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13/12/2019

Arrêt du Conseil d'Etat : les oies cendrées ne seront pas sacrifiées à la campagne LREM des municipales

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Le Conseil d'Etat vient de retoquer pour "illégalité" un arrêté gouvernemental prolongeant de quatre semaines le massacre des migratrices... Arrêté qui avait été pris pour complaire à la Fédération nationale de la chasse, alliée politique de M. Macron :


Grâce au livre de la journaliste Emilie Lanez [*], on sait que l'Elysée s'est acquis en décembre 2017 l'hommage-lige de la Fédération nationale de la chasse (Willy Schraen), faisant ainsi perdre cet électorat à LR. Objectif : les municipales de 2020. Déjà la FNC est intervenue en décembre 2018 pour empêcher ses adhérents de rejoindre les gilets jaunes...
Mais c'est donnant-donnant : d'où les étranges décisions de Matignon transférant des responsabilités "écologiques" (?) au parti des chasseurs, et cherchant à annuler autant que possible des réglements qui limitent des saisons de chasse.
C'est l'une de ces décisions pro-chasse que le Conseil d'Etat vient d'abroger : il déclare illégal un récent arrêté gouvernemental qui permettait de tuer 4000 oies cendrées et allongeait d'un mois la période de cette chasse.
Pour une fois, une directive européenne aura donc servi à quelque chose.
Laissons migrer les oies sauvages !

__________

[*]  Noël à Chambord, d'Emilie Lanez (Grasset 2019, 144 p.)

 

 

Willy Schraen, allié "secret" (quoique volumineux) d'Emmanuel Macron

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Ceci massacre cela

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00:26 Publié dans Macron | Lien permanent | Commentaires (21)

Commentaires

LA CREATION N'EST PAS UN TERRAIN DE JEU

> http://france-sans-chasse.org/chasse-france/les-lachers-de-tir
Mon défunt grand-père avait été président d'une société de chasse, en Lorraine, il y a trente ans. Je garde le souvenir, enfant, d'entendre évoquer les achats d'animaux par l'association dans le seul but de les lâcher dans la nature la veille de l'ouverture de la chasse. Les pauvres bêtes, hébétées dans leur nouvel environnement, étaient littéralement massacrées le lendemain ou le surlendemain. Ayant pris conscience de l'immoralité de cette pratique, mon grand-père cessa de chasser quelques mois avant d'être rappelé au Père.
Dans la perspective de 'Laudato Si', peut-être faut-il rappeler que de telles décimations de gibier à peine lâché dans la nature consistent en une insupportable atteinte à la Création, du même ordre qu'une déforestation massive ou une surexploitation des ressources halieutiques : autant d'actes qu'il faut dénoncer comme relevant du "péché écologique" nouvellement établi par le pape François.
Le même constat vaut évidemment pour les lâchers de quintaux de poissons d'élevage la veille ou l'avant-veille de l'ouverture de la pêche : la Création n'est pas un terrain de jeux !

PV


[ PP à PV – Surtout quand aujourd'hui le "jeu' (joué par des guignols ventrus déguisés en guerriers : tenues camouflées etc), devient dérisoire et malsain... ]

réponse au commentaire

Écrit par : Philippe de Visieux / | 13/12/2019

LA 13e FOIS

> https://www.lpo.fr/actualites/le-conseil-d-etat-annule-une-nouvelles-fois-la-prolongation-de-la-chasse-aux-oies-migratrices-en-fevrier

D'après cette info c'est 13ème fois que le Conseil d'Etat annule ce type de décision !
Il est clair que les politiques cherchent à satisfaire les chasseurs au mépris des lois.
Et ils recommenceront, car avant que le droit ne parle il se passe suffisamment de temps pour que les chasseurs "cartonnent".....
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Écrit par : Marc / | 13/12/2019

à Patrice :

