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30/12/2007

L'affaire Zoé : une occasion d'expliquer aux médias la notion de parenté

...surtout en ce dimanche de la Sainte Famille :


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Dimanche de la Sainte Famille…  Les « humanitaires »* de l’Arche de Zoé sont à Fresnes. Ils comparaîtront le 14 janvier devant le tribunal correctionnel de Créteil, qui doit transposer en droit français leur condamnation tchadienne. On ne devrait donc pas tarder à savoir plusieurs choses. Par exemple :

 

- quel est le degré de couverture dont M. Breteau, Mlle Lelouch et les autres ont bénéficié, à l’origine, de la part des pouvoirs publics français : couverture sans laquelle on ne voit pas comment les Zoé auraient pu s’offrir un Boeing et l’appui de l’armée française au Tchad ;

 

- quel est le degré de respect de Paris envers la souveraineté tchadienne, exprimée dans une décision de justice tchadienne  (même si le Tchad « n’est pas une démocratie à l’européenne » : mais est-ce à nous d’en juger ?) ;

 

- quel écho les tribunaux français vont donner aux vingt ou trente plaintes en escroquerie portées en France contre les Zoé ;

 

- quel écho les tribunaux français vont donner à la poursuite intentée aux Zoé pour « exercice illégal de la profession d’intermédiaire en vue d’adoption » ;

 

- et qui sont, au sein de l’équipe Zoé, les manipulateurs et les manipulés.

 

Ce n’est pas seulement le procès d’un groupe.  C’est aussi (ou pourrait être) le procès de l’idéologie au nom de laquelle ce groupe s’est emparé d’enfants, piétinant ainsi le droit de la famille et le droit international.  Les médias ne voient pas en quoi cette idéologie est absurde. Il faudrait trouver le moyen de le leur dire, en leur expliquant au passage ce qu’est la notion de parenté.

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(*) comme disent les radios.

 

 

 

 

Commentaires

LIEN SOCIAL

> Encore faudrait-il qu'ils aient envie qu'on la leur explique... La famille existe depuis trop longtemps pour que ça les intéresse. Ils ne carburent qu'à l'inédit. Pacser un tabouret et un basset artésien, ça, oui, c'est du lien social.

Écrit par : Natalia Caron | 01/01/2008

DESIRS = DROITS

> Remarquez, la progéniture d'un tabouret et d'un basset artésien nous donnerait de jolis prie-Dieu multicolores. La question n'est pas que la famille les intéresse ou pas, mais qu'ils la rejettent. Ils sont, au mieux des adulescents centrés sur eux-mêmes, au pire des égocentriques se voyant comme la mesure de toutes choses. Leurs seul étalon étant leurs désirs qu'ils perçoivent comme des droits. Alors la famille, les liens de parenté et les devoirs qui vont avec.....
Je vois tous les jours des adultes (du moins légalement jugés comme tels) qui divorcent, se remarient, redivorcent, se pacsent, etc, tout en affirmant qu'ils font cela pour le bien de leurs enfants. Ces derniers faisant la fortune des psy en tout genre et étant allègrement bousillés!

Écrit par : vf | 01/01/2008

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