbole littéraire mais pas une notion théologiquement soutenable. Idem pour la formule "fille aînée de l'Eglise" ! Cette formule était allégoriquement soutenable (encore que...) sous sa forme originelle : la "fille aînée" étant alors la couronne, c'est-à-dire la succession des souverains membres de la dynastie née du baptême de Clovis. La formule n'a plus été soutenable quand on l'a transférée pour l'appliquer à la collectivité des Français à travers l'histoire, comme s'il s'agissait d'un seul être - et immuable...

ps - Pour Marc, la rétrotraduction Chouraqui donne : "clamez l'annonce à toute la création",
ce qui suggère encore un autre sens : la dimension cosmique. ]

réponse au commentaire

Écrit par : Caillaud / | 24/11/2013

FONTGOMBAULT

> Homélie prononcée par le Très Révérend Père Dom Jean Pateau, Abbé de Notre-Dame de Fontgombault, le 24 novembre 2013):

http://www.lepetitplacide.org/article-christ-roi-et-cloture-de-l-anne-e-de-la-foi-121275185.html
______

Écrit par : panetier / | 25/11/2013

ENSEIGNEMENT DE BENOIT XVI

> "La racine hébraïque malkut « est un nomen actionis [un nom qui désigne une action] et renvoie - tout comme le mot grec basileia - à l'exercice de la seigneurie du roi, à son être souverain »*. Il n'est pas question d'un « royaume » à venir ou encore à instaurer, mais de la souveraineté de Dieu sur le monde, qui, de façon nouvelle, devient réalité dans l'histoire.
Plus explicitement encore, nous pouvons dire : en parlant du Royaume de Dieu, Jésus annonce tout simplement Dieu, c'est-à-dire le Dieu vivant, qui est en mesure d'agir concrètement dans le monde et dans l'histoire, et qui y agit précisément maintenant."

Ces phrases concluent un enseignement lumineux de Benoit XVI sur cette notion de "royaume" dans Jésus de Nazareth,p 74/75.
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Écrit par : marie-ange / | 25/11/2013

DOM GERARD

> Or lisez les fables de ''retour de la chrétienté'' qui fleurissent ici et là ces temps-ci : elles rejettent non seulement le social mais le souci de l'environnement. Elles véhiculent les mots d'ordre d'une droite pour laquelle le social c'est ''l'assistanat'', et l'écologie ''le gauchisme''.

Ceci n'est pas le cas avec Demain la Chrétienté par Dom Gérard.

Néanmoins, ça peut être trop tard, l'apostasie allée trop loin.

HGL


[ PP à HGL - Le plus absurde est que l'aile catho de cette droite antisociale et anti-environnement croit devoir se réclamer, entre autres, de Dom Gérard ! Il se trouve que je l'ai bien connu dans les années 1980-1990 : si quelqu'un était étranger à l'idéologie libérale et au productivisme, c'était bien ce théologien-artiste ! ]

réponse au commentaire

Écrit par : Hans-Georg Lundahl / | 10/12/2013

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