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08/09/2013

Syrie : faux-semblant à l'Elysée, sincérité à Saint-Pierre

Mensonge de Hollande et Fabius sur la déclaration de Vilnius

À Rome, cent mille catholiques et le pape prient pour la paix :

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Depuis hier soir, les télévisions française répètent en boucle que Hollande « n'est plus isolé » en Europe, et que « les Européens » se rallient à l'idée d'attaquer la Syrie. Cette allégation repose sur le texte signé hier à Vilnius par les ministres des Affaires étrangères de l'UE. Or ce texte est vide : il évite soigneusement d'évoquer quelque action militaire que ce soit ! Fabriqué pour que les Européens puissent signer quelque chose qui permette à Paris (désavoué sur le fond) de sauver la face, le texte ne parle que d'une « réponse claire et forte » à l'affaire du gaz du 21 août – affaire sur laquelle la vérité n'est pas faite et risque de ne jamais l'être... Les termes « claire et forte » ne veulent rien dire : ils peuvent s'appliquer à des sanctions économiques, voire à une condamnation verbale. C'est de la langue de bois diplomatique. On ne peut faire dire à ces mots ce qu'ils ne disent pas ! Toute attaque occidentale de la Syrie qui invoquerait le texte de Vilnius, serait donc aussi malhonnête que la guerre totale de Sarkozy contre Kadhafi, qui fut menée au nom de l'ONU alors que l'ONU n'avait autorisé qu'à protéger les habitants de Benghazi d'une éventuelle attaque de blindés venus de Tripoli... C'est même cette distorsion du mandat onusien (par Paris, Londres et Washington) qui avait motivé la colère de Moscou et de Pékin, et qui explique aujourd'hui, au moins en partie, leur attitude dans l'affaire syrienne. Une distorsion comparable se met en place depuis hier soir : Laurent Fabius prétend que la signature du texte (vide) de Vilnius exprime, de la part des Européens, une adhésion « grandissante » à la position belliqueuse. Les mots « adhésion grandissante » sont dignes d'un ministre de la Propagande. Au fond, ils signifient que le ministre  espère une adhésion, qui n'existe pas actuellement... Mais Fabius veut persuader les auditeurs que cette adhésion est dans les tuyaux : elle arrive, on la sent venir ! c'est comme si elle était là ! donc elle est là ! abracadabra ! Demain les instituts de sondage pourront claironner que le refus de la guerre par les Français tombe de 64 % à 44 %, ou à 24 %, ou à 4 %, etc, puisque le « consensus européen » est censé faire des miracles.

 

Pendant que le microcosme parisien donnait ce spectacle de lanterne magique, tout autre chose se passait sur la place Saint-Pierre. Cent mille catholiques répondant à l'appel du pape François ont jeûné et prié, pendant quatre heures, pour la paix en Syrie.

  

RFI :

<<  L’appel du pape à se mobiliser a été entendu. Pendant toute la soirée, la foule, très compacte a afflué place Saint-Pierre réunie autour de la paix, cette paix qui n’a jamais semblé aussi fragile dans l’Orient compliqué. Parmi les invités, des leaders musulmans et des autres Églises chrétiennes étaient présents. Dans son homélie, le Pape a souhaité réveiller les esprits face au péril de la guerre : « Nous avons perfectionné nos armes, notre conscience s’est endormie » a-t-il dénoncé d’une voix grave, avant de faire le vœu que chacun, y compris ceux qui sont appelés à gouverner les nations se disent que le chemin de la paix est possible. De cette place où il donne sa bénédiction à la ville et au monde, François a lancé un appel aux accents universels : « Je voudrais demander au Seigneur, ce soir, que nous, chrétiens et frères des autres religions, chaque homme et chaque femme de bonne volonté crie avec force : la violence et la guerre ne sont jamais la voie de la paix ! ».

