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09/02/2009

Pourquoi la grève en Guadeloupe ?

santa8[1].jpg…pour de nombreuses raisons, dont celle-ci, que les libéraux vous cèleront mais qui fait l’objet d’un rapport du secrétaire d’Etat – et d’une perspective de poursuites judiciaires contre les compagnies pétrolières :


Dans Le Journal du dimanche (8 février), Yves Jégo s’interroge sur « un enrichissement sans cause des compagnies pétrolières » et envisage une action judiciaire de l’Etat contre ces compagnies. En effet, selon un pré-rapport officiel commenté par Le Monde, le coût des approvisionnements pétroliers dans les Dom-Tom n’est pas déterminé sur la base des approvisionnements réels « mais sur celle d’une formule intangible», avec « une clé de répartition invariable entre brut et produits finis ». C’est ce qui fonderait une action en justice contre les compagnies.

Le Monde signale que « l’inspection ne s’explique pas non plus pour l’instant des variations de 15% entre deux documents successifs, sans justification », sur la valeur ajoutée  sur les produits bruts. Selon ce quotidien, le rapport souligne que le coût du transport des produits vers la Guadeloupe n’a jamais été révisé depuis 1989 : chose « d’autant plus inadmissible que les coûts du fret ont baissé ». Et « l’inspection aimerait également vérifier que les pétroliers "ne se mettent pas une partie de la marge de détail dans la poche lorsqu’ils vendent directement du carburant aux gros clients" pour leurs cuves privées ».

Conclusion du rapport : « Cette longue liste d’anomalies, de chiffres non justifiés, de formules peu calées sur la réalité des coûts, me conduit à penser que la crédibilité du dispositif actuel est atteinte. » Et que les consommateurs antillais sont les victimes des pétroliers.

Une réalité brute (si j’ose dire) dont les métropolitains bien pensants devraient tenir compte, avant de mettre la grève sur le compte des indépendantistes...

 

Commentaires

DEUX CAUSES

> Analyse intéressante. Mais les deux causes ne peuvent-elles pas coexister ? La puissance du lobby pétrolier est hélas bien connue, c'est ce lobby qui empêche une véritable recherche appliquée sur les solutions de sortie du pétrole. Que les compagnies pétrolières se comportent ainsi ne serait pas surprenant. Mais cela n'empêche pas, parallèlement, et sans relation de cause à effet, une action subversive des indépendantistes (ou plutôt des autonomistes, car se priver de la manne de subventions serait suicidaire) qui mettent le bazar partout où ils le peuvent... Cf le post, sous une autre note, d'un de vos lecteurs la semaine dernière. Qu'en dit-il ?

Écrit par : Edouard | 09/02/2009

EN GUADELOUPE

Très bon article, c'est à peu près la même chose qui se passe au niveau de l'alimentaire aussi. Comprenez qu'avec des petits salaires les gens n'arrivent pas à s'en sortir.
j'ai déjà lu tellement d'horreur sur les Antilles ces temps derniers que depuis quelques temps je n'allume même plus mon ordi. Les gens ne comprennent pas notre souffrance car bien souvent ils se permettent de juger sans même connaître la Guadeloupe. Je crois que certains devraient balayer devant leurs portes avant de nous donner critique.

Écrit par : talia | 09/02/2009

CE QUI EXPLIQUE

> D'autant que s'il y a des pratiques injustes dans les dom-tom, cela peut expliquer les tendances indépendantistes.

Écrit par : vf | 09/02/2009

Bonjour !

