16/10/2012
Sous le rêve flamingant, la réalité ultralibérale
"GOESTING om te veranderen ? De verandering begint in Zemst. Prettige vakantie. NVA. Denken. Durven. Doen."
"De l'enthousiasme pour changer ? Le changement commence à Zemst. Bonnes vacances. NVA. Penser. Oser. Faire."
La face cachée du parti NVA et de son chef Bart De Wever, maître d'Anvers ? Un point de vue ici.
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19:30 Publié dans Europe, Idées, La crise, Social, Société | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : belgique, flandre, bert de wever, nva
Commentaires
LIENS
> Les séparatismes sont liés au communautarisme et au refus de partager les ressources! voir les cas de l'Ecosse et de la Catalogne. Curieusement, la rue principale de Gand se nomme rue de Catalogne.
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Écrit par : Pierre Huet / | 16/10/2012
MIRAGE
> Ce qui est arrivé au mouvement flamand est désolant mais pas original : tous ces vestiges des nationalismes post-romantiques ont vocation à se faire instrumentaliser par la seule force existant au monde aujourd'hui : le gros argent. La Flandre n'existe plus comme elle existait aux temps des "petits curés" flamingants et du pèlerinage de Dixmude (AVVVVK) : ce qui reste c'est la mégalopole économique d'Anvers, plaque tournante du libre-échangisme et du tout-autoroutes transcontinental. Le véritable but d'un De Wever est de contrôler cette mégalopole. Pour ça il se sert du populisme. Un peu comme (en tout petit) les milices chrétiennes libanaises s'entretuaient en réalité pour le contrôle d'un certain secteur du port de Beyrouth où transitait une marchandise que je ne nommerai pas. Certains mouvements perdent à être connus.
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Écrit par : blauwvoet / | 16/10/2012
A noter
> Il ne faut pas oublier que la NVA doit aussi son succès actuel à son alliance antérieure avec le parti chrétien flamand qui l'avait propulsée sur le devant de la scène. Ces deux partis se présentaient en cartel, étant idéologiquement proches.
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Écrit par : pashine / | 18/10/2012
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