19/03/2011
D'ex-cadres japonais du nucléaire révèlent l'effarante vérité
Ils désignent General Electric, matrice des plans de l'usine-cauchemar de Fukushima : "Nous avons importé une technologie qui n'était pas conçue pour notre géographie particulière et les menaces qui vont avec..."
http://www.lesoir.be/dossiers_speciaux/special6/2011-03-1...
Les commentaires ne seront mis en ligne qu'en fin de journée : je suis au Forum Grands Témoins du Centre St-Jean de Boulogne Billancourt. Pour parler de ce sujet, entre autres choses !
00:00 Publié dans Ecologie, La crise | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : fukushima, nucléaire, catastrophes
Commentaires
> J'ai essayé d'ouvrir le lien, mais il ne fonctionne pas bien.
R.
[De PP à R. - Bizarre. Chez moi il fonctionne très bien. ]
réponse au commentaire
Écrit par : Roque / | 19/03/2011
Illustration de l'interrogation sur les lacunes de conception, un commentaire un peu technique:
> Ayant eu, il y longtemps, à connaître cette question particulière dans le cadre de mon travail, je m'étonne que, dans les informations et commentaires grappillés dans les médias, il ne soit jamais question d'une éventuelle alimentation de secours. Il n'y avait donc pas de groupes électrogènes de secours? ou bien ils étaient mal protégés, vulnérables? Lamentable !
Plus étrange encore, on ne nous dit pas réellement quel a été l'effet du tsunami sur ce site particulier. Or, si on regarde les vues par satellite postérieures au séisme, on voit que les environs n'ont pas l'aspect de chaos des zones dévastées: les bâtiments des réacteurs sont explosés, mais tout le reste semble propre et bien rangé, y compris les voitures sur les parking . La centrale aurait alors été à la merci d'une vulgaire panne de réseau, même sans désastre naturel? encore plus lamentable.
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Écrit par : Pierre Huet / | 20/03/2011
BONNE IDÉE
> Pour utiliser une lance incendie il n'est pas nécessaire (surtout avec les lances automatiques utilisées ici) de posséder des connaissances particulières, une formation d'une demi-journée devrait suffire. Je propose donc que par tirage au sort on désigne 130 actionnaires et cadres dirigeants de Tepco pour aller remplacer les pauvres bougres en train de se "suicider" en tentant de remédier au "merdier" dû à la cupidité et à la complète imbécilité de ceux qui les dirigent.
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Écrit par : Scrameustache le retour / | 20/03/2011
TRISTE NOUVELLE
> Knut ce petit ourson polaire qui avait déchaîné les passions (et mes rires attendris devant sa belle petite bouille) a été retrouvé mort. Les autorités du Berliner Zoologischer Garten ignorent pour le moment les causes de son décès. Il ne fera plus rire les milliers d'enfants qui l'avaient adopté...
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Écrit par : Merlin / | 20/03/2011
CARTE
> Complément: une carte publiée sur le site web de La Croix indique clairement que Fukushima N'A PAS été submergée.
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Écrit par : Pierre Huet / | 20/03/2011
LA FIRME TEPCO DE PLUS EN PLUS SUSPECTE
> Ils ont bonne mine, ceux qui nous accusaient il y a cinq ou six jours d'avoir "parlé trop vite" dans nos commentaires sur ce qui s'était passé à Fukushima.
Certes les partisans du système économique actuel détestent qu'on le critique, et voudraient qu'on ne dise pas ce qui leur déplaît. C'est vrai, quoi, l'ultralibéralisme et le productivisme induistriel mondial made in USA, c'est ce qu'on nous a enseigné dans nos chères business schools qui nous ont formatés une fois pour toutes. On ne va pas laisser la réalité bousculer ce beau dogme !
Mais là, vraiment, c'est eux qui ont parlé trop vite.
L'enuête accable la firme Tepco chaque jour un peu plus.