Des mots recueillis dans le silence sur la place. Des mots qui ont touché les quelques jeunes syriens présents, certains enveloppés dans leur drapeau. Nour vient d’Alep et vit depuis quatre ans en Italie : « C’est important pour la paix en Syrie, prière que tous les peuples entendent cette prière, et que surtout finisse cette guerre pour que l’Amérique n’attaque pas la Syrie ».

Au cours de cette veillée très spirituelle, où lectures de la Bible et adoration eucharistique se sont succédés, François a ainsi voulu développer une pédagogie de la paix, accessible à tous, et mis en avant un programme qui repose sur le pardon, le dialogue et la réconciliation. Des mots qu’il souhaite entendre résonner au-delà-même de la Syrie et du Moyen Orient. >>

 

La méditation du pape :

http://www.radiovaticana.va/player/index_fb.asp?language=it&tic=VA_8KFFHJ2K

 

<< « Dieu vit que cela était bon » (Gn 1, 12.18.21.25). Le récit biblique du début de l’histoire du monde et de l’humanité nous parle de Dieu qui regarde la création, la contemple presque, et répète : cela est bon. Cela, chers frères et sœurs, nous fait entrer dans le cœur de Dieu et, de l’intime de Dieu, nous recevons son message.

Nous pouvons nous demander : quelle signification a ce message ? Que me dit ce message à moi, à toi, à nous tous ?

1.  Il nous dit simplement que dans le cœur et dans la pensée de Dieu notre monde est la 'maison de l’harmonie et de la paix', et est le lieu où tous peuvent trouver leur place et se sentir 'chez soi', parce que cela est « bon ». Tout le créé forme un ensemble harmonieux, bon, mais surtout les humains, faits à l’image et à la ressemblance de Dieu, sont une unique famille, dans laquelle les relations sont marquées par une fraternité réelle non seulement proclamée en paroles : l’un et l’autre sont le frère et la sœur à aimer, et la relation avec Dieu qui est amour, fidélité, bonté se reflète sur toutes les relations entre les êtres humains et apporte l’harmonie à la création tout entière. Le monde de Dieu est un monde dans lequel chacun se sent responsable de l’autre, du bien de l’autre. Ce soir, dans la réflexion, dans le jeûne, dans la prière, chacun de nous, tous nous pensons au fond de nous-mêmes : ne serait-ce pas peut-être ce monde que nous désirons ? Ne serait-ce pas peut-être ce monde que tous portent dans le cœur ? Le monde que nous voulons, n’est-il pas peut-être un monde d’harmonie et de paix, en nous-mêmes, dans les rapports avec les autres, dans les familles, dans les villes, dans et entre les nations ? Et la vraie liberté dans le choix des chemins à parcourir en ce monde, n’est-elle pas peut-être celle qui est orientée vers le bien de tous et qui est guidée par l’amour ?

2.  Mais demandons-nous maintenant : est-ce cela le monde dans lequel nous vivons ? Le créé conserve sa beauté qui nous remplit d’émerveillement, reste une œuvre bonne. Mais il y a aussi « la violence, la division, le conflit, la guerre ». Cela arrive quand l’homme, sommet de la création, abandonne le regard sur l’horizon de la beauté et de la bonté, et se renferme dans son égoïsme.

Quand l’homme pense seulement à lui-même, à ses propres intérêts et se place au centre, quand il se laisse séduire par les idoles de la domination et du pouvoir, quand il se met à la place de Dieu, alors il abîme toutes les relations, il ruine tout ; et il ouvre la porte à la violence, à l’indifférence, au conflit. C’est exactement ce que veut nous faire comprendre le passage de la Genèse qui raconte le péché de l’être humain : l’homme entre en conflit avec lui-même, s’aperçoit qu’il est nu et se cache parce qu’il a peur (Gn 3,10), il a peur du regard de Dieu ; il accuse la femme, celle qui est chair de sa chair (v.12) ; il rompt l’harmonie avec le créé, arrive à lever la main contre le frère pour le tuer. Pouvons-nous dire que l’harmonie est devenue 'dis-harmonie' ? Pouvons-nous dire cela : que de l’harmonie, on passe à la 'dis-harmonie'. Non, la 'dis-harmonie' n’existe pas : ou il y a l’harmonie, ou on tombe dans le chaos où il y a violence, querelle, conflit, peur…

