02/10/2010
L'Etat, le patrimoine et le "business des biens culturels"
Sur Murakami à Versailles
et le marché financier,
excellent article de Marc Fumaroli
(repenti du libéralisme) :
http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/10/01/l-etat-le-...
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15:17 Publié dans Idées, Société | Lien permanent | Commentaires (7)
Commentaires
IL PREND DES RISQUES
> Pauvre Fumaroli, il prend des risques ! il va se faire reprocher amèrement par Le Figaro de "n'avoir rien compris à la mondialisation libérale", donc d'être "de gauche".
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Écrit par : Arthur / | 02/10/2010
@ Arthur
> ... et par les lecteurs du Monde d'être un vieux con réactionnaire...
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Écrit par : Patriot Act / | 02/10/2010
DECEREBRATION
> Comme quoi la décérébration révolutionnaire et la décérébration mercantile coopèrent fort bien, mais ce n'est pas nouveau, en France on le sait depuis la destruction de Cluny, Jumièges et bien d'autres..
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Écrit par : Pierre Huet / | 02/10/2010
KEPHAS
> La revue Kephas a aussi donné un article très intéressant ce trimestre-ci sur les rapports entre l'art contemporain et l'Eglise. Un article qui d'ailleurs faisait penser par bien des côtés à la critique de l'art contemporain par le journal "La décroissance".
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Écrit par : Gilles Texier / | 03/10/2010
EN PARLANT D'ART
> Après les crucifix trempé dans l'urine voici qu'un "artiste" peint une Madone tenant dans ses bras un bébé Hitler...
http://www.catholicnewsagency.com/news/artists-madonna-with-baby-hitler-work-plays-with-fire-states-italian-bishop/
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Écrit par : Lucien dit Lulu / | 04/10/2010
ENFIN
> Enfin, et à chaque fois dans le Monde, des intellectuels trouvent les mots pour dénoncer l'intrusion de l'art contemporain dans certains musées!
Il est inutile de critiquer l'artiste, de dire qu'il est nul ou inconvenant pour tel ou tel musée; c'est d'ailleurs ce qu'espèrent l'artiste et les organisateurs de l'expo: de la pub gratis avec, en plus, une critique prouvant la pertinence de la transgression opérée par l'artiste.
En fait, la seule réponse est la dénonciation de la collusion avec les marchés, de la financiarisation de l'art. Car ce faisant, l'Etat et l'administration française sortent de leur rôle.
De plus, on ne peut reprocher aux présidents de Versailles ou même du Louvre d'organiser de telles expositions: c'est ce qui leur est demandé. La présence d'un ancien directeur de Pompidou à la tête de Versailles en dit suffisamment long.
Un autre article tiré du Monde sur le même sujet:
http://www.lemonde.fr/culture/article/2010/09/15/un-versailles-pour-petites-filles-en-fleurs_1411471_3246.html
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Écrit par : Benoit C / | 04/10/2010
DEJA EN 1993
> Excellent article... Qui m'a fait penser, dans un autre domaine, celui du patrimoine, à cet autre article (de 1993, déjà...) : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rvart_0035-1326_1993_num_101_1_348056
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Écrit par : Ren'/ | 05/10/2010
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