La CIDSE et Caritas expliquent : "Le protocole, qui inclut les réductions d'émissions obligatoires pour les pays développés, donnerait aux plus pauvres du monde un minimum de protection contre les effets néfastes de nouveaux changements climatiques et, par conséquent, contre la pauvreté."
"Abandonner le protocole de Kyoto serait un pas en arrière pour tous les pays, surtout pour les plus pauvres du monde", estime Rowan Popplewell (CIDSE) : pour ces pays, "ces négociations sont une question de survie. Les communautés vulnérables ont besoin d'un accord sur le climat juste, ambitieux et obligatoire, dont le protocole de Kyoto constitue un élément essentiel".
Source : Zenit.