Pour François, c'est l'Europe qui est "périphérique"

Évocation de la rencontre des Poissons roses avec le pape :  ici...

 

Merci à Pierre-Yves Gomez de cette évocation.

Elle est significative. Méditons-la !

Prions aussi pour qu'elle soit lue (et admise) par quelques-uns qui tournaient en rond, enfermés dans dans une aversion envers François, glosant ses moindres boutades jusqu'à la surinterprétation ; soupçonneux comme si chacune de ses paroles frôlait l'offense à la "Fille aînée de l'Eglise"...

François évangélise. Il prend le réel à bras le corps. Sa paroisse est le monde entier. Lui en faire grief, lui reprocher (à lui argentin) de ne pas partager des obsessions franco-françaises cuites et recuites aux herbes d'amertume, c'est ne pas marcher avec l'Eglise. On regrette de constater cette attitude encore actuellement chez certains commentateurs catholiques. Drapés dans leur dignité, ne se demandent-ils jamais si leurs suspicions sont fondées ? Ne se rendent-ils pas compte qu'ils poussent leur public à perdre confiance ? Confiance et foi sont synonymes. Frères cathos français, encore un effort.