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06/05/2014

L'incroyable Hollande

 Une énigme en direct, sur RMC :

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Promettre le « retournement économique » après avoir promis – déjà dans l'incrédulité générale – « l'inversion de la courbe du chômage », c'est susciter l'indignation : non devant l'échec économique, mais devant cette fuite dans l'absurde.

 

Nous dire qu'il a séparé les banques de dépôt et les banques d'affaires est une énormité, alors que tout le monde connaît la loi hollandienne : la plus complaisante d'Europe envers le casino financier.

 

Ajouter qu'il va prendre des mesures de taxation de la spéculation financière ne peut soulever que des rires de colère, alors que tout le monde voit que la France tente d'empêcher l'UE de prendre ces mesures !

 

Etc... L'homme capable de ça est une énigme pour ses contemporains.

 

 

Commentaires

MISTER BEAN

> Nous avons notre Mister Bean français, à ses mimiques, cela se voit ! et cela fait deux ans qu'il est Président de la République ! ouf ! A moins, que son air crétin et ses déclarations risibles ne soient un calcul, comme Louis-Napoléon Bonaparte qui se faisait appelé "Badinget", et qui louchait. Thiers et compagnie, le croyant stupide et facilement manipulable, ont cru profiter de la célébrité due à son nom, pour le faire élire président de la II ème République, et régner à travers lui, mais c'est lui qui les a utilisés, pour prendre le pouvoir. M. Aubry l'aurait traité de "c******* molle", en attendant c'est la "c******* molle" qui est devenue présidente, pas elle !
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Écrit par : Aurélien Million / | 06/05/2014

DANS LEUR TÊTE

> Je me demande toujours ce qui peut se passer dans la tête de ces hommes et femmes à la tête de notre pays.
Ils savent nécessairement dans quelle situation nous sommes, ils ont les chiffres, les infos, même peut-êtres certaines que nous n'avons pas ; dans cette situation sans issue, comment peut-on avoir envie de "prendre les commandes" ? Sont-ils totalement fous, totalement bouffés par l'ambition, ou bien complètement cyniques, ou biens c*** comme des balais ? Croient-ils seulement un instant à ce qu'ils nous racontent ?
Énigme insondable !
Personnellement, avec ce que je sais, j'ai bien entendu de grandes idées générales sur ce que je veux et sur ce qu'il "faudrait" faire, je sais ce que moi je peux faire à mon échelle et avec mon entourage, et la tâche est déjà tellement immense !, mais je n'ai absolument aucune idée de ce qu'il faut faire concrètement politiquement, à l'échelle d'un pays, d'un continent et du monde entier, et je n'ai surtout aucune envie de devenir président de quoi que ce soit !
Pas envie de me retrouver la tête au bout d'une pique !
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Écrit par : PMalo / | 06/05/2014

TONNEAUX

> Il peut parler de retournement: nous en sommes à faire des tonneaux...
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Écrit par : Pierre Huet / | 06/05/2014

L'INSTANT PRÉSENT

> témoignage de quelqu'un qui a travaillé proche de l'un d'entre eux : la clef de compréhension c'est que les électeurs oublient, en tous les cas ils en sont persuadés. Ils ne jugent ce qu'ils vont dire/disent qu'à l'aune de l'opportunité ponctuelle au temps présent. Ni le passé n'existe, ni le futur. Hollande ne dit pas que le chômage va baisser ou que le retournement économique arrive parce qu'il croit que cela va se produire mais parce qu'il juge que les français ont envie d'entendre cela au moment où il le dit.

Bon là quand même il a dépassé et au delà la ligne du ridicule.
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Écrit par : stevenson / | 06/05/2014

LA QUESTION

> Personnellement, je voudrais pouvoir lui poser la question : croyez-vous les Français suffisamment abrutis à l'heure actuelle pour avaler ce que vous leur racontez ou croyez-vous réellement aux billevesées que vous proférez avec tant de conviction ?
Et j'ai bien peur (car c'est l'option la plus dangereuse des deux) que ce soit la deuxième qui soit vraie.
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Écrit par : Barbara / | 06/05/2014

ILS PARTENT EN 2017

> Ce qui est sûr c'est que s'il n'y a pas de renversement de la courbe du chômage en 2017 (ce qui sera le cas!), François Hollande ne se représentera pas pour la Présidentielle.
Finalement le seul point positif de son quinquennat, c'est son propre départ en 2017 avec son club d'amateurs.
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Écrit par : Arnaud Le Bour / | 06/05/2014

