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18/03/2013

Le cardinal Bergoglio, la femme, l'enfant, et toutes les dimensions du droit à la vie

"S’il y a une conception à respecter, il y a une vie à soigner" :

 


Extraits du livre d'entretiens El Jesuita, de Sergio Rubín et Francesca Ambrogetti (traduction Aleteia) :

« Pour moi, la lutte contre l’avortement entre dans le cadre de la lutte en faveur de la vie dès sa conception. Cela inclut les soins de la mère durant sa grossesse, l’existence de lois qui protègent la femme après son accouchement, la nécessité de garantir aux enfants une alimentation adéquate et une couverture sanitaire pendant toute la vie, le soin de nos personnes âgées et le non recours à l’euthanasie. Car on ne doit pas non plus "sub-tuer" avec une alimentation insuffisante ou une éducation absente ou déficitaire, priver de choses qui permettent de vivre pleinement. S’il y a une conception à respecter, il y a une vie à soigner.

- Beaucoup affirment que l’opposition à l’avortement est une question religieuse...

- La femme enceinte ne porte pas en elle une brosse à dents ni une tumeur. La science enseigne que dès le moment de sa conception le nouvel être possède tout son code génétique. C’est impressionnant. Ce n’est donc pas une question religieuse, mais une question clairement morale avec des bases scientifiques, car nous sommes en présence d’un être humain.

- Le jugement moral de la femme qui avorte est-il le même que celui de la personne qui effectue l’avortement ?


- Je ne parlerais pas de jugement, ce que j’éprouve moi c’est beaucoup plus de la compassion, dans le sens biblique du terme, c’est-à-dire ‘com-pâtir’ et accompagner une femme qui avorte sous je ne sais quelle pression de professionnels – ou non professionnels – qui agissent pour de l’argent et avec une froideur unique. […] Cette froideur va totalement à l’opposé des problèmes de conscience, des remords que beaucoup de femmes qui ont avorté éprouvent après quelques années... >>

 

Commentaires

AVEC LUI

> Nous avons un pape. Et ça décoiffe. Ce type me plaît. Il rappelle des évidences et me rassure. L'Eglise reste l'Eglise. Les formes changent, pas le fond.
Je suis avec lui. J'ose même être enthousiaste. Tant pis pour la mordernité.
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Écrit par : DidierF / | 18/03/2013

LOIN

> On est bien loin des élucubrations à ras de terre des modernistes qui, comme toujours, escomptent une mise à jour "à leur goût", de l'Eglise, c'est à dire dans le sens où va le monde libéral-libertaire. "L'Eglise devrait s'adapter aux évolutions de la société" comme ils disent.
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Écrit par : Fondudaviation / | 18/03/2013

APRES LA NAISSANCE ET AVANT LA MORT

> Le pape François nous rappelle que la dignité de l'homme n'est pas moins digne d'être défendue après la naissance et avant la mort. Grâce lui en soit rendue tant cette évidence est parfois bien oubliée !
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Écrit par : Mahaut / | 18/03/2013

RESPECT A TOUT AGE

> Oui, et c'est d'ailleurs révolutionnaire, dangereusement révolutionnaire pour nos "Zélites" actuelles.
Tout humain, à tout âge de la vie doit être respecté. Il est inique de tuer un enfant avant sa naissance tout comme il est inique d'exploiter les travailleurs au point qu'ils n'ont pas les moyens matériels (argent, temps disponible) pour s'occuper de leurs enfants, tout comme est inique le culte actuel de l'humain tout puissant, jeune, beau et riche. Dieu est toujours du côté du faible et de l'opprimé.
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Écrit par : Barbara / | 19/03/2013

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