C’est justement dans ce chaos que Dieu demande à la conscience de l’homme : « Où est Abel ton frère ? ». Et Caïn répond : « Je ne sais pas. Suis-je le gardien de mon frère ? » (v.9). Cette question nous est aussi adressée et il serait bien que nous nous demandions :

Suis-je le gardien de mon frère ? Oui, tu es le gardien de ton frère ! Être une personne humaine signifie être gardiens les uns des autres ! Et au contraire, quand se rompt l’harmonie, suit une métamorphose : le frère à garder et à aimer devient l’adversaire à combattre, à supprimer. Que de violence naît à ce moment, que de conflits, que de guerres ont marqué notre histoire ! Il suffit de voir la souffrance de tant de frères et sœurs. Il ne s’agit pas de quelque chose de conjoncturel, mais c’est la vérité : dans chaque violence et dans chaque guerre, nous faisons renaître Caïn. Nous tous ! Et aujourd’hui aussi, nous continuons cette histoire de conflit entre les frères, aujourd’hui aussi, nous levons la main contre celui qui est notre frère. Aujourd’hui aussi nous nous laissons guider par les idoles, par l’égoïsme, pas nos intérêts ; et cette attitude continue : nous avons perfectionné nos armes, notre conscience s’est endormie, nous avons rendu plus subtiles nos raisons pour nous justifier. Comme si c’était une chose normale, nous continuons à semer destruction, douleur, mort ! La violence, la guerre apportent seulement la mort, parlent de mort ! La violence et la guerre ont le langage de la mort !

Après le chaos du Déluge, il s’est arrêté de pleuvoir, on voit l’arc-en-ciel et la colombe porte un rameau d’olivier. Aujourd’hui, je pense aussi à cet olivier que les représentants des différentes religions , nous avons planté à Buenos Aires, sur la Place de Mai, en 2000, demandant qu’il n’y ait plus le chaos, demandant qu’il n’y ait plus la guerre, demandant la paix.

3.  Et à ce point, je me demande : Est-il possible de parcourir la voie de la paix ? Pouvons-nous sortir de cette spirale de douleur et de mort ? Pouvons-nous apprendre de nouveau à marcher et à parcourir les chemins de la paix ? En invoquant l’aide de Dieu, sous le regard maternel de la Vierge Salus populis romani, Reine de la paix, je veux répondre : Oui, c’est possible à tous ! Ce soir, je voudrais que de toutes les parties de la terre nous criions : Oui, c’est possible à tous ! Ou mieux, je voudrais que chacun de vous, du plus petit au plus grand, jusqu’à ceux qui sont appelés à gouverner les Nations, réponde : Oui, nous le voulons ! Ma foi chrétienne me pousse à regarder la Croix. Comme je voudrais que pendant un moment tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté regardent la Croix ! On peut y lire la réponse de Dieu : là, à la violence on ne répond pas par la violence, à la mort, on ne répond pas par le langage de la mort. Dans le silence de la Croix, se tait le bruit des armes et parle le langage de la réconciliation, du pardon, du dialogue, de la paix. Je voudrais demander au Seigneur, ce soir, que nous, chrétiens et frères des autres Religions, chaque homme et chaque femme de bonne volonté crie avec force : la violence et la guerre ne sont jamais la voie de la paix ! Que chacun s’applique à regarder au fond de sa conscience et écoute cette parole qu’elle dit : sors de tes intérêts qui atrophient le cœur, dépasse l’indifférence envers l’autre qui rend le cœur insensible, vaincs tes raisons de mort et ouvre-toi au dialogue, à la réconciliation : regarde la douleur de ton frère, je pense aux enfants : seulement à ceux-là… regarde la douleur de ton frère, et n’ajoute pas une autre douleur, arrête ta main, reconstruis l’harmonie qui s’est brisée ; et cela non par le conflit, mais par la rencontre ! Que se taisent les armes ! La guerre marque toujours l’échec de la paix, elle est toujours une défaite pour l’humanité. Encore une fois, les paroles de Paul VI résonnent : « Plus les uns contre les autres, plus, jamais !... Jamais plus la guerre, jamais plus la guerre ! » (Discours aux Nations unies, 4 octobre 1965 : AAS 57 [1965], 881). « La paix s’affermit seulement par la paix, celle qui n’est pas séparable des exigences de la justice, mais qui est alimentée par le sacrifice de soi, par la clémence, par la miséricorde, par la charité » (Message pour la Journée mondiale de la Paix 1976 AAS 67 [1975], 671). Frères et sœurs, pardon, dialogue, réconciliation sont les paroles de la paix : dans la bien-aimée Nation syrienne, au Moyen-Orient, partout dans le monde ! Prions, ce soir, pour la réconciliation et pour la paix, travaillons pour la réconciliation et pour la paix, et devenons tous, dans tous les milieux, des hommes et des femmes de réconciliation et de paix ! Ainsi-soit-il. >>

