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23/01/2013

Gaz de schiste : ils vont jouer sur les mots

 On ne dira plus "fracturation hydraulique"

mais "massage de la roche" !

à lire  ici


gaz de schiste

 


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12:16 Publié dans Ecologie | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : gaz de schiste

Commentaires

NOVLANGUE

> La Novlangue est définitivement plus réelle que je ne l'aurais jamais imaginé quand je lisais '1984'...
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Écrit par : A-L P / | 23/01/2013

CROTTIN DE LICORNE

> Je suggère de renommer le gaz de schiste "sirop d'arc-en-ciel" et les schistes bitumineux "crottin de licorne". Et que les ouvriers soient appelés "elfes du feu". La communication corporate, c'est simple !
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Écrit par : Dr Zurui / | 23/01/2013

Gaz de schiste et contrepet

« Massage de la roche ? »
Le pétrolier est pour : « Ma rage de rosse lâche ».

« Massage de la roche ? »
Le communicant de Total est pour : « Ramage de la chose ».

« Massage de la roche ? »
Oncle Picsou est pour : « Cha, je ramasse de l’or ! »

« Massage de la roche ? »
L’élu EELV est (tout) contre : « Chaulage de ma race ! »

« Massage de la roche ? »
L’écologiste est contre : « Sache l’âge de la mort ».
______

Écrit par : Denis / | 23/01/2013

ET APRÈS LE GAZ DE SCHISTE ?

> Certainement, l'exploitation du gaz de schiste va apporter des dommages à l'environnement.
Certainement, la France va en tirer une vraie richesse économique.
Certainement, la consommation de ce gaz va entrainer des rejets de CO2 supplémentaires dans l'atmosphère.
Mais le vrai problème n'est pas là.
Il réside dans le fait de savoir ce que fera notre société après avoir brûlé ce gaz non renouvelable, pendant 20, 30, 40 ans. Outre les dégâts environnementaux, nous serons dans la perspective de grelotter dans le noir faute d'énergie pour nous chauffer et nous éclairer.
Il est urgent de poser les vraies questions de la pérennité de la consommation d'énergie, ce qui suppose un modèle économique utilisant des énergies propres et renouvelables (ou quasi-inépuisables comme celles issues de la fusion nucléaire si jamais un jour elle est maîtrisée).
Si ce problème est posé, il permettra de faire apparaitre l'évidence selon laquelle l'exploitation du gaz de schiste ne sert à rien, sauf à reculer une échéance inéluctable. A quand un vrai débat ?
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Écrit par : Clément Cassiens / | 24/01/2013

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