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03/09/2013

La direction du 'Monde' évince le journaliste Hervé Kempf

A la clé : Notre-Dame des Landes...

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Explications  ici

 

 Extrait :

 

<< ...Le Débat national sur la transition énergétique, peu traité par le journal, trouva soudain une vive expression, le 17 mai, sous la forme de quatre pages axées sur « la compétitivité des entreprises » et majoritairement rédigées par des journalistes économiques extérieurs à la rédaction. On expliquait que l’enjeu essentiel d’une nouvelle politique énergétique était la compétitivité des entreprises, que le gaz de schiste réveillait l’industrie américaine, que la politique énergétique allemande produisait maints effets pervers. Un colloque organisé par l’Association française des entreprises privées (les cent plus importantes) et le Cercle de l’Industrie (fondé naguère par Dominique Strauss-Kahn) avec Le Monde accompagnait cet exercice de communication, qui remerciait Alstom, Areva, GDF-Suez, Arkema, Lafarge, etc. Ces partenaires avaient-ils apporté 35 000 euros au journal pour prix de ces quatre pages, comme me l’indiqua un collègue bien placé pour le savoir ? Le 18 juin, Le Monde organisait, avec l’Institut de l’entreprise, l’International summit of business think tanks (Sommet international des cabinets de réflexion sur les affaires), "avec le soutien de Deloitte et Vinci". Pour préparer cet important événement, des entretiens avec des chefs d’entreprise furent publiés, le premier avec Xavier Huillard, président de Vinci.... >>

 



 

 

 

Commentaires

> J'espère que ce courageux journaliste pourra continuer à travailler.
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Écrit par : Barbara / | 04/09/2013

LE PROBLÈME

> Un raccourci serait l'adage disant que l'écologie est un soucis de riches. Donc en période de vache maigre on glisse ces problèmes sous le tapis. Mais cela reste une vision à court terme doublé d'une erreur grossière. Ce n'est pas l'écologie qui est un problème, c'est l'absence d'écologie qui en est un. Dire le contraire c'est se baser sur une vision passéiste où la dégradation écologie était supportable du fait d'un faible densité. (Si vous faites pipi sur un fleur, il n'y aura pas trop de dégâts, si tout les jours dix personnes font pipi dessus, la fleur va crever.) La situation est que nous "consommons" plus que ce que la terre peut renouveler. Donc tant que le stock est important l'illusion perdure. Mais plus on épuise la terre, plus le coût ultérieur du rééquilibrage sera important (à moins d'une guerre qui fasse plus de dégâts humains que naturels!).
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Écrit par : franz / | 05/09/2013

> Une jolie pensée de lui à Radio Notre-Dame: il relie l'écologie à la beauté et par là, à la spiritualité.
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Écrit par : Pierre Huet / | 19/09/2013

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