Ses aveux révèlent que les registres de contrôle de Fukushima ont été faussés avant d'être confiés aux autorités. Le plan de contrôle des installations et la gestion de la maintenance étaient inappropriés (dit l'Agence de sûreté nucléaire) et la qualité des inspections était insuffisante.
Tepco avoue entre autres ne pas avoir vérifié depuis 11 ans la carte d'alimentation d'une valve de contrôle de température.
Coutumière du fait, en 2002 déjà Tepco avait maquillé des rapports, scandale qui avait entraîné le départ de son PDG d'époque. Ce qui n'avait pas suffi apparemment à modifier la "culture d'entreprise". Vive le sacro-saint privé !!!
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Écrit par : Ned / | 21/03/2011
A Pierre Huet :
> Fukushima n'a pas été submergée ?
http://www.nytimes.com/interactive/2011/03/13/world/asia/satellite-photos-japan-before-and-after-tsunami.html?hp
Déplacez le curseur bleu de gauche à droite ou inversement pour voir le site avant/après...
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Écrit par : Thomas / | 22/03/2011
SUR LE BLOG DE SYLVESTRE HUET
> Je puis conseiller le blog du journaliste scientifique de Libération, Sylvestre Huet, qui suit la situation à Fukushima depuis deux semaines: http://sciences.blogs.liberation.fr/. Son analyse technique reste accessible à des profanes. Depuis le début, il se pose de sérieuses questions sur la dualité: opacité / transparence de la Tepco, des autorités japonaises et de l'autorité de sécurité nucléaire, tout comme sur l'absence d'anticipation de certaines situations.
Je cite un extrait de son billet d'aujourd'hui, après qu'il eût reconnu la totale transparence dans l'annonce des fuites radioactives, il se pose les questions suivantes: CIT En revanche, l’opacité règne sur la stratégie conduite pour venir à bout de l’accident et sur les raisons qui ont empêché une arrivée plus rapide sur le site des moyens de lutte des pompiers ou d’un câble haute tension. Aucune information, non plus, à propos d’un éventuel «plan B», si la radioactivité grimpait au-delà du supportable. Rien ne laisse entrevoir qu’on préparerait l’évacuation des personnes (plus d’un million) qui habitent entre 30 et 70 km autour de la centrale. Une procédure qui pourrait devenir nécessaire si le panache devenait plus dense et que les vents le poussaient vers l’Est.
Thierry Charles, de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), s’en étonne : «Si on avait à faire face à un tel accident, nous serions plutôt heureux de voir nos collègues réaliser des calculs, des simulations d’évolutions, proposer des stratégies.» Mais voilà, il semble que de proposer son aide serait toujours vécu comme un «affront» par les Japonais.
Pourtant, le déroulement de l’accident fait douter de la capacité d’anticipation des équipes de crise de Tepco et de la Nisa, submergées par l’ampleur des destructions et le nombre des urgences.
Concentrées sur les réacteurs, elles n’ont pas vu monter la menace explosive de l’hydrogène au-dessus des piscines. Or, il aurait été possible, en perçant le toit des bâtiments, d’éviter ces explosions. Des échanges avec les équipes américaines, françaises ou allemandes auraient peut-être permis d'anticiper ce risque et de l'éviter. Il aurait aussi fallu lancer, dès le début, un appel à l’aide massif, en logistique, eau douce et matériel électrique.
Dans cette catastrophe en cours, de nombreux mystères demeurent. FINCIT
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Écrit par : Edgard Dupré / | 26/03/2011
TREMBLEMENTS DE TERRE
> Le P. Cantalamessa a rappelé qu'au moment de la mort du Christ il y a eu un tremblement de terre, mais il a précisé qu'il y a eu un autre tremblement de terre au moment de la résurrection.
« Il en sera toujours ainsi, a conclu le prédicateur. A chaque tremblement de terre de mort succèdera un tremblement de terre de vie ».
http://www.zenit.org/article-27702?l=french
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Écrit par : elkana / | 23/04/2011
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