QUI

> Arnaud : oui, on peut s'en réjouir. Mais qui ensuite dans le fauteuil ?
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Écrit par : PMalo / | 06/05/2014

METANOIA

> Vous avez dit "retournement"? C'est plutôt "métanoïa" qu'il faudrait dire !
Mais ne rêvons pas, les politiques ne connaissent même pas le mot...
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Écrit par : Philippe / | 06/05/2014

LA DATE PRÉVUE

> Arnaud, vous y croyez à 100%, à son départ à la date prévue ?
Parti comme il est parti, il pourrait bien décider qu'on ne peut pas organiser l'élection présidentielle dans de bonnes conditions (pour des raisons x ou y) et qu'il faut la repousser.
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Écrit par : Barbara / | 06/05/2014

SA PLACE

> Il n'y a malheureusement qu'une grille de lecture qui permette d'expliquer ce que cet homme fait: l'objectif de conserver le pouvoir pour lui et ses proches.
Le mariage gay était simplement un renvoi d'ascenseur à ceux qui l'ont soutenu dans sa campagne, tout le reste n'est que gesticulations de communication et soumission au plus fort afin de ne pas perdre sa place.
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Écrit par : Ludovic / | 06/05/2014

PAS 2017

> Je maintiens mon pari de début 2012: que le président élu en 2012, NS ou FH n'atteindra pas 2017. Pourquoi? parce que ligoté par la supranationalité il ne peut rien de fondamentalement autre que ce qu'il fait.

Mais il est vrai que l'équipe actuelle fait fort, on le voit sur la question du mille-feuille administratif, ou sa réforme va encore davantage détruire la proximité.
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Écrit par : Pierre Huet / | 07/05/2014

MANQUE UN CONTRE-POUVOIR

> Soyons justes, leurs cursus et leurs fonctions démontrent sans équivoque qu'ils sont des gens fort intelligents.
Ce serait par contre un peu stupide de notre part de penser le contraire.
S'ils entrent en politique on peut se demander si pour beaucoup ce n'est pas par amour de la manipulation et du pouvoir.
PMalo, pour ce qui est de gérer la complexité des crises, justement ils ne font pas grand chose de conséquent. Beaucoup de paroles et peu d'actes concrets.
Et pour en arriver à monsieur Hollande et à son côté "Mister Bean" évoqué ici, cela ne vous fait pas penser à Georges W. Bush et ses gaffes à répétition? Trop pour que cela soit vraiment innocent.
L'idée générale est d'occuper l'opinion jugée primaire avec des sujets sans intérêt mais qui tournent en boucle facilement, les médias étant trop contents de monter en mayonnaise le dernier sujet lancé. Comme cela a été très bien dit, il n'y a aucun passé (donc aucune faute), aucun futur donc aucun programme, et juste un instant immédiat par essence politiquement futile.

Il faut des hommes politiques qui aient le sens des responsabilités et des sacrifices personnels (le contraire de la démagogie), et des électeurs, nous, qui ne soient pas des moutons.
On a les hommes politiques que l'on mérite dit le dicton.
Il manque un vrai contre-pouvoir pour remettre ces messieurs devant leurs responsabilités. La presse était censée pouvoir tenir en partie ce rôle mais... Reste le net ?
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Écrit par : JClaude / | 07/05/2014

PMalo :

> "dans cette situation sans issue, comment peut-on avoir envie de "prendre les commandes" ?"
Ces postes paient bien et donnent beaucoup de contacts riches, ce qui permet de préparer l'avenir. On l'a vu en Ukraine, où tous les oligarques se sont tirés en une nuit à Londres, Paris ou Moscou, laissant leur peuple dans la guerre civile, qu'ils regardent à la télé, les pieds au chaud dans leurs pantoufles, une coupe de champagne à la main.
Qu'importe qu'ils accélèrent la chute : eux pourront partir.
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Écrit par : Fikmonskov / | 07/05/2014

@ Pierre Huet

> Soyons plus précis sur les termes, cher Pierre!
Ce n'est pas la 'supranationalité' qui est en cause, un concept politique qui peut revêtir des avatars très divers. Pour un catho, l'Etat-nation ne constitue pas nécessairement l'origine et l'horizon indépassable de toute forme d'organisation politique, sans bien sûr l'exclure a priori.
Le problème en l'espèce, c'est la subversion du politique à tout niveau: européen, mais aussi national - voire même local, de plus en plus souvent -, par les intérêts à court terme de l'hyperclasse mondialisée (des personnes, - moins de 0,1% de la population -, et les très grandes entreprises transnationales, dont les liens avec leurs Etats d'origine sont de plus en plus ténus).
En effet, l'UE constitue en grande partie un des faux-nez d'un capitalisme sauvage, mais à supposer qu'on 'supprime' cet échelon, si la culture politique des élites, et les règles du jeu ne changent pas, on ne sera pas beaucoup plus avancés.