 

 

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Commentaires

VEILLEURS MONDIAUX

> Très belle veillée de prière, place Saint-Pierre. Avec le pape François (avec son frère Benoît, silencieux et cloîtré), les fidèles catholiques assument de mieux en mieux leur vocation de veilleurs et d’éveilleurs des consciences ; veiller, éveiller, avec la liberté que donne le Christ. Eveiller à la paix, appeler à la non-violence. Dans la fraternité.
Evidemment, ça ne plaît pas à tout le monde. Du moins à celui qui se croit précisément « tout le monde », l’oncle Obam’, et qui voudrait s’arroger le contrôle de nos vies et de nos morts (PRISM, KKeyscore etc.)… Et derrière lui, tous ces bobos libertaires d’Amérique et d’ailleurs ivres de leur supposée puissance (entre autres fanatiques), qui décident du bien et du mal en confondant tragiquement le monde et leur nombril. Comme disait (en gros) l’autre (le diable) : « Regardez votre nombril… vous serez comme des dieux ! »
Bref, comment s’étonner que ceux que Dieu appelle (ni « soumis », ni « élus ou choisis »… les chrétiens, n'est-ce pas, sont « appelés »), dans leur liberté irréductible de fils du Père éternel, deviennent – à des degrés divers, en Syrie ou en France –, la cible de telles gens !
D.


[ PP et D. - Dans le cas que vous évoquez, "nombril" est un euphémisme. ]

réponse au commentaire

Écrit par : Denis / | 08/09/2013

SYRIE : TEMOIGNAGE

> Je viens de recevoir un emai d'une amie chrétienne de Syrie qui me dit qu 'elle ne sait ou aller,les fanatiques attaquent les lieux saints elle n' est plus en sécurité à Maaloula et Sednaya.
J.ai vécu 10 ans à Damas ,je peux vous dire que du bien de ce peuple.mes enfants y ont fait
Leurs communions confirmations, nous allions à la messe sans jamais de avoir d'ennuis.
Je suis revolté que l'on parle de guerre sans attendre les résultats définitifs . Notre arme c'est
La prière . Dieu va nous entendre et mettre fin à cette folie.
Je vous remercie pour vos informations .
______