> Oui, "guerriers" qui empêchent quasiment toute promenade en forêt en période de chasse. En effet, les accidents n'arrivent pas qu'aux autres : encore tout récemment, j'apprenais qu'un cueilleur de champignons avait été pris pour un "cochon" par un chasseur qui lui logea une balle en pleine tête, faisant plusieurs orphelins au passage...
Qui ose s'aventurer dans un bois où résonnent des tirs de fusil ?
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Écrit par : Philippe de Visieux / | 13/12/2019

VIANDARDS

> Juste pour l'anecdote et pour l'avoir vu, en 1980 existait au Centre d'Enseignement Zootechnique de Rambouillet, sur les chasses présidentielles, une rampe de lancement, à l'abandon, constituée d'un long tube, de plusieurs dizaines de mètres de long et du diamètre d'un canard, conduisant en pente douce à la cime d'une haie d'arbres, dans lequel on enfilait en bas les canards qui n'avaient d'autre issue pour s'échapper que l'autre bout du tube et tomber en battant des ailes de l'autre coté de ladite haie, où les attendaient les "chasseurs".
C'était du temps de Giscard surnommé le Viandard par Le Canard Enchainé.
Pour rester honnête, je n'ai pas entendu dire, à l'époque, qu'il y avait été enfourné des poules ou des lapins, ou des brochets.
https://lelab.europe1.fr/valery-giscard-d-estaing-grand-chasseur-n-a-pas-renouvele-son-permis-11063
"En 2017, le président Emmanuel Macron souhaite rouvrir les chasses présidentielles pour « les intérêts de la France », souhaitant en faire un « instrument d'attractivité. C'est quelque chose qui fascine à l'étranger, ça représente la culture française, c'est un point d'ancrage »"
https://fr.wikipedia.org/wiki/Chasses_pr%C3%A9sidentielles

Yvan


[ PP à Yvan – Le petit Macron restaurant les chasses présidentielles ! Ça fait penser au dialogue célèbre, à Rambouillet en 1906 :
– Armand Fallières (maître des lieux) : "Il est joli, cet air de cor, Madame la duchesse..."
– La duchesse d'Uzès (invitée) : "Cette sonnerie de trompe est La Royale, Monsieur le président de la République." ]
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Écrit par : Yvan / | 13/12/2019

CE N'EST PLUS DU SPORT

> On ne peut certainement plus appeler la chasse du sport.
Même quand il ne s'agit pas d'animaux d'élevage relâchés dans la nature, la nature des armes utilisées, avec une portée d'un kilomètre, ne laisse aucune chance au gibier. Sans compter que le chasseur arrive sur les lieux de chasse frais et dispos au volant de son 4x4. Lieu de chasse qui a été copieusement agrainé les mois précédents pour attirer le gibier. L'agriculteur produit donc du maïs que le chasseur va disperser en forêt. Bien nourris, les sangliers se reproduisent davantage et vont ravager les champs de maïs de l'agriculteur. Et tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Quant aux migrateurs, ils ont suffisamment de dangers créés par l'homme sur leur route pour qu'on n'en rajoute pas. Citons : les lignes haute-tension, les éoliennes et l'éclairage qui perturbent leur orientation, la disparition de nombreux sites de repos sur leur trajet, la nourriture empoisonnée par les pesticides qui abrège leur durée de vie.
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Écrit par : Bernadette / | 14/12/2019

à Yvan :

> François Mitterrand, qui détestait la chasse, avait tenté de mettre fin aux chasses présidentielles peu de temps après son élection. Ce fut une ruée dans les brancards, surtout de la part du CAC 40 qui se pressait à Rambouillet pour y retrouver les anciens copains de l'ÉNA. Le père de Mazarine chargea Grossouvre de s'occuper de ces rendez-vous tout aussi discrets que recherchés, que ce dernier organisa jusqu'à son décès dans les circonstances qu'on connaît.