Le supranational, c'était aussi l'expérience de l'Autriche-Hongrie, qui - sans l'angéliser aucunement - n'était pas complètement inintéressante comme forme de vivre-ensemble de la mosaïque bigarrée des innombrables peuples et minorités d'Europe centrale, avant que Clemenceau et ses amis ne s'avisent de la dépecer, ouvrant ainsi les portes aux barbaries nazie et stalinienne et ensuite à 45 années de glaciation soviétique, suivies d'une re-satellisation au profit du "big money".

La supranationalité, c'est également ce à quoi Benoît XVI appelait sans équivoque dans 'Caritas in veritate', bien évidemment dans le respect de la subsidiarité.

Le souci actuel, ce n'est pas la supranationalité en elle-même - qui est un concept -, mais bien son avatar actuel, qui subvertit, vide de sa substance et anéantit toute forme d'organisation politique, quelle qu'elle soit, au profit d'un mécanisme de redistribution inversée (cf. une rubrique récente sur ce blog: le patrimoine des 67 personnes les plus riches de la planète, égal à celui des 3,5 milliards humains les plus pauvres...)

Personnellement, je n'aurais aucun problème avec une (radicalement) "autre" Europe (éventuellement fédérale ou confédérale), dans le respect de la subsidiarité et des histoires nationales (et sub/trans ou supra-nationales ;-) de chacun de ses Etats/ nations/ peuples constituants, pourvu qu'elle soit au service du bien commun, et exprime un désir de vivre-ensemble.

Par exemple, dans le cas précis de la récente passe d'armes opposant le commissaire UE Barnier au gouvernement de notre pays sur son projet de réforme des grandes banques européennes, ma sympathie penche du côté de Barnier (même si l'arbre ne doit pas cacher la forêt...)

Mais s'il n'y a pas moyen de faire autrement (et seulement dans ce cas), pourquoi ne pas sortir de l'euro ou de l'UE ? Peut-être un passage obligé, faute de mieux et avant de reconstruire autre chose avec tous ceux qui le souhaiteraient, mais ce n'est pas un objectif en soi.

Soyons imaginatifs, restons dans une fidélité créatrice à ceux qui nous ont précédé, mais aussi à ceux qui nous suivront, en évitant de rester prisonniers de concepts du passé (même éminemment respectables).
Le chrétien n'a d'affiliation vis-à-vis de qui ou de quoi que ce soit dans l'ordre temporel ('Civilisation', nation, Etat, peuple, clan, tribu, famille, milieu social, parti, club, syndicat, etc.), que CONDITIONNELLE.
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Écrit par : j. warren / | 07/05/2014

AUCUNE COMMUNAUTÉ N'EST SACRÉE

> Merci j.warren pour cette explication claire.
En un mot, les chrétiens sont des athées! Rien, et donc aucune communauté, qu'elle soit naturelle ou conventionnelle,n'est sacré. Il n'est de divin qu'en Dieu seul et, oui, par participation à la filiation christique, en chaque homme. Tout le reste est en vue de la gloire de Dieu, et donc aussi de l'homme: si cela ne l'est pas, ou plus, et bien il faut s'en retirer. Et si on nous en empêche? Comme les premiers évangélisateurs, casser alors l'idole pour retrouver notre liberté.
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Écrit par : Anne Josnin / | 07/05/2014

LE NÉANT

> Rappelons-nous l'aphorisme de l'un des personnages de 1984 (le tortionnaire de Winston Smith, le héros) : "la finalité du pouvoir, c'est le pouvoir lui-même". Etre un homme de pouvoir - et se comporter en conséquence- c'est, quelque part, faire un pacte avec le Néant.
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Écrit par : Feld / | 07/05/2014