Écrit par : Christmarion / | 08/09/2013

HOLLANDE EST DE RELIGION QATARE

> Bon, soyons sérieux. Je m’égarais (mon commentaire précédent…)
Les chrétiens, M. Hollande certes s’en contrefiche. Mais que valent-ils en vérité, et que peut peser la parole du pape et la protestation de millions de catholiques face aux enjeux financiers et aux alliances géostratégiques du moment – le pain et les jeux qataris ! Car Mammon est à la manœuvre !
A ce titre, le commentaire de « La Vie » sur l’opposition du Qatar à la politique de Bachar Al-Assad, coupable d’avoir préféré la Russie et l’Iran pour la construction d’un gazoduc, est assez éclairant (à écouter : http://www.lavie.fr/medias/webreportages/3-minutes-pour-comprendre-les-enjeux-energetiques-de-la-guerre-en-syrie-05-09-2013-43762_455.php ).
Comme est éclairant le reportage de « Stade 2 », magazine sportif de France 2, ce dimanche, sur les Français retenus au Qatar de façon scandaleuse et pour le coup gravement attentatoire aux droits de l’homme, dans le silence assourdissant des autorités françaises (reportage à voir ou revoir sur http://pluzz.francetv.fr/ ).
Où sont MM. Hollande et Fabius ? Pourquoi ne protestent-ils pas publiquement contre la privation de libertés dont souffrent ces Français vivant au Qatar, émirat qui interviendrait à coups de millions dans nos banlieues et qui est par ailleurs, comme chacun sait, propriétaire du club de foot de la capitale, le Paris-Saint-Germain ?
En décembre 2011, François Hollande, candidat à la présidentielle, déclarait à l’hebdomadaire « La Vie » : « Je n’ai aucune pratique religieuse. Mais je respecte toutes les confessions. La mienne est de ne pas en avoir. »
Erreur. De toute évidence, François Hollande, chef de l’Etat français, confesse aujourd’hui le Qatar et ses haines, notamment, à l’encontre de l’Etat syrien.
______

Écrit par : Denis / | 08/09/2013

SPECTACLE LAMENTABLE

> Comme dans un spectacle lamentable où la pitié pour les acteurs l'emporte sur le désir de partir, la réunion de Vilnius fut pour les dirigeants français actuels l'étalage de l'inconséquence et de la médiocrité.
Est-il possible qu'à ce degré de responsabilité tant d'incompétence et d'immaturité puissent non seulement exister mais pavaner?
Tout autre fut, en effet, le rassemblement de la place Saint-Pierre où une foule en prière donna autour du Pape François une leçon de sérieux et de profondeur de vue aux agités de la gâchette et "va-t-en guerre" irresponsables.
Je mesure la différence d'échelle entre des hommes imbus de gloriole et la sagesse d'autres, surtout lorsque l'on sait la complexité d'une situation dont l'explosion aurait d'incalculables et horribles retombées.
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Écrit par : Albert E / | 08/09/2013

LA FORCE DU JEÛNE ET DE LA PRIÈRE

> Ce que tous ces américano - libéraux compatibles ignorent totalement, c'est la force réelle et agissante du jeûne et de la prière.
Si notre pape François nous y appelle, ce n'est pas par soucis de postures et de stratégie de communication; et celà ils ne peuvent pas le comprendre, les fous !
Lors de son séjour sur terre, le Christ nous à régulièrement appelé au jeûne et la prière.
Ces moyens ne sont pas ceux du monde mais ils vaincront les Puissances du fric et de l'égoîsme.
Hollande, Obama, Fabius, les "experts" peuvent s'en fichent, Dieu, lui, non.
Alors qu'ils continuent donc à magouiller leurs petits arrangements, à peaufiner leurs armes. Les armes du jeûne et de la prière sont autrement efficaces.
Merci François, merci saint Père, de nous l'avoir rappelé, si vivement.
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Écrit par : gdecock / | 09/09/2013

INCOHERENCE

> Massacres en ce moment de la part des rebelles à Maaloula. Hollande est allé verser un larme à Oradour. Quelle incohérence !
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Écrit par : Ludovic / | 09/09/2013

AURADOUR

> Oradour, que Bartolone a orthographié "Auradour" sur le livre d'or !
on est gouvernés par des nuls.
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Écrit par : rrogndidju / | 09/09/2013

@ rrogndidju

> C Taubira avait écrit sur "André XXIII" en parlant de Mgr Vingt-Trois...
Elle croyait que c'était son numéro "dynastique"

@ ludovic
> incohérence toujours : on revendique le droit de leur envoyer des missiles pour leur apprendre qu'il ne faut utiliser de gaz.
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Écrit par : E Levavasseur / | 09/09/2013

Les commentaires sont fermés.