> J'ai laissé un commentaire sur l'interview de Lilian Thuram pour expliquer la situation.
J'habite en Guadeloupe depuis plusieurs années et mon épouse est guadeloupéenne.
Ayant plusieurs enfants, nous souffrons d'autant plus de la vie qui est effectivement très chère ici et la comparaison des prix avec ceux de la métropole est éloquente. Les touristes qui viennent ici n'en reviennent pas. Notre propre situation professionnelle est précaire mais nous n'e restons pas moins objectifs par rapport aux revendications.
Les difficultés sont nombreuses et les injustices aussi.
Certaines des revendications du collectif sont justifiées mais beaucoup sont aussi exagérées ou incompréhensibles. Il s'agit en fait d'un empilement de tous ce que les syndicats veulent et je répète que le collectif veut tout, tout de suite, et sans compromis possible.
Les négociations n'en sont pas puisque le collectif EXIGE et non négocie.
N'ayons aucune illusion et il suffit d'écouter les journalistes ici: ils sont totalement du côté du collectif et tapent sans cesse sur l'état français et ses représentants. Ils appellent au soulèvement et justifient le fait qu'il pourrait y avoir morts d'homme car l'Etat français est méprisant (selon eux).
Les principaux leaders du collectif s'appuie sur des souffrances et injustices réelles pour assoir leur pouvoir par un blocage abusif: écoles fermées (avec des chaînes s'il le faut), entreprises fermées de force (ils débarquent et imposent de fermer sous peine qu’il pourrait arrivé pire), les routes et ponts peuvent être bloquées (et ici, il suffit de quelques voitures et camions en travers de la route et vous restez bloquées pendant des heures sans possibilité de passer ailleurs), discours raciste envers les blancs sans que personne ne bronche (par peur des représailles) et au contraire, cela est dit justifié (ma belle sœur guadeloupéenne nous témoigne qu’elle et des amis reçoivent des SMS invitant au racisme envers les blancs), stations service fermées…
Il est très clair que si les leaders de ce collectif prenaient le pouvoir (et en soi ils l’ont puisque leurs actions et propos ne sont pas contrés), nous serions dans une dictature avec l’aide des journaux, de certains intellectuels complètement aveugles sur la nature réelle de ce collectif (ou eux-mêmes compromis), des élus qui (je le rappelle) sont tous guadeloupéens et ne font pas leur travail.
Précisons qu’actuellement le slogan répété partout (à la radio, dans les groupes de protestations et du carnaval) est (traduit du créole) : « la Guadeloupe est à nous, la Guadeloupe n’est pas à eux ». Ce n’est pas de l’indépendantisme ça ?
A la radio, il est clairement dit par les journalistes et les interviewés qu’il y a le désir de changer de statut. Le problème est de savoir exactement lequel car tous savent qu’avec l’indépendance, l’argent de l’Etat français et de l’Europe va disparaître. Alors on préfère parler d’autonomie en disant : donnez-nous l’argent et nous nous occupons nous-mêmes de son utilisation.
Il y a l’illusion que l’administration de l’Etat français est défaillante et que seule notre propre administration va permettre que tout aille mieux. Toujours la même utopie que les autres sont mauvais et que nous sommes les bons.
Les élus locaux rajoutent à la surenchère en dénonçant l’Etat français sans chercher le bien commun et en croyant qu’eux font bien leur travail, alors que cela n’est pas le cas.

Je répète ce que j’avais écrit dans le commentaire sur Lilian Thuram : nous refusons de voir que nous sommes humains et donc pécheurs, et nous cherchons des bouc-émissaires en croyant que nous sommes les gens biens. Alors que nous devrions nous remettre en cause sur notre façon de penser et d’agir : cela s’appelle la conversion.

Je résume donc : les revendications exigées par le collectif reposent sur des problèmes sérieux et réels. Ces revendications ne sont pourtant pas toutes légitimes. La façon de les exiger est inacceptable. Les leaders de ce collectif sont des indépendantistes qui s’appuient sur de vrais problèmes pour asseoir leur pouvoir et leur désir d’indépendance en exacerbant l’hostilité envers l’Etat français et leurs représentants (tout en réclamant toujours plus d’argent ; je précise aussi que ces leaders sont des fonctionnaires payés par l’Etat avec 40% de salaires majorés + privilèges), qui utilisent la question de la couleur de peau pour appeler au racisme envers les blancs, qui utilisent des procédés d’intimidation et de subversion pour faire taire les opposants.
Tout est désormais bloqué : écoles depuis 3 semaines, administrations depuis 3 semaines certaines et le reste depuis lundi, commerces et toutes surfaces alimentaires.

