17/07/2008
JMJ : les médias comprendront-ils trop tard ?
...et chaque fois c'est la même chose :
Ils comprendront. Mais trop tard. Comme chaque fois.
A l'ouverture des JMJ de Sydney, ils regardaient l'événement par le mauvais bout de la lorgnette.
Comme chaque fois...
Le 9 juillet, Le Monde expliquait que la question homosexuelle faisait de l'ombre à ce rassemblement géant, et s'en prenait au cardinal australien : « Mgr Pell, réputé proche du Vatican, a aidé à imposer Sydney comme lieu des JMJ 2008. Mais le cardinal est en Australie une figure controversée, connu pour ses positions très conservatrices sur la contraception ou l'homosexualité... » Etc, etc. Business as usual.
Une fois pour toutes, nos médias sont coincés sur une position absurde : dire à l'Eglise catholique ce qu'elle devrait être pour leur plaire.
Et, comme d'habitude, ils sentiront passer dans les deux derniers jours des JMJ le souffle de quelque chose d'inexplicable...
JMJ après JMJ, c'est chaque fois la même chose et la leçon semble ne jamais porter. Toujours les médias auraient voulu que ce soit un échec. Toujours ils doivent reconnaître, en fin de compte et du bout des dents, que seule l'Eglise catholique est capable d'attirer des centaines de milliers de jeunes aux quatre coins du monde.
Il doit pourtant y avoir une raison.
Et ce n'est pas grâce à l'image que les médias font à l'Eglise !
00:56 Publié dans Témoignage évangélique | Lien permanent | Commentaires (14)
Commentaires
ELLE EST
> L'ennemi rugit fortement comme un animal aux griffes accérées, mais la colombe de printemps s'envole, s'envole, porter par un courant d'air chaud, sous un soleil bien veillant à l'heure de midi!
"l'Eglise est et restera"...affirme tranquillement l'apparition de Marie à Ida Pederman en holland, plusieurs fois, entre 1945 et 1959 !
et Elle répète plusieurs fois cette simple phrase réconfortante : "ce temps est notre temps"!
l'ennemi au travers de certains médias, s'exprime, et se ridiculise devant la vérité!!!!
merci Seigneur
Écrit par : jean christian | 17/07/2008
ILS EN ONT ENVIE
> Effectivement les medias ont envie que les JMJ soient un fiasco...
Mais alors que des dizaines de milliers de jeunes catholiques sont réunis autour du pape, en Angleterre cette pauvre "communion anglicane" en est à se déchirer à cause de l'intransigeance de la branche dite libérale qui place avant toute chose la revendication de ces désirs très bobos afin d'être bien vu des médias occidentaux :ordination de femmes évêques, homosexualité etc..., sans concéder aucun arrangement avec la branche dite traditionnelle, et ce bien avant la recherche de l'unité qui devrait être le souci numéro des responsables. Bel exemple de tolérance et de communion ecclésiale.
L'Esprit souffle où il veut et en ce moment c'est plutôt aux antipodes de Lambeth.
Où auriez-vous envie d'être en ce moment mmes et mm. les journalistes?
à Sydney ou à Lambeth?
Franchement entre les deux y a pas photo !
Écrit par : François P. | 17/07/2008
CHESTERTON
> Les médias ne voient pas qu'ils sont comme un vieux disque rayé !!
Comment ne pas penser à ce que disait Chesterton en son temps, parlant de ceux qui décrivaient le catholicisme comme une vieille chose désuète ennemie de toute nouveauté :
"L’autre jour, un écrivain bien connu, et plutôt mal informé, déclara que l’Église catholique est toujours l’ennemie des idées nouvelles. Il ne lui est probablement pas venu à l’esprit que sa propre remarque n’était pas exactement dans sa nature une idée nouvelle. Ceci est une des notions que les catholiques doivent continuellement réfuter, parce que c’est une si vieille idée ! En effet, ceux qui se plaignent que le catholicisme ne peut dire quelque chose de neuf pensent rarement qu’il soit nécessaire de dire quelque chose de neuf sur le catholicisme. En fait, une étude sérieuse de l’histoire montrera que - bizarrement- cela est contraire aux faits. Dans la mesure où les idées sont vraiment des idées, et dans la mesure où de telles idées ne peuvent être par définition que nouvelles, les catholiques ont continuellement souffert à les soutenir parce qu’elles étaient réellement nouvelles, parce qu’elles étaient trop nouvelles pour être comprises et trouver d’autre soutien qu’eux même. Le catholicisme n’était pas seulement le premier dans ces domaines, mais il était aussi seul, là où il n’y avait encore personne d’autre pour comprendre ses avancées.
