Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21/05/2013

"Une autre critique du capitalisme"

Réflexion communiste inédite : http://projet.pcf.fr/33899

 


-

Commentaires

TARD

> Excellent texte, qui montre qu'il y a encore quelques personnes à gauche qui pensent un peu plus loin que le mariage gay, mais n'est-ce pas trop tard pour eux? Les idées que semble découvrir le rédacteur du texte, cela fait des années que les auteurs cités les ont émises (40 ans en ce qui concerne Clouscard) et qu'elles sont reprises et défendues par des personnes venues de tous horizons, "dans un silence assourdissant" selon l'expression consacrée.
______

Écrit par : grzyb / | 21/05/2013

REMISE EN QUESTION

> Le communisme, par exemple soviétique, a lui aussi été un adorateur du productivisme et de la croissance. Il est bon qu'il remette ça en question.
Une bonne idée est de ne pas laisser confisquer l'idée de progrès. Rappelons-nous que, il y a 50 ou 100 ans, le progrès était d'améliorer la vie des gens et de travailler moins, ce qu'on a perdu de vue aujourd'hui.
______

Écrit par : Guadet / | 21/05/2013

> Excellent renvoi. Est-ce que l'augmentation des motifs d'avoir est une libération ?
______

Écrit par : Gérald / | 21/05/2013

> " ce symbole de la misère psychologique des nantis"
j'aime bien cette expression
______

Écrit par : E Levavasseur / | 21/05/2013

RENOUVEAU

> Libre à l’auteur de l’article de s’accrocher au mot « progrès », signature de toute lutte sociale à ses yeux. Pour ma part (culture chrétienne ?), j’en pince pour le « renouveau », surtout dans ce temps où nos libertés (l’usage que nous en faisons pour le bien de tous) ont besoin d’être revivifiées au contact d’une éthique et d’une écologie qui ne soient pas galvaudées. Ce printemps singeant l’hiver est là pour nous le rappeler : nous sommes en attente aiguë et urgente d’un renouveau !
______

Écrit par : Denis / | 21/05/2013

COMME LE PAPE !

> Implicitement cet argumentaire peut être considéré comme allant dans le sens de ceux "papaux".
D'une certaine façon est mis en exergue que le côté intra-séquement mauvais (le pire) du capitalisme est le découplement de la fin et des moyens. Le capitalisme n'st vraiment exécrable (indéfendable, mais plaisant pour ceux qui en profitent sans scrupules) que lorsqu'il ne devient qu'une fin et rien d'autre.
J'y reléverais surtout 2 choses essentielles pour notre temps :
1.) l'écologie imposerait au capitalisme certain frein critique. (L'exemple de la "station de ski" de Dubaï est excellent.)
2.) La culture matérielle de la nouveauté qui en vient à être érigé comme dogme (le culte devrions même dire), débouche sur la nécessité de la révolution sociétale (sans soucis de ses conséquences). Ainsi il est sidérant qu'un effet pervers du capitalisme soit porté par des partis dits socialistes.
______

Écrit par : franz / | 21/05/2013

@ Tous :

> J'ai déjà eu l'occasion de recommander chaudement la lecture de Michel Clouscard - moins connu que Jean-Claude Michéa, plus dense et plus complexe aussi - un penseur français considérable de l'après-guerre. Et tout particulièrement son Traité de l'Amour fou, ou encore sa brillante Critique du Libéralisme libertaire. Les Éditions Delga - du nom de la petite rue sans histoire qu'habitait l'auteur à Gaillac ! - republient depuis quelques années l'intégralité de son œuvre, à ma connaissance la critique socialiste la plus féroce et la plus implacable du bavardage gauchiste.
______

Écrit par : Guit'z / | 22/05/2013

le délire continue :

> http://www.lepoint.fr/economie/bitcoin-revolution-monetaire-ou-pyramide-a-la-madoff-22-05-2013-1670873_28.php
imaginez un système encore plus déconnecté des réalités que l'euro
______

Écrit par : E Levavasseur / | 22/05/2013

@ Guit'z

> Son évidente proximité avec le fruit de la vigne et du travail des hommes fait qu'un homme qui habite Gaillac est forcément plus proche du Bon Dieu et des réalités de la terre que n'importe quel pisse-froid buveur de soda des think-tank libéraux.
Je me demande pourquoi un tel argument n'a pas été avancé plus tôt.
Je partage l'ironie sur la découverte par ce monsieur du PCF des méfaits du productivisme mais me réjouis de l'arrivée des travailleurs de la dernière heure.

PS : think-tank : fait penser à "to sink/sank/sunk" = "couler"
sans plus de commentaire.
______

Écrit par : E Levavasseur / | 22/05/2013

Les commentaires sont fermés.