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03/02/2015

Joie en Amérique latine : le pape François donne son aval à la béatification de Mgr Romero, martyr du Salvador

...assassiné à l'autel par un tueur de l'extrême droite !

Pour en savoir plus : taper  Mgr Romero  dans la fenêtre RECHERCHER

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amérique latine,catholiques

 

 

 

 

Commentaires

ENFIN !

> enfin ! après tant de campagnes ignobles de l'extrême droite même ici en Europe chez les tartufes, contre sa mémoire ! merci François !
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Écrit par : churubusco / | 03/02/2015

Mgr ROMERO

> Youpi !
Il a été victime de campagnes haineuses de l'extrême-droite et de la désinformation sournoise de la gauche qui cherchait à le récupérer et à s'en servir pour attaquer l'Eglise.
Et il était le grand ami de saint José Maria Escriva Balaguer, fondateur de l'Opus Dei dont il n'a cessé de demander avec insistance l'ouverture du procès en béatification/canonisation.
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Écrit par : E levavasseur / | 03/02/2015

EN HAINE DE LA FOI

> On ne peut que louer encore une fois la sagesse et la prudence de l'Eglise qui devait acquérir la certitude que cet assassinat avait été perpétré "en haine de la Foi" et non pas pour de simples raisons politiques. C'est toute la difficulté et aussi l'immense intérêt du travail des postulateurs. Souvent le temps est un auxiliaire bien précieux.
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Écrit par : mcm / | 03/02/2015

THÉOLOGIES DE LA LIBÉRATION

> Je ne puis croire que ceci ne fasse pas signe (positif) envers la théologie de la libération. Et, plus amplement, envers le fait d'être chrétien.... oui, mais dans la Cité.

Aventin


[ PP à Aventin :
Bien sûr, c'est un signe positif envers la véritable théologie de la libération : celle que le cardinal Ratzinger évoquait dans son document de 1986 consultable sur le site du Vatican. (Congrégation pour la doctrine de la foi, 'Instruction sur la liberté chrétienne et la libération').
Et c'est la déroute des catho-libéraux français ou américains, qui enseignaient depuis vingt ans :
a) que l'Eglise ne met pas en cause les structures,
b) qu'elle se contente de moraliser les personnes.
Or :
a) l'Eglise ne "moralise" pas : elle évangélise, ce qui n'est pas la même chose.
b) elle met bel et bien en cause les structures quand celles-ci sont injustes et oppressives (cf Ratzinger, document cité)... En ce cas elle encourage les peuples à se dresser pour obtenir le changement de ces structures, par tous les moyens appropriés et non excessifs. Ces luttes sont liées à la dignité humaine : elles concernent donc la doctrine sociale de l'Eglise.
Le jour où tous les catholiques français auront compris ces choses, ils y verront plus clair sur leur propre foi... ]

réponse au commentaire

Écrit par : Aventin / | 05/02/2015

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