Ainsi, par exemple, presque deux cent ans avant la déclaration d’indépendance et la Révolution française, en un siècle dévolu à la fierté et la louange des princes, le cardinal Bellarmin et l’Espagnol Suarez ont lucidement élaboré l’entière théorie de la démocratie véritable. Cela en un siècle de droit divin. Pour cette raison ils donnèrent l’impression d’être des jésuites sanguinaires et comploteurs, rampant avec des poignards dans le but d’assassiner des rois. Pourtant les casuistiques [1] des écoles catholiques dirent tout ce qui pouvait être réellement dit sur les problèmes nouveaux de notre époque, deux siècles avant qu’ils ne se soient produits. Ils ont dit qu’il y avait réellement des problèmes de conduite morale chez les gouvernants ; mais ils ont eu la malchance de le dire deux siècles trop tôt. À une époque de débats fanatiques et de vitupération libre et gratuite, ils ont simplement réussi à se faire traiter de menteurs car ils ont été psychologues avant que la psychologie ne soit à la mode. Il serait aisé de donner de nombreux autres exemples jusqu’à aujourd’hui de ces faits et de ces cas d’idées qui sont encore trop nouvelles pour être comprises. Il y a des passages de l’encyclique du pape Léon sur le travail Rerum Novarum, sortie en 1891] qui commencent seulement maintenant à être utilisés comme guides pour des mouvements sociaux plus neufs que le socialisme ! Et quand monsieur Belloc écrivit sur l’état servile, il avança une théorie économique si originale que c’est à peine si quelques personnes ont compris ce dont il s’agissait. Dans quelques siècles par conséquent, d’autres personnes répèteront probablement que l’Église catholique est toujours l’ennemie des idées nouvelles, et ils le répéteront erronément. Et alors, si les catholiques font des objections, leur protestation sera facilement expliquée par le fait bien connu que les catholiques ne s’occupent jamais des idées nouvelles !
Néanmoins, l’homme qui a fait cette remarque sur les catholiques voulait dire quelque chose qui mérite considération, et il serait loyal envers lui de le comprendre plus clairement qu’il ne l’exprima. Ce qu’il voulait dire, c’était que, dans le monde moderne, l’Église catholique est souvent l’ennemie de beaucoup de modes influentes ; la plupart d’entre elles se targuent d’être neuves alors que beaucoup d’entre elles commencent en réalité déjà à être éculées. En d’autres termes, dans la mesure où cet homme voulait dire que l’Église attaque souvent ce que le monde encourage à un moment donné de l’histoire comme étant une nouveauté, il avait parfaitement raison. L’Église se porte souvent contre la mode de ce monde qui passe ; et elle a assez d’expérience pour savoir avec quelle rapidité elle passe. Mais pour comprendre exactement de ce dont il s’agit, il est nécessaire de prendre plus de recul et de considérer la nature ultime des idées en question, de considérer, si l’on peut l’extirper, l’idée de l’idée.
Neuf fois sur dix, celles que nous appelons des idées nouvelles sont simplement de vieilles erreurs. L’Église catholique possède comme l’un de ses principaux devoirs, celui de protéger les gens de retomber dans ces vieilles erreurs ; de les refaire encore et encore et toujours, comme les gens font toujours lorsqu’ils sont abandonnés à eux-mêmes. La vérité sur l’attitude catholique face à l’hérésie, ou comme certains le diraient, face à la liberté, peut probablement être le mieux exprimée par la métaphore d’une carte. L’Église catholique porte en elle une sorte de carte de l’esprit qui ressemble à la carte d’un labyrinthe, et qui, en fait, est un guide pour le labyrinthe. Elle a été formée à partir d’une connaissance qui, même considérée comme connaissance humaine, est sans aucun parallèle humain.
