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11/02/2012

L'ultracapitalisme nuit gravement aux classes moyennes


la crise, capitazlisme financier, hyper-classe, libéraux

Commentaires

BON DIAGNOSTIC

> Bon diagnostic. C'est bien d'avoir des sons de cloche divers sur des sites en principe "politiques" (ce qui veut dire trop souvent partiaux).
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Écrit par : jeanmi / | 12/02/2012

COMBIEN

> Il serait intéressant de savoir quelle proportion des catholiques se trouvent dans cette « classe moyenne » composée de commerçants, artisans, médecins et salariés de tous poils, qui s’appauvrit et qui connaît déjà la réponse à la question « qui paye ? » : elle-même puisque le prélèvement fiscal et social s’exerce essentiellement sur elle, qui n’a pas de filière fiscale paradisiaque et qui est trop riche pour être aidée. Et elle voit que c’est à la machine administrative qu’elle paie.
Combien donc ? la réponse permettrait peut-être de comprendre pourquoi tant de catholiques sont libéraux par méconnaissance du dessous des cartes et ne méritent pas tous l’opprobre dont il font souvent l’objet sur ce blog.
Car les cathos ne sont pas tous de grands bourgeois comme on peut le constater en s’écartant de l’axe Invalides-Versailles.
PH


[ De PP à PH :
- C'est précisément pourquoi on doit déplorer que la bourgeoisie non financière croie (si souvent) devoir répéter les slogans de la bourgeoisie financière. "La" bourgeoisie n'existe pas, il y a "des" bourgeoisies, et le navrant est qu'elles ne se distinguent pas assez les unes des autres sur le plan des idées...
- Quasiment aucun blog n'ose poser ce problème de classe. Le nôtre le fait, parce que c'est nécessaire. Iil n'y renoncera pas. Nier les réalités sociales n'a jamais avancé à rien. ]

réponse au commentaire

Écrit par : Pierre Huet / | 12/02/2012

EN AUTRICHE

> Economie, pouvoir technocratique, multinationales, état social, OGM : Bronca en Autriche!
http://www.horizons-et-debats.ch/index.php?id=3112
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Écrit par : Pierre Huet / | 14/02/2012

ET AUSSI CELA SUR ATLANTICO

> Signé... d'un banquier :
" la politique des dirigeants occidentaux depuis 30 ans a été centrée sur la consommation, et son corollaire de l’endettement. Ils n’ont eu de cesse de recommander la croissance comme solution à tous nos maux... mais la croissance peut-elle l'être vraiment quand elle ne se finance structurellement que par la dette... Ils ont encouragé les ménages à financer 100% de leurs achats (immobiliers, biens de consommation courante) par l’emprunt. Ils ont donc conduit des politiques publiques dispendieuses, financées également par l’endettement. En contre partie, ils accordaient aux banques la possibilité d'exercer un levier maximum sur le capital détenu.
La baudruche a explosé, et les banques ont pris le pouvoir sur les débiteurs (les ménages et les États surendettés), avec comme épée de Damoclès nos économies, sans oublier leur fragilité face à des créanciers insolvables. Le monde bancaire a donc été propulsé au cours de ces 30 dernières années du rôle de serviteur fidèle à celui de maître sans cœur.
L'exemple italien est venu donner un coup de grâce aux politiques face à ce déséquilibre. L’absence d'éthique, une moralité mise à l'écart des processus de décision, la perte de sens d’une société achetée par la téléréalité, un pouvoir sans vision ni conscience ont renversé l’ordre ancestral : les banquiers ont chassé les politiques pour prendre les rênes. Anciens directeurs des meilleures banques mondiales, ils se sont installés au pouvoir, et décident, gèrent, imposent, sans avoir été élus par le peuple. Ce n’est pas le "printemps arabe", mais "l’hiver financier".
Il est urgent que le politique réinvestisse la sphère financière. "
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Écrit par : fulup / | 25/02/2012

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