PV


[ PP à PV – Mitterrand détestait la chasse mais raffolait des ortolans, et l'on sait quel traitement ça inflige à ces oiseaux... ]

réponse au commentaire

Écrit par : Philippe de Visieux / | 14/12/2019

L.R.E.M. NE PREND PAS CHEZ TOUS LES CHASSEURS

> Je m'éloigne un peu du sujet, mais pour connaître de nombreux chasseurs de la France d'en bas (pas ceux qui sont invités à Rambouillet ou pratiquent la chasse à courrre), la pêche aux voix des chasseurs par LREM n'a pas l'air de fonctionner.
On a beaucoup parlé de la baisse du coût du permis national, mais celui-ci de concerne pas les chasseurs ruraux modestes qui chassent dans leur commune, seuls les "premiers de cordée" de la chasse profitent de cette mesure.
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Écrit par : Tryphon Tournesol / | 14/12/2019

@ Tryphon Tournesol:

> la division par deux du prix du permis de chasse ne concernerait pas tout le monde? Quoi qu'il en soit, que votent majoritairement les chasseurs des modestes communes? Chez nous il semble que ce soit RN, or RN est l'allié objectif de LREM.
Enfin j'ai entendu qu'un certain nombre de personnes, dont des jeunes, passeraient leur permis de chasse, sans chasser ensuite. Dans quel but alors posséderaient-ils une arme?
La paix des banlieues - avec le passage au karcher dont nous découvrons aujourd'hui les techniques miliciennes comme gilets jaunes, verts et ces jours-ci grévistes - a été achetée par l'approvisionnement régulier, via des réseaux politiques, de drogue (demandez aux habitants), dont le trafic est assuré par des bandes armées. Une recette qui marche dans les banlieues, ça devrait aussi le faire dans les campagnes, non ?
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Écrit par : Anne Josnin / | 15/12/2019

à Yvan :

> https://www.lemonde.fr/politique/article/2009/12/18/scenes-de-chasses-presidentielles_1282592_823448.html

Un article consacré aux chasses présidentielles détaille le cérémonial insensé dont la description m'a d'abord fait songer à un poisson d'avril :
"Les chargeurs de l'Office national des forêts, en culottes de cheval gris bleuté et vareuse militaire portant les fusils des invités. Les déjeuners dans une clairière, avec vaisselle de porcelaine, bouillons chauds, mets et grands vins. A Chambord, où trente à trente-cinq chasseurs triés sur le volet venaient chasser le sanglier, les tableaux de chasse risquaient de scandaliser les écologistes, devenus plus puissants. La tradition ne voulait-elle pas que l'on expose, devant le château Renaissance spécialement éclairé, les dizaines de bêtes abattues, à la lumière des torchères, pendant que les sonneurs jouaient du cor ?"...
Et le tout, aux frais du contribuable ou plutôt des créanciers du pays !
J'ose espérer que l'actuel hôte de l'Élysée, qui a selon toute vraisemblance 'ressuscité' les chasses présidentielles, ne tolère plus ce genre de cérémonial d'un autre âge.
Une note humoristique dans ce bien sombre paysage : "Le jour où un faisan abattu tomba sur Grossouvre, lui cassant la clavicule, [Mitterrand] n'eut qu'un rire cruel devant le bras en écharpe du conseiller : "La nature s'est vengée !" "
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Écrit par : Philippe de Visieux / | 16/12/2019

@ Anne Josnin

> Que voulez-vous dire par "les techniques miliciennes comme gilets jaunes, verts et ces jours-ci grévistes"
Ne vouliez -vous pas plutôt évoquer dans ce registre, les Blacks Blocks, les Antifa, voire Act'up comme à Toulouse?
https://www.infos-toulouse.fr/2019/12/15/creche-vivante-incidents-journaliste-agresse/?fbclid=IwAR0TZRTljkl5ZwuTom3-y52FaMc8zC-o6ScqZo-jN50bQmzgL4WmiIGFODg
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Écrit par : PF. Huet / | 16/12/2019

