02/05/2007
3 mai 2007 - Le livre qui fait la lumière sur un délire occidental :"NOUS SOMMES DES ANIMAUX, mais ON N'EST PAS DES BÊTES"
(Presses de la Renaissance) :
m
m
m
m
m
Communiqué des Presses de la Renaissance :
m
m<< En librairie à partir de ces jours-ci :
mNous sommes des animaux
mais
on n’est pas des bêtes
m par Jean-Marie Meyer et Patrice de Plunkett
m
m
L’homme est un animal. Mais les animaux sont-ils des espèces d’humains ? Ont-ils une vie psychique, un langage, des cultures ? Ont-ils des droits comme les nôtres ? « La science est en train de le prouver », dit-on ; vrai ou faux ? Ce débat soulève des problèmes essentiels, pour notre vie quotidienne et pour l’avenir :
> La première partie du livre est consacrée au psychisme de la bête. Les animaux communiquent, mais quoi et comment ? L’Occidental d’aujourd’hui ne se trompe-t-il pas quand il prête ses émotions humaines aux bêtes ?
> La seconde partie du livre étudie nos relations avec les animaux. Peut-on dire qu’un chat nous « sort de la solitude », alors qu’il n’est pas un humain ? Notre éthique a-t-elle quelque chose à voir avec le fonctionnement des sociétés animales ? Est-il vrai que les animaux ont une « morale », une « culture », dont seraient issues les morales et les cultures humaines ?
De l’explosion des dépenses de luxe pour chiens au boom des films animaliers, de l’influence du darwinisme à la revendication de droits civils et politiques pour les cétacés, Jean-Marie Meyer et Patrice de Plunkett (le philosophe et le journaliste) nous livrent un essai savoureusement percutant, vivant, richement documenté, sur les différences entre la bête et l’homme. Ils nous découvrent une crise de l’humain, que notre société est en train de fabriquer sous couvert de « respecter l’animal ». Et ils montrent l’urgence, pour l’homme, de se redécouvrir lui-même. >>
15:35 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : animaux, éthologie, philosophie, droits de l'homme
Commentaires
SEGO N'EN A PAS DIT UN MOT, C'EST INJUSTE
> Les animaux : il ne manquait qu'eux au registre compassionnel de Ségo. Vous me direz que le coup avait été fait par Chirac face à Mitterrand en 1988 et que ça ne lui avait pas porté bonheur. Je vous répondrai que c'est parce qu'il avait eu l'air de dire que les boîtes d'aliments pour chiens et chats étaient trop chères. Cela déplut.
Écrit par : Tana | 03/05/2007
AUJOURD'HUI
> Je vais lire ce livre avec curiosité : apparemment il va contre tout ce qu'on dit aujourd'hui !
Écrit par : ekat (et ses chiens) | 03/05/2007
Les commentaires sont fermés.