Il n’existe pas d’autre exemple d’institution intelligente continue qui réfléchit sur la nature humaine depuis deux milles ans comme l’est l’Église. Son expérience couvre naturellement presque toutes les expériences possibles et particulièrement presque toutes les erreurs. Le résultat est une carte dans laquelle toutes les voies sans issue et les mauvais chemins sont clairement signalés, toutes les voies ont été marquées comme inutiles par la meilleure de toutes les preuves : la preuve de l’expérience de ceux qui sont allés dans ces voies.
Sur cette carte de l’esprit, les erreurs sont marquées comme au fer rouge des exceptions. La plus grande partie de la carte consiste en des terrains de jeux et de joyeux terrains de chasse où l’esprit peut avoir autant de liberté qu’il veut ; sans mentionner le nombre de champs de batailles intellectuelles dans lesquels la bataille est indéfiniment ouverte et indécise. En revanche, elle prend la responsabilité définitive de marquer certaines routes comme ne menant nulle part, ou menant à la destruction, à un mur ou à un précipice absolu. Par ces moyens, elle préserve les hommes de perdre leur temps ou leurs vies sur des chemins qui ont été trouvés futiles ou désastreux encore et encore, dans le passé, mais qui autrement pourraient capturer des voyageurs encore et encore dans le futur. L’Église prend elle-même la responsabilité d’avertir son peuple contre ces routes sans issues. Et c’est de ces voies que dépend réellement notre propos. Elle défend dogmatiquement l’humanité de ses pires ennemis, ces monstres horribles et voraces des anciennes erreurs. Cependant, toutes ces fausses idées ont une manière de paraître relativement nouvelles, spécialement pour une nouvelle génération. "
Écrit par : Gégé | 17/07/2008
OBSEDES
> N'ont-ils pas peur, les médiocrates patentés, de finir par passer pour des obsédés sexuels à force de réduire le Royaume de Dieu à une vaste spéculation sur les comportements sexuels ? Quand je pense qu'on parle toujours, mais un peu moins il est vrai aujourd'hui, de l'obscurantisme du Moyen-Age. C'est plus que de l'obscurantisme, c'est carrément de la cécité génétique. Jésus a dit à Bartimée :"Que veux-tu que je fasse pour toi ?" Les éditorialistes inspirés d'aujourd'hui ne pourraient-ils pas répondre comme lui :" Que je voie ! "
Écrit par : Gilles Daulphin | 17/07/2008
MORT DE LA CULTURE
> "Une fois de plus", vous visez juste...on peut même ajouter que l'audience de l'Eglise viendra de plus en plus de ce qu'elle est la seule institution sérieuse à se distinguer de cet esprit malsain qui met les médias dans ce carcan qui fini par faire violence à l'esprit et aux tendances profondes du coeur humain...
Je propose un nouveau slogan: la culture de mort est aussi la mort de la culture.
Écrit par : vicenzo | 17/07/2008
IGNORONS
> Ce sont de pauvres gens, perdus dans le labyrinthe dans lequel ils se sont enfermés. Il suffit d'observer la situation dramatique de l'Eglise anglicane pour constater où mènerait l'alignement sur les diktats des médias. Ignorons cette médiocrité et profitons plutôt de ces merveilleuses journées pour régénérer notre sens de la catholicité.
Écrit par : xb | 17/07/2008
LES MEDIAS
> C'est certain, les médias sont toujours enfermés dans leur idéologie postmoderne pour qui la religion catholique est le mal absolu puisqu'elle empêhe la jouissance à tout prix et se lève contre la quête du plaisir comme philosophie de vie.