PF Huet,

> je pense que le sens de la phrase d'Anne est "en qualité de gilet jaune, vert etc" on découvre...
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Écrit par : Bernadette / | 16/12/2019

@ Anne Josnin

> La baisse concerne le permis NATIONAL qui permet de chasser partout, et non le permis départemental qui permet de chasser dans son seul département.
le 1er concerne les chasseurs qui ont les moyens de se déplacer pour passer le week-end à chasser loin de chez eux, qui vont dans des chasses privées, ou peuvent payer l'adhésion dans plusieurs ACCA ou sociétés de chasse.
Les chasseurs modestes chassent dans leur commune et se contentent du permis départemental, dont le prix n'a pas baissé.
Donc seuls les chasseurs aisés profitent du cadeau jupitérien.
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Écrit par : Tryphon Tournesol / | 17/12/2019

Anne,

> avez-vous des sources à nous proposer concernant votre idée de banlieues inondées par la drogue via une collusion des politiques et du grand banditisme ? Merci !
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Écrit par : Jean-Luc Derrien / | 18/12/2019

@ PF Huet:

> Bernadette a bien compris le sens de ma phrase un tantinet alambiquée: ce que subissent les gilets jaunes, les militants verts, les grévistes, ce sont des pratiques miliciennes mises au point dans les banlieues (comme auprès des migrants).

@ Jean-Luc Derrien:

> pas de sources officielles, mais si je suis sur écoutes, ma voiture, mon tél, suivis via satellite, si je suis suivie, mise à l'écart dans des manifestations publiques, les RT me faisant interpeller puis immobiliser sans motif si ce n'est "ce sont les ordres", si je convoquée et fichée... ce n'est pas que pour des pochoirs biodégradables faits sur les trottoirs pour prévenir les populations locales du risque majeur de submersion marine (même si cela seul déjà ne plaît pas du tout du tout).
A ce qu'on m'a dit, le système n'aime, mais alors vraiment pas, que quelqu'un participe à divers mouvements, agisse et parle avec tout le monde, en ignorance des murs qu'il a patiemment monté entre nous.
Or j'apprends beaucoup de toutes ces rencontres militantes, de tous ces mondes en souffrance et en lutte.
A défaut d'avoir des sources donc, je vous invite à aller confronter ce qu'on m'a dit à ce qu'auprès de chez vous il se dit dans les quartiers, et on en reparle quand vous voulez ;-)
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Écrit par : Anne Josnin / | 18/12/2019

à Jean-Luc Derrien:

> Idem qu'Anne. Pour avoir été prof de banlieue dans le sud (Marseille et Nice entre autre) un bon moment, pour fréquenter des policiers et gendarmes dans mon club de tir, pour avoir vu les réponses des autorités lors de signalement et de rapports sur divers trafics de stupéfiants dans un de mes lycée, je peux vous affirmer que oui, les trafics sont connus, protégés voire encouragé par une bonne partie des "responsables" locaux. Pas de preuves matérielles, si c'est cela que vous voulez, mais des observations, des conversations, et bêtement, de la réflexion.
Pour faire court, oui la République est devenue une république bananière et les partis politiques, de véritables mafias au sens strict du terme. Je ne dirais rien sur l'ex-maire d'une grande ville du sud-est connue pour sa promenade, pas envie de procès.
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Écrit par : VF/ | 18/12/2019

Anne,

> les quartiers dont vous parlez, c'est-à-dire les quartiers défavorisés en pur béton de la proche banlieue parisienne, je ne les ai pas visités, j'y ai vécu : c'est mieux que d'être touriste.
J'y ai vu bien des choses, mais pas de trafic de drogue organisé par la classe politique avec le concours de milices armées pour faire tenir tranquille la population (idée que je trouve bien insultante pour elle : aussi stupéfiante que soit cette révélation, il y a des gens qui ne se droguent pas, dans les banlieues).
Et je n'ai jamais cru non plus que mes petits militantismes du week-end faisaient de moi un être exceptionnel.
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Écrit par : Jean-Luc Derrien / | 19/12/2019