Aujourd’hui, je suis témoin de ce qui a pu arriver lors de l’avènement de dictature et je suis confondu d’en voir le fonctionnement : utilisation de l’intimidation, de la subversion, de la désinformation, de la haine, mais tout cela sous un beau vernis.

M. de Plunkett, pour le coup, vous vous ralliez à un mouvement populaire dont vous semblez ignoré qu’il est manipulé. Quand vous écrivez : « Une réalité brute (si j’ose dire) dont les métropolitains bien pensants devraient tenir compte, avant de mettre la grève sur le compte des indépendantistes... », vous ignorez tous les guadeloupéens qui sont bien conscients qu’il y a de vrais problèmes ici (nous les subissons) mais qui n’acceptent pas la façon dont le collectif entend résoudre ces problèmes.
Notre économie est déjà mal mais là, nous allons couler à cause d’irresponsables qui n’en ont rien à faire des guadeloupéens car ils ont leur emploi, leur salaires, leurs privilèges. Et ils veulent le pouvoir.
Si vous voulez avoir des informations plus objectives que celles que vous avez, vous pouvez aller sur le site http://www.lescrutateur.com/ et vous pouvez appeler son fondateur M. Edouard Boulogne, ancien professeur de philosophie, qui vous donnera sa vision des faits au 05 90 82 36 42. On peut ne pas être d’accord avec tout ce qui est écrit sur son site, mais cela change de la version unilatérale des médias.
Une pétition circule également par le lien suivant : http://guadeloupe-lkp.webou.net/?petition=2 pour demander l’arrêt du blocage de la Guadeloupe (en précisant que « Cette pétition n'est en aucun cas contre les revendications du LKP mais simplement contre la méthode utilisée »). Il y a déjà plus de 2000 signatures depuis seulement 4 jours. Le problème est cependant que les noms des signataires sont affichés et il y a des risques de représailles.
Par ailleurs, allez faire un tour sur les commentaires de guadeloupéens sur un site tel que www.domactu.com:vous aurez la confirmation de mes propos par ceux qui vivent ici avec moi.

Bien cordialement

Écrit par : Jérôme | 10/02/2009

RESULTAT

> Merci pour le long commentaire Jérôme.
Un passage m'a stupéfaite :
" je précise aussi que ces leaders sont des fonctionnaires payés par l’Etat avec 40% de salaires majorés + privilèges), qui utilisent la question de la couleur de peau pour appeler au racisme envers les blancs, qui utilisent des procédés d’intimidation et de subversion pour faire taire les opposants. "
Voilà donc le résultat de l'humanisme guidé par les Lumières du pays des droits de l'homme ?

Écrit par : Annie | 11/02/2009

Lettre ouverte de Bison à « BondaManJak »