Désespérément, je suis chaque matin et chaque soir les quelques nouvelles que l'on donne des JMJ et le contenu est affligeant. Au 20h, en général, nous avons droit à "Le pape a pris le bateau, le pape a caressé des animaux, le pape a rencontré des aborigènes..." mais ce que le pape a dit... niet. Nous n'en savons rien. L'objet des JMJ est de faire passer un message aux jeunes mais rien ne filtre à travers les canaux médiatiques. Comme si l'Eglise était diffusée en crypté et que seuls certains journaux chrétiens avaient droit d'entendre ce que le pape dit.
"Pardonne leur Père, ils ne savent pas ce qu'ils font" et j'ajouterai "Pardonne leur, Père, ils ne comprennent pas ce que Tu fais".
Amicalement,
Vincent
Écrit par : Vincent | 18/07/2008
AVENIR
> Je crois qu'il ne faut pas s'en faire. les médias sont la bouche d'un monde ancien en train d'agoniser. L'avenir est au Christ. Ce sera sans doute difficile, cela secouera pas mal mais l'avenir est à Lui.
Écrit par : vf | 18/07/2008
MERCI
> M. Gégé, je vous écris ici tout spécialement!
jamais, jusqu'à aujourd'hui, je n'avais lu un texte aussi condensé et aussi merveilleusement discernant sur le rôle extraordinaire de l'Eglise!
votre rédaction est magnifique, l'Esprit Saint vous pousse et nous fait avancer avec vous, car c'est à l'instant une grâce de pouvoir vous lire, d'être là et en ce temps de pouvoir vous lire,... d'aimer votre rédaction.
Ainsi je glorifie encore plus, le doux Nom de Jésus, Celui par qui l'Esprit Saint nous est parvenu, car nous dit-Il "c'est de mon bien qu'Il recevra"!
je rends gloire à Dieu ce soir pour vous! merci!
Écrit par : jean christian | 19/07/2008
A GILLES DAUPHIN
> vous citez "bartimée"; savez-vous que dans l'évangile de St Marc, où son nom apparait réellement, on l'appelle justement "bartimée", en précisant (dans la bible de jérusalem par exemple) qu'il était le fils de "timée!" (évangile de Jésus Christ selon St Marc chapitre 10 verset 46)
voyez-vous sans doute la déduction ? : "bar" en hébreux, veux dire "fils";
la preuve, l'apôtre "Nathanël" disparait des noms des douze apôtres, lors de leur "énonciation" pour devenir, "barthélémy", ce qui signifiait tout simplement le "fils" de "thélémy";
plus loin dans les actes des apôtres, vous apprenez que "joseph" devient "barnabé", ce qui veut dire -et c'est justement précisez dans la bible- "fils de prédilection", où traduit dans la bible de jérusalem par "fils d'encouragement" (actes des apôtres chapitre 4 verset 36-37);
enfin, un autre exemple, on sait que le chef juif qui tenta une révolution contre les romains en l'an 132 ap jc, et qui fit s'écrouler définitivement la nation Israël, s'appelait bar kokhba, ce qui pourrait se traduire par "fils de l'étoile",
bref, "bar" veut dire "fils".
bien;
mais "père", savez-vous comment cela se traduit en hébreux?...oui, c'est "aba" !!!!!, où encore abba !
combien donc, -Dieu le Père- nous oblige encore et toujours à méditer le choix des hommes, le jour du plus grand jugement des hommes, en l'an 33 ap jc!!!!
oui, Dieu nous a mis devant nos yeux, devant nos coeurs d'aujourd'hui, de bien comprendre que nous avions deux manières pour nous extirper de la terreur humaine contre nos corps:
soit la lutte armée, comme "barabbas" (littéralement "fils du père en hébreux), soit la lutte de l'Esprit Saint par la volonté de Notre Père qui est aux cieux, en un modèle suprême qu'est Jésus Christ, le seul et unique vrai "fils du Père" !!!!!!!!!!!!!!!!
le premier, "barabbas" est le fils du Père selon le lignage souvent choisit par les hommes, c-a-d la lutte armée pour s'extraire de la tyrannie, et le second, à l'image de sa passion, est choisit par une extrême minorité des hommes, puisque l'on peut dire, qu'à part le Christ.....(et sa Mère au pied de la croix qui offrit à son Dieu, ce Fils qu'Il Lui avait Lui-Même donné)...personne, ne put comprendre cet incroyable message spirituel qu'est le vrai lignage d'avec Dieu Notre "Père" à tous !!!!!!
merci pour votre intervention.