CE QUE J'AI VÉCU

> Ah, je suis navré de ne pas être capable de réflexion, même "bête". Je laisserai donc s'exprimer sur cette question les gens venus d'ailleurs, qui sont plus à l'aise pour parler de ce que j'ai vécu que moi. Je n'en garde pas moins le sentiment que les autoportraits d'artistes en résistants un peu condescendants sont peut-être décisifs en terme de militantisme, encore que sans doute pas, mais pas très chrétiens.
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Écrit par : Jean-Luc Derrien / | 19/12/2019

PP à JLD
Votre adresse mail ne fonctionne pas...
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Écrit par : PP à JLD / | 19/12/2019

@ Anne josnin

> Merci pour la précision, je m'étais perdu dans le raccourci.
Oui, les trafics sont acceptés, ne serait-ce que pour masquer le désastre de l'économie légale de ces cités. J'avais entendu sur une radio (Inter, je crois) qu'après des opérations policières d'envergure, il y avait eu des hausses calamiteuses du nombre de loyers impayés. Alors, maintenant, on évite et on envoie la BAC se défouler contre les Gilets Jaunes.
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Écrit par : PF. Huet / | 19/12/2019

Bonsoir Jean-Luc,

> pardon si je vous ai blessé, telle n'était pas mon intention, et il n'y a aucun mépris pour la banlieue de ma part, bien au contraire.
Je n'ai pas dit que tous s'y droguaient (les produits illicites circulent dans tous les milieux, à commencer par les établissements huppés chez nous).
Je n'y fais pas non plus de tourisme, mais par mon travail, mes engagements dans le social, comme GJ, etc, (pardon pour mon autoportrait: c'est ma réaction aux intimidations que je subis: ne pas me taire mais continuer à témoigner), oui je me rends régulièrement dans les quartiers de chez nous (sans jamais avoir été inquiétée, je m'y sens mieux qu'en bien d'autres endroits), et c'est ce qui se dit dans ces quartiers, où j'ai des amis en or.
Cela ne fait d'ailleurs que corroborer les propos d'une maire d'une des grandes villes chez nous il y a quelques années, lors d'une campagne électorale,à savoir qu'il ne fallait pas s'attaquer au trafic des banlieues, parce que c'était aussi un marché, avec tous les bénéfices qu'en monde libéral on y voit. On a ôté les éducateurs et la police de proximité, on a passé au karcher puis on a arrosé en drogue: voilà ce que me disent ces jeunes adultes pour qui se construire un avenir comme tout le monde est parcours du combattant, alors qu'ils sont bourrés de talents.
Et les répressions policières sur ceux d'entre eux qui ont porté le gilet jaune ont été immédiates, discrètes, et particulièrement odieuses.
Vous devez connaître tout cela mieux que moi, je vous remercie aussi pour vos précisions.
Merci de rappeler enfin que je ne suis pas exceptionnelle: il y a des milliers de militants qui subissent bien pire que moi, des milliers de citoyens qui n'ont droit ni à une défense ni même à la parole face à des procédures judiciaires, des intimidations, des violations de leurs droits autrement révoltantes.
Bien cordialement,
Anne J.
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Écrit par : Anne Josnin / | 19/12/2019

NAGUÈRE

> Du temps où il était licite pour eux de donner de l'argent aux partis politiques, de richissimes chefs d'entreprise parisiens arrosaient à part égale les quatre "grands partis" de l'époque. "Ainsi, quel que soit le sens du vote présidentiel, nous aurons le soutien du gouvernement."
Pour éviter toute chasse aux sorcières (on ne sait qui est susceptible de lire ce message), je précise que mon informateur est décédé.
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Écrit par : Bernadette / | 21/12/2019

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