> A faire suivre à tous les gens intelligents de votre entourage, merci pour le peuple de la Guadeloupe
Bonjour à monsieur Filtre de BondaManJak.
Le droit d'expression, le droit d'échange intellectuel, le droit de réponse « dire 2 mots et 4 paroles », chez vous ce n'est pas possible.
Je trouvais ce site intéressant pour l'actualité et le droit d'y apposer des commentaires.
Après avoir réalisé 2 articles, je vois qu'ils ne paraissent tjs pas, le premier sur le coût de la vie en gpe et l'autre sur les patrons.
Comment élever le débat, comment susciter la discussion si ce n'est en provoquant gentiment (sans insulte) en créant l'échange (sans regarder que le bout de son nez).
Il semble que vous ayez décidé de ne divulguer que les articles qui vont dans votre sens, même les plus grossiers et sans intéret. BRAVO.
Des ados peuvent lire les articles, des gens qui n'ont pas le recul nécessaire à l'analyse vont s'en amuser. Vous ne ferez qu'attiser la haine et l'opposition de l'Homme à l'Homme. La Gpe et le guadeloupéen risque d'en être perdant et vous aussi. Vous êtes irresponsable!
Etre dans la négation systématique engendrera appauvrissement du peuple (au sens noble du terme). Pauvre peuple, il ne se rend pas compte que la pensée unique que vous instaurez est dépassé depuis des siècles. Vous ne vous en rendez pas compte ou peut être êtes vous vous même limité intellectuellement.
Il est dommage de profiter des plus faibles et des plus démunis par des discours partisans que vous ne maîtriser même pas. Une société se construit grâce à l'union des forces vives d'un pays. Vous allez conduire la Gpe à un Etat comme la Dominique ou Haïti. Pauvre de vous, pauvre de nous, pauvre peuple de la Guadeloupe qui mérite 100 fois mieux que le projet court terme que vous lui proposer.
Je pense que l'insulte peut être une de vos réponses, je n'attends pas, bien entendu à être diffuser je vous laisse à vos élucubrations malsaines et ignorerai pour ma part jusqu'à l'existance même de ce site.
Néanmoins, auparavant, je diffuserai cette lettre sur tous les blogs et site de la Guadeloupe qui, par contre, font preuve d'une véritable intelligence par leur analyse en leur pertinence.
Sachez, Monsieur Filtre de BondaManJak, que du dialogue et de l'échange, malgré des points de vue différents, sort la lumière.
Il y a pourtant tellement à faire de constructif comme monter une véritable régionalisation des petites antilles ou bien développer le secteur secondaire (gros manque des antilles) ou encore la mise en place de groupe de travail inter-îles pour débuter des accords commerciaux plutôt que de toujours tout importer et gagner sur les coût malgré de petites unités...
Y avez vous songé un seul instant?...
15 000 annulations, à ce jour, de voyage de vacanciers aux antilles ne vous suffit pas. Une bonne réputation se construit difficilement en plusieurs années, une mauvaise en quelques heures...Réffléchissez ... au moins un peu, que diable !!!
Votre point fort: Vous avez réussi, à verrouiller les maires, conseillers généraux et régionaux, les députés de la Guadeloupe élus par le peuple mais qui ont peur d'être impopulaire avec ce pseudo mouvement populaire...Bravo!!
Il faudrait que vous acceptiez la discussion mais vous en êtes, à priori, incapable.
Très cordialement,
Bison

Écrit par : Bison | 11/02/2009

LA PEUR

> je suis obligée de confirmer point par point le commentaire de Jérôme, il a absolument tout dit et maintenant circulent des mots comme guerre civile, tout le monde a peur et le ravitaillement n'est plus assuré.
Il y a quelques jours j'ai pu faire le plein avant que les stations ne soient a nouveau bloquées, mais j'ai peur de me déplacer pour chercher des produits frais sur les marchés des grandes agglomérations, car je veux garder mes derniers litres en réserve.
Les commentaires sur
http://www.domactu.com/actualite/guadeloupe/
sont édifiants.