Écrit par : jean christian | 19/07/2008
A VICENZO
> votre nouveau slogan pour définir notre société est très juste, avec un jeu de mots qui exprime judicieusement deux idées très vraies.
de la même manière j'ai pris l'habitude de dire au tour de moi, que "notre société à fait de l'amour un dieu", alors que pour nous autres chrétiens "Dieu est Amour".
la différence, se vérifie alors dans la législation; admirez ! :
vous comprenez que dans le premier cas, Dieu-Père-Fils-et-Saint-Esprit est absent et même inconnu, puisqu'une nouvelle création divine est inventée par l'homme, à l'image de :
c'est au nom de l'amour de la liberté de la femme que l'on doit pouvoir avorter
c'est au nom de l'amour de la liberté de la mort que l'on doit pouvoir euthanasier
c'est au nom de l'amour de la liberté de choisir sa mort que l'on doit pouvoir choisir soi-même sa mort, et son heure,
c'est au nom de l'amour, qu'un couple homosexuel doit pouvoir adopter des enfants
c'est au nom de l'amour, que des parents doivent pouvoir avoir des enfants issus de gamètes venant d'un donneur
ect, etc....
Écrit par : jean christian | 19/07/2008
DERANGEANT
> Les JMJ dérangent inévitablement notre monde contemporain. Les médias en sont le relais. Ce monde qui prétend que tout se vaut, reconnaît au fond de lui que l'Eglise a raison en matière de règle de vie mais ne veut pas l'admettre. Pourquoi? Tout simplement parce que cela fait mal d'entendre son message. Le monde comprend qu'il se perd sans grande référence et les dommages écologique, économique, humaine... sont incontestables. Et il avoue aussi qu'il n'a pas toute les réponses.
Il est essentiel que l'Eglise rappelle fortement les vraies valeurs. Qu'elle redise que parler du mariage des personnes homosexuelles est un non-sens (pour prendre cet exemple)...
L'Eglise doit interpeller, provoquer comme le faisait notre Seigneur Jésus Christ il y a 2000 ans.
Écrit par : Arnaud | 20/07/2008
SYMPTOMATIQUE DEPECHE
> Voici la reprise d'une dépêche d'agence par LCI (consultable sur le site de TF1)
Sans commentaire, je pense... (les journalistes ne seraient-ils pas les consommateurs visés?)
" L'afflux de dizaines de milliers de jeunes catholiques en Australie à l'occasion des Journées mondiales de la jeunesse agite tout Sydney. Une agitation qui peut parfois être synonyme de bonnes affaires pour certains commerces : c'est notamment le cas d'un bordel australien, qui a choisi d'offrir des réductions spéciales durant la visite du pape Benoît XVI. Il a redoublé d'activité depuis l'arrivée du souverain pontife.
La patronne du bordel haut-de-gamme Xclusive a indiqué avoir embauché davantage de femmes pour faire face à la hausse de la demande pendant les JMJ. L'établissement se défend de viser particulièrement les pèlerins ; néanmoins, les affaires ont été fortement stimulées par les réductions de 10% accordées aux personnes liées aux JMJ, y compris aux 3000 à 5000 journalistes couvrant l'événement, a souligné la patronne de Xclusive.
"Nous avons recruté cinq personnes supplémentaires et elles ont toutes été occupées", a-t-elle déclaré. "Nous avons eu beaucoup de visiteurs étrangers, mais je ne peux pas dire s'il s'agissait ou non de pèlerins".
D'après agence
Écrit par : françois | 21/07/2008
ESCLAVAGE
> Texte magnifique de Chesterton, mais un peu long à citer. Voici une de ses phrases lapidaires qui résume son idée :*
"« L’Eglise catholique est la seule chose qui épargne à l’homme l’esclavage dégradant d’être un enfant de son temps ».
Écrit par : Arnaud de Guibert | 25/07/2008
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