@ Anne Josnin et j.warren

> Oui, j’été délibérément provocateur sur le sujet de la supranationalité pour susciter de la discussion, je pense que vos réactions visent surtout mon commentaire relatif à la campagne des « Jeunes Européens ».
Sur le fond, comment contester que, de nos jours, la triple stratégie du mal consiste en la combinaison des mœurs libertaires, du libéralisme pris au sens originel le plus brutal (Adam Smith& Co) et du détachement de nos enracinements terriens et culturels. Curieusement, de nombreux antilibéraux admettent très bien ce dernier point quand il s’agit de protéger les cultures des Amérindiens ou des montagnards de l’Himalaya, mais beaucoup moins quand il s’agit des nôtres et on se fait vite traité de réac fascisant en abordant ce sujet.
Pourquoi cette association de la supranationalité systématique aux autres composantes de l’individualisme bobo ?
1-Matériellement, la mondialisation, c’est davantage de circulation de biens, personnes, idées. Si les mots ont un sens, c’est un processus intrinsèquement libéral dont la correction est très difficile si même elle est possible.
Culturellement la coexistence de plusieurs cultures et mentalités nationales peut être un enrichissement. A condition que la diffusion se fasse assez lentement pour que les esprits aient le temps de digérer les apports. La mondialisation actuelle, accélérée par les moyens de communication sans précédent, est un melting pot informe, disons, une américanisation par le bas, soutenue par la puissance occidentale dominante, par exemple dans le domaine du cinéma : La mondialisation actuelle, c’est la dissolution des cultures dans le Coca-Cola.
2-Coupé de ses références culturelles et identitaires, on est plus passif face à une domination. Et justement : si la supranationalité théorique c’est faire vivre ensemble des peuples différents la pratique est moins idyllique. Vous invoquez l’exemple de l’Autriche-Hongrie dont la destruction fut bien regrettable. Mais dans son fonctionnement c’était avant tout la domination de plusieurs composants par l’un d’entre eux (les Allemands ethniques) puis deux, après la création de la double monarchie. Ainsi les villes de Transylvanie ou Galicie portaient des noms allemands. Même la mini-Europe exemplaire qu’est la Suisse a connu de réelles difficultés, en particulier la tentative de sécession d’une « Ligue Séparée », la Sonderbund vers 1848, je crois, pour échapper à la suprématie bernoise.
La mondialisation réelle, pas celle qui est rêvée comporte des aspects de domination, aussi est-il paradoxal de faire une critique du libéralisme atlantique sans en rejeter un des ses principaux outils d’action.
Enfin, quand on regarde le cours des idées depuis les années soixante, on voit assez vite que le rejet des nations est au cœur de la convergence du libéral et du libertaire. Les casseurs de 68 se réclamaient du trotskisme ou du maoïsme, rejetant le communisme soviétique trop russe. Son échec historique a laissé le collectivisme remplacé par l’individualisme, la seule pensée subsistant étant l’internationalisme prolétarien devenu supranationalisme libéral.
3-On certes peut imaginer d’autres formes de relations internationales et en particulier, européennes. Il ne pourra se dégager de consensus sur ce sujet que si le système actuel est d’abord renversé par quelques pays courageux.
Il ya un Bien Commun et des biens commun qui peuvent et doivent être gèrés au niveau mondial. Mais pour qu’il ait de saines relations internationales, il faut que les états gardent une certaine maîtrise de leurs actions pour que le politique ne soit pas effacé derrière le techno-économique. Vous mentionnez donc le fameux principe de subsidiarité. L’exemple de l’Europe montre justement ce qu’il en est advenu : l’autorité supranationale conserve les structures nationales mais crée une telle complexité règlementaire que ces dernières n’ont en fait que le pouvoir d’appliquer un déluge de normes qui leurs sont imposées. La subversion du politique par un système supranational est une tendance naturelle.
4-Il est vrai que les diverses instances d’Eglise se prononcent régulièrement en faveur d’institutions supranationales. Ce n’est pas nouveau. Le rétablissement de la dignité impériale au profit de Charlemagne puis sa restauration par la création du Saint Empire Romain-Germanique procédaient de la même recherche d’une institution propre à assurer la paix, à l’époque, dans le cadre de la chrétienté. Cela n’a jamais marché et nombres de Papes ont souffert des ingérences qui survenaient. Du coup, l’Eglise a tout autant canonisé l’Etat royal, ancêtre de la nation moderne, que la dignité impériale. Les « Rois de romains » n’étaient que couronnés, les Rois de France étaient sacrés selon un rituel d’ordination.
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Écrit par : Pierre Huet / | 08/05/2014

ZÉRO

> En fait de retournement, c'est la croissance zéro. Hors tout débat croissance / décroissance, dans le modèle économique actuel, cela va poser un "petit" problème: les rentrées fiscales...
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Écrit par : Pierre Huet / | 15/05/2014

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