Écrit par : Renée | 11/02/2009

LA SITUATION

> Bonjour ! M. de Plunkett, vous avez publié ces jours-ci deux articles concernant la Guadeloupe dont celui-ci. Pour les deux, j'ai écrit de longs commentaires pour expliquer ce qui se passe et j'espère qu'ainsi les lecteurs de votre blog auront eu une vision différente de ce que vous avec publiez.
Je répète que les problèmes sont sérieux ici et sont connus depuis longtemps sans que rien ne soit tellement fait pour les résoudre (et ce quelle que soit l'appartenance politique des élus et du gouvernement).
Mais vous devriez peut-être vous renseignez plus sur le sort de la Guadeloupe (comme de la Martinique d'ailleurs mais je préfère parler du lieu ou j'habite) afin d'éclaire sur ce qui se passe ici.
C'est extrêmement grave puisqu'on assiste à ce qui pourrait donner une dictature. La comparaison avec l'avènement du nazisme n'est pas dénuée de fondements puisque des extrémistes intelligents et brutaux n'hésitent pas à s'appuyer sur des problèmes réels et sur la plaie de l'esclavage et du racisme pour pousser à la révolte et au meurtre des blancs.
Le leader du mouvement, Elie Domota, a précisé que si un seul cheveu d'un membre du collectif était touché, il y aurait des morts.
Voici la vidéo qui le montre:
http://www.domotarchie.com/de-lart-et-la-maniere-de-preparer-ses-troupes-a-la-violence
Alors l'Etat français n'ose pas intervenir pour ne pas est accusé d'opprimer le peuple guadeloupéen (même s'il s'agit de faire simplement respecter l'Etat de droit puisque les commandos du collectif utilisent la force, l'intimidation et la désinformation pour tout bloquer). C'est pour cela qu'Yves Jégo est intervenu hier samedi pour dire que cela doit cesser:
""Le secrétaire d'Etat à l'outre-mer Yves Jégo a affirmé vendredi que "l'Etat fera respecter le droit" en Guadeloupe, en dénonçant "un climat de terreur, de pression" sur certains commerçants pour qu’ils ferment leurs magasins.
"On ne peut pas rester dans une situation de cette nature-là, on ne peut pas accepter que des situations de droit ne soient pas respectées", a-t-il déclaré sur France 2""
Un journaliste a fait un documentaire fallacieux sur les békés martiniquais (descendants des esclavagistes et possesseurs de grandes fortunes bâties sur certains monopoles) afin de montrer notamment leur racisme toujours actuel. Il a été volontairement diffusé lors du démarrage de la grève en Martinique provoquant des antillais à tirer sur les habitations de ces békés (les gendarmes doivent maintenant protéger ces habitations).
M. de Plunkett, rétablissez la vérité ! Et ne soyez pas comme nos évêques (des Dom) qui ont fait une déclaration commune pour parler de la situation ici, déclaration qui n'est pas mauvaise en tant que tel mais qui a "oublié" de parler du racisme des leaders du collectif envers les blancs (n'hésitant pas à appeler au meurtre de ces blancs en cas de problème) et des méthodes dictatoriales employées par ces leaders pour asseoir les revendications (Yves Jégo à parler d'insurrection).
Les évêques comme beaucoup ici ont soit peur des représailles dont ils pourraient faire l'objet, soit sont complices de ce qui se passe (en Guadeloupe notamment où les prêtres guadeloupéens et l'administrateur diocésain font preuve d'indépendantisme et de racisme notamment envers leurs propres confrères prêtres : beaucoup ici pourraient vous en témoigner), soit font preuve d'une vision "béate" (le mot n'est pas exactement celui-là) de la situation en se basant sur la version des médias qui sont totalement acquis au collectif et sont volontairement muets sur les méthodes employées et les réelles motivations des leaders syndicaux.
Encore une fois, il y a de vraies injustices ici et il s'agit d'arrêter cela mais nous arrivons à un régime dictatorial.
Par ailleurs, j'attire votre attention sur un livre qui vient de sortir ici "Et si Dieu n'aimait pas les noirs ?" de serge Bilé (site officiel http://www.sergebile.com/) qui fait l'objet d'une publicité continuelle sur nos radios ici. Allez voir sur le site en question: les accusations sont extrêmement graves.
Seul l'évêque de Martinique a fait une mise au point (cf. http://martinique.cef.fr/afficher.php?article=1).
Cela est utilisé par les leaders du collectif pour exacerber les esprits sur la question de l'esclavage, du colonialisme et du racisme. Et pour pousser les antillais à la haine, au racisme, au meurtre.
Merci pour la vérité que vous rétablirez.
Bien cordialement.

Écrit par : Jérôme | 15/02/2009

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