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12/11/2014

La Terre peut nourrir 9 milliards d'habitants... à condition de renoncer au productivisme agro-chimique type FNSEA

 écologie

...et c'est un site catholique qui vous le dit :  ici


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Commentaires

QUOI

> "quoi, après les évêques français Aleteia aussi pactise avec la culture de mort antilibérale ?", va dire le lobbyiste FNSEA bien connu des sacristies...
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Écrit par : Quiniou / | 12/11/2014

"LES CONTRE-VERITES DE L'ECOLOGISME"

> "C'est un péché contre la confiance que Dieu a en l'Homme et ses pesticides, et un manque de confiance en sa Providence et en la nouvelle Pâque, ainsi que du catastrophisme et un retour du totalitarisme et du goulag..."
diraient de pieux personnages.

AM


[ PP à AM - Pas si pieux que ça : leur discours de milieu social est de plus en plus en contradiction avec l'enseignement du Magistère et les initiatives de l'Eglise réelle. Voir par exemple le colloque de la CEF organisé le 29 novembre à Paris, notre note d'hier. Voir le discours du pape aux mouvements populaires mondiaux invités au Vatican (et la fureur qu'il soulève dans le micro-milieu des salons français). Etc... ]

réponse au commentaire

Écrit par : Aurélien Million / | 12/11/2014

ABERRATIONS DANS LES CIRCUITS

> Indépendamment des types de culture, il y a des aberrations invraisemblables dans les circuits de distribution : faire venir en France des pommes du Chili dont une bonne part finira à la poubelle soit de la grande surface, soit même du consommateur qui aura oublié les pommes trop longtemps dans la cuisine, alors que par ailleurs, le paysan chilien n'a pas toujours de quoi manger... ou acheter du blé d'Ukraine en passant par des traders suisses qui le feront transiter par Dieu sait où pour "optimiser" les taxes d'importation...
Le gaspillage et la spéculation sont de véritables fléaux pour les denrées alimentaires.
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Écrit par : Isabelle Lagrange / | 12/11/2014

L'ABERRATION HORS-SOL

> Ce sont des réflexions de bon sens mais dont on nous dira qu'elles sont passéistes: pensez donc: nourrir des vaches en les faisant brouter de l'herbe! Pensez donc: arrêter de mécaniser pour laisser travailler des gens ! que va-t-on penser chez John Deere, Mc Cormimick, New-Holland, Case-international Harvester ? (tiens, c'est drôle, rien que des noms américains).
L'aberration de l'élévage hors sol est pourtant apparue avec crudité en 1996, crise des agronomes fous, pardon, la vache folle quand on nous disait qu'on exterminait des élevage de 400 têtes en Grande Bretagne.
Heureusement, des territoires "résistent encore et toujours à l'Evolution" comme Silex & the City:
https://www.facebook.com/pages/Troupeau-Highland-Adapemont/342924712532246?sk=timeline
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Écrit par : Pierre Huet / | 13/11/2014

> C'est du simple bon sens cet article.
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Écrit par : E Levavasseur / | 13/11/2014

FNSEA

> Pour ceux qui ont le courage de voir ce qu'engendre le productivisme défendu bec et ongles par la FNSEA, voici une visite gratuite dans un couvoir de Bretagne (encore la Bretagne!).
Ce n'est pas sur le site du ministère de l'agriculture que l'on peut trouver ce genre d'info objective, heureusement il existe encore des associations comme L214 pour montrer la vérité que l'on veut cacher au consommateur!
http://www.l214.com/enquetes/broyage-poussins/
Soulignons au passage que ce massacre quotidien de poussins mâles est la conséquence de la domination de la génétique dans l'élevage industriel, puisque qu'il y a ceux qui sont destinés à devenir poulets de chair et celles qui sont destinées à devenir poules pondeuses dans un unique but: productivité maximale en temps minimum.
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Écrit par : Robert Culat / | 13/11/2014

L'ENGRENAGE AGRO-CHIMIQUE

> Les grands espaces de monoculture favorise la prolifération des prédateurs, le remède employé alors est le recours aux pesticides.
En gros on crée la condition d'être en situation favorable pour encourager l'utilisation de pesticides.
La culture du maïs laisse les terres vides longtemps, donc soumise à l'érosion et à l'appauvrissement (une terre vide n'est pas une terre au repos, c'est une terre qui meurt), donc à terme le recours aux engrais.
Les pesticides et les engrais sont des produit de l'industrie chimique qui est source de pollutions. (remarque ne passant; un déchet chimique est là pour toujours contrairement au déchet ... nucléaire !)
L'épandage de pesticides et d'engrais oblige au recours à des moyen mécaniques, qui contribuent à l'accroissement à la pollution de l'air, à l'accroissement de l'effet de serre.
On nous parle de rendement (quantité produite) à l'hectare , mais ce rendement ne fait pas apparaitre le coût utilisé pour cela.
Si on calcule le rendement rapporté au coût à l'hectare (achat de tracteurs de remorques et autres moyens d'épandage, leur entretien, achat de fuel, achat de pesticides, d'engrais, de surfaces et coût de fonctionnement des abris pour tout cela), celui qui est plus bio s'y retrouve très vite, gagnera mieux sa vie, risque moins sa santé (mais n'engraisse pas les filières chimiques et industrielles ; et là est le vraie du frein, l'obscurantisme au changement. On préfère un agriculteur qui détruit et se détruit, plutôt qu'avoir à gérer le "recyclage" d'autres industries polluantes).
Pourtant, Dieu nous à donner un jardin à cultiver, pas à exploiter et à détruire.
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Écrit par : franz / | 13/11/2014

RECUL

> Un vaste balayage, qui a le mérite du recul et de bien mettre en perspective des questions, sans doute simples, mais qui ont leur grande pertinence:
http://comptoir.org/2014/11/14/lavenir-de-lagriculture-un-enjeu-politique/
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Écrit par : Aventin / | 14/11/2014

Les commentaires sont fermés.