11/02/2009
La crise, l'environnement, le bien-être et l'être : vidéo du débat d'hier soir aux Bernardins
http://www.ktotv.com/cms/videos/fiche_video.html?idV=0004...
Avec : Alain Grandjean (Carbone 4 / fondation N. Hulot), le P. Jean-Marc Daul et moi-même.
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11:01 Publié dans Ecologie, VIDÉOS P.P. | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : écologie
Commentaires
ONDES
> Vu avec intérêt que vous étiez sur la même longueur d'ondes que Grandjean le scientifique. On ne peut plus dire que le dialogue n'est pas utile entre sciences et religion : autre apport de l'écologie à la culture contemporaine.
Écrit par : cospon | 11/02/2009
> Merci pour cette émission incisive et lumineuse.
Écrit par : Michel de Guibert | 12/02/2009
AUDITOIRES
> Votre contribution qui nous a semblé à la fois d'une exceptionnelle clarté, d'une justesse de ton non moins exceptionnelle et d'une rare hauteur de vue est-elle entendue par ce type d'auditoire autrement que comme une manifestation de plus de ce que quantité de beaux esprits qualifient encore de propos exagérément alarmistes ou d'aveu d'impuissance sans lendemain ?
TDJB
[ De PP à TDJB - Justement, je suis frappé de l'évolution des esprits. Ici ou là, des blocages encore évidents l'an dernier se dénouent sous le choc de la crise. C'est le moment de se lancer dans les explications et les débats. ]
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Écrit par : TDJB | 21/02/2009
SANS TARDER
> Merci de cette réponse spécifique.
Mais alors, cette prise de conscience tardive, ne risque-t-elle pas à présent et plus que jamais, de se transformer en une monstrueuse passivité chrétienne, implicitement "complice" des horreurs socio-économiques annoncées froidement par les dominants si les chrétiens authentiques ne se risquent pas davantage ?
La non-assistance à des pays entiers en grand danger ne réclame-t-elle pas tout autre chose que le repli frileux dans une certaine conception opportuniste de l'abandon total à la volonté divine ?
Où sont donc les contributions chrétiennes à l'avant-garde de ce qu'en langage de croyants, des précurseurs tels que Pierre Teilhard de Chardin (que vous citiez) nommaient "l'avènement de l'Infiniment Bon Universel" à la fois dans le plus intime de nos vies intérieures et dans le plus matérialisable de notre engagement socio-économique ?
Et si, dites-vous, "des blocages encore évidents l'an dernier se dénouent sous le choc de la crise", ne serait-il pas urgemment opportun d'aider enfin tout particulièrement les "pionniers-volontaires de sensilité chrétienne" (Nous avons la conviction qu'ils sont potentiellement innombrables), à définir au plus vite, sur mesures, leurs propres conceptions des écoredéploiements, à les expérimenter à échelle restreinte, à les relier et à les réussir dans leurs périmétres d'écoresponsabilité actuels un peu partout ?
Et à le faire avant qu'ils ne soient pris de vitesse par le jusqu'au-boutisme suicidaire des dominants et par leurs sinistres chefs de guerres, dans des "guerres économiques" indéfendables, "guerres techno-scientistes ultra-ciblées", "guerres faussement idéologiques ou idéocratiques", etc. déjà tous prêts à légitimer à grande échelle des "guerres alimentaires" ou les "guerres fratricides pour la récupération de la finance mondiale, des dernières réserves naturelles ou des ressources fossiles résiduelles au sein d'une biosphère trop saccagée" ?
Écrit par : TDJB | 21/02/2009
EN AUCUN CAS
> Il ne faut en aucun cas laisser que la crise nous fasse oublier les impératifs écologiques.
Écrit par : kate | 24/02/2009
BERNARDINS
> Je viens de découvrir votre intervention au Collège des Bernardins. N'avez-vous pas pensé mettre le texte de votre exposé en ligne ? Je pense qu'il serait fort apprécié.
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Écrit par : Alain Ledain / | 04/03/2010
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