Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : patrice carvalho

Chrétiens et permaculture : les paniers bio de Buxeuil

Une adresse à connaître :

 http://panier-bio-buxeuil.over-blog.fr

Photo-livre-permaculture.jpg

 '' Nous sommes chrétiens et engagés

dans une révision radicale de notre mode de vie depuis 2006...''

 

--

Lire la suite

Paris XIIIe : rendez-vous le 18 mars

 Conférence-débat

"À quoi le pape François nous appelle :

élargir nos solidarités, transformer nos modes de vie

justice sociale, environnement, famille, éthique..."

affiche conference PP Saint Hippolyte VF 2.jpg

Paroisse Saint-Hippolyte,

27 avenue de Choisy, Paris XIIIe

20 h 30

 

 

Lire la suite

07/03/2014 | Lien permanent

Mettre en cause le capitalisme financier lui-même

"Ce sont les structures propres du capitalisme qui sont à revisiter" : en dépit des timidités et des résistances, l'idée commence à cheminer chez les catholiques... Par exemple ici

 

-

Lire la suite

Clermont-Ferrand, 20 février : rendez-vous avec Dominique Lang

...assomptionniste, journaliste et blogueur (http://ecologyandchurches.wordpress.com) :

" Et si nous changions le monde en consommant autrement ?  "

Rencontre-débat organisée par 'Chrétiens, changeons', les Associations familiales catholiques, la communauté des capucins et la Procure : 20h45, Centre diocésain, 133 avenue de la République.

http://chretienschangeons63.hautetfort.com/

  

 -

écologie,christianisme

 

Lire la suite

Barroso : l'Ukraine mais pas l'Ecosse

Etrange discrimination !

Ukraine : les amis de M. Barroso.  Ecosse : celui dont M. Barroso ne veut pas...

ukraine,écosse,europeukraine,écosse,europe

 

 

D'un côté, la Commission Barroso – comme presque tous nos grands médias – refuse de voir [1] que la catastrophe en Ukraine ne s'explique pas seulement par l'attitude de Moscou (qui voit ce pays comme faisant partie de son espace historique et économique), mais par l'action et l'argent des services allemands et américains... Situation de vrai danger, sur fond d'intérêts financiers et d'intrigues tordues, sans rapport avec le manichéisme onirique et moraliste en vigueur à Paris. Ces intérêts et ces intrigues expliquent que le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, vienne à Kiev et déclare : « Nous sommes ici en tant qu'Européens chez les Européens. Les portes de l'Union européenne restent ouvertes ! L'Ukraine doit être à bord de l'Europe, et les propositions européennes restent d'actualité. » Pour comprendre cette proclamation, il faut regarder la carte de l'agitation : seules les régions de l'ouest sont soulevées (à divers degrés), et ce sont celles où l'influence allemande s'est toujours exercée, de l'époque de l'hetman Skoropadsky (1918)... à celle des pogromistes (1941-1944) dont se réclament les ''radicaux'' actuels de la place Maïdan – chose que BHL oublie de nous dire, attaché qu'il est à nous affirmer (avec Barroso et les radios françaises du service public) que le ''mouvement de Maïdan'' exprime ''l'européanité de l'Ukraine''.

Ce n'est pas le cas de l'Ecosse, en revanche. Si d'aventure les Ecossais votaient pour l'indépendance au référendum de septembre 2014, leur Etat ne pourrait pas rester dans l'Union européenne ! C'est M. Barroso qui vient de le leur dire : ''l'adhésion d'une Ecosse indépendante à l'UE serait extrêmement difficile, voire impossible'', a-t-il affirmé le 16 février. Pourquoi cet empressement ? M. Barroso invoque des raisons de procédure. Mais ce que lui et M. Cameron jugent inacceptable, ce sont les positions géopolitiques du très populaire chef du gouvernement autonome d'Edimbourg ! Hostile à l'OTAN, opposé naguère à la guerre du Kosovo et à celle d'Irak, Alex Salmond - démocrate enraciné - représente ce dont a horreur la technostructure européiste : et donc la classe politique des Vingt-Huit et la plupart de leurs médias.

L'Ecosse indépendante serait exclue de l'Europe... qui rouvre par ailleurs les négociations d'adhésion de la Turquie. Entre le paisible Ecossais et les leaders islamistes turcs qui emprisonnent les journalistes, destituent les juges et cadenassent l'internet, l'UE préfère les seconds. Ça en dit long. Il faut sortir de cette Europe-là, M. Salmond : la Norvège – votre modèle – n'en fait d'ailleurs pas partie. Sealbh ort ! [2]

__________

[1] ...ce que savent les gens de terrain. Notamment le consultant international Xavier Guilhou, ce matin sur Radio Notre-Dame : à réentendre ici. Il explique que ''Maidan c'est quinze mille activistes, dont trois cents sont des radicaux'' . Précisons que les radicaux en question sont les groupes ukrainiens non pas ''ultranationalistes'' – comme disent nos médias – mais ouvertement néonazis, brandissant le drapeau de 1943, formés au combat de rue par de vieux baroudeurs locaux anciens de Tchétchénie et d'Afghanistan. Sur cette question des néonazis de Maïdan (dont BHL ne veut pas admettre le rôle), voir les infos que notre blog donnait déjà en décembre 2013 : taper le mot Kiev dans la fenêtre RECHERCHER, colonne de droite ci-contre.

[2] ''bon courage'', en gaélique.

 

ukraine,écosse,europe

 L'Ecossais est un homme paisible. Jusqu'à un certain point...

(Photo : Braveheart, de Mel Gibson).

 

Lire la suite

Déclaration de l'Eglise catholique - ”Fin de vie : pour un engagement de solidarité et de fraternité”

eveques[1].jpg

Déclaration du Conseil permanent

   de la Conférence des évêques de France :

 

 

                    

Un projet de loi sur la fin de vie pourrait être déposé devant le Parlement d’ici la fin de l’année. Des rapports et des avis rendus publics ces derniers mois ont demandé des améliorations de la loi Leonetti. Cependant, améliorer la législation, ce n’est pas la changer fondamentalement. Le sujet est trop grave pour ne pas agir avec prudence.
Contrairement à d’autres
[1], l’avis rédigé par un « panel de citoyens »[2] propose de légaliser le « suicide médicalement assisté », sous condition d’une demande expresse d’une personne en fin de vie ou atteinte d’une maladie jugée irréversible. Aider un malade à mettre lui-même fin à ses jours ou provoquer délibérément la mort d’un patient à sa demande, ce qui est proprement appelé euthanasie, sont inacceptables. L’avis admet même la pratique de l’euthanasie sans consentement de la personne devenue incapable de s’exprimer !

Notre société cherche à « esquiver la mort »[3] et redoute la proximité avec celui qui va mourir. Elle pourrait être ainsi conduite à des décisions inhumaines. Il importe donc de clarifier le vocabulaire et les buts poursuivis. Personne ne peut provoquer délibérément la mort, fût-ce à la demande d’une personne gravement malade, sans transgresser un interdit fondamental. « Tu ne tueras pas »[4] demeure une exigence morale majeure de toute société, et, pour les croyants, un commandement de Dieu. C’est le fondement de toute vie sociale respectueuse d’autrui, spécialement des plus vulnérables5]. Nombre de nos contemporains, en raison d’une maladie, d’un handicap ou de leur âge, se sentent devenus une charge pour leurs proches et un poids pour la société. Ils souffrent de leur solitude, de l’indifférence d’autrui, du regard porté sur eux dans une société axée sur les valeurs d’autonomie et d’efficacité. Ceux qui en viennent à douter de la valeur et du sens de leur vie ont besoin « d’accompagnement, de solidarité et de soutien dans l’épreuve »[6].

N’aurons-nous rien d’autre à leur proposer que de mettre fin à leur existence ?
Le suicide est souvent présenté de nos jours comme « une ultime liberté ». Mais en même temps, on s’alarme, à juste titre, des taux élevés de suicides particulièrement chez les jeunes et les personnes âgées. Comment réagir contre la banalisation du suicide et en faire en même temps la promotion ? Comment pourrions-nous juger nécessaire d’aider certaines personnes à affronter un épisode de détresse pour éviter l’irréparable, et, par ailleurs, encourager et assister d’autres personnes dans leur volonté de mourir ? Qui deviendrait le juge des vies qui ne valent plus d’être vécues ? Il serait discriminatoire d’estimer aussi différemment la valeur de la vie des uns et des autres.
Tout suicide affecte la solidarité et la volonté de vivre du corps social. Il est donc nécessaire et urgent de poursuivre un véritable engagement de solidarité et de fraternité. Beaucoup se sont investis pour soulager les douleurs et les souffrances de la fin de vie mais « la tâche à accomplir est encore immense »
7].

Les campagnes médiatiques de promotion d’une nouvelle loi contribuent malheureusement à détourner l’attention des indispensables réformes à entreprendre, parmi lesquelles l’accès à « des soins palliatifs et à un accompagnement » à «toute personne malade dont l’état le requiert »8].
Notre conviction profonde est qu’un changement législatif ne peut avoir pour objectif que de rendre plus manifeste le respect dû à toute personne en fin de vie. Cela passe par le refus de l’acharnement thérapeutique, le refus de l’acte de tuer ; ainsi que par le développement des soins palliatifs et le renforcement des solidarités familiales et sociales.

Le Conseil permanent de la Conférence des évêques de France
Mgr Georges PONTIER, Archevêque de Marseille, Président
Mgr Pierre-Marie CARRÉ, Archevêque de Montpellier, Vice-président
Mgr Pascal DELANNOY, Évêque de Saint-Denis, Vice-président
Cardinal André VINGT-TROIS, Archevêque de Paris
Mgr Jean-Claude BOULANGER, Évêque de Bayeux et Lisieux
Mgr François FONLUPT, Évêque de Rodez et Vabres
Mgr Jean-Paul JAMES, Évêque de Nantes
Mgr Hubert HERBRETEAU, Évêque d’Agen
Mgr Stanislas LALANNE, Évêque de Pontoise
Mgr Benoît RIVIÈRE, Évêque d’Autun, Chalon et Mâcon

 


[1] Notamment, Comité consultatif national d’éthique, Avis n° 121, Fin de vie, autonomie de la personne, volonté de mourir, 30 juin 2013.
[2] Conférence de citoyens sur la fin de vie,
Avis citoyen, 14 décembre 2013. 18 personnes réunies par l’IFOP.
[3] Cf. Commission de réflexion sur la fin de vie en France,
Penser solidairement la fin de vie, Rapport à François Hollande, Président de la République française, décembre 2012, Partie I, § I.1 : L’esquive de la mort.
[4] Livre de l’Exode – Chapitre 20, 13.
[5] Cf. Louis-Marie Billé, Président de la Conférence des évêques de France, « Un compromis impossible », Communiqué de presse, 4 mars 2000.
[6] Jean-Paul II,
Evangelium Vitae, 25 mars 1995, § 67.
[7] Cf. Comité consultatif national d’éthique, Avis n° 121,
Fin de vie, autonomie de la personne, volonté de mourir, 30 juin 2013, 3° Partie, III.2.
[8] Code de la santé publique, art. L1110-9.

Lire la suite

16/01/2014 | Lien permanent

La lettre du pape François aux nouveaux cardinaux

...est un message de radicalité évangélique :

Cher frère,

En ce jour de la publication de ta désignation pour faire partie du Collège cardinalice, je désire te faire parvenir un salut cordial ainsi que l’assurance de ma proximité et de ma prière. Je désire que, uni à l’Église de Rome, « revêtu des vertus et des sentiments du Seigneur Jésus » (cf. Rm 13,14), tu puisses m’aider avec une efficacité fraternelle dans mon service rendu à l’Église universelle.

Le cardinalat ne représente pas une promotion, ni un honneur, ni une décoration ; c’est simplement un service qui exige d’étendre son regard et d’élargir son cœur. Et bien que cela semble paradoxal, on ne peut regarder plus loin et aimer plus universellement, avec une plus grande intensité, qu’en suivant la même voie que le Seigneur : la voie de l’abaissement et de l’humilité, en prenant la condition de serviteur (cf. Ph 2,5-8). C’est pourquoi je te demande, s’il te plaît, de recevoir cette désignation avec un cœur simple et humble. Et bien que tu doives le faire avec une grande joie, fais en sorte que ce sentiment soit éloigné de toute expression de mondanité, de toute manifestation festive étrangère à l’esprit évangélique d’austérité, de sobriété et de pauvreté.

Au revoir, donc, au 20 février prochain. Nous entamerons les deux journées de réflexion sur la famille. Je reste à ta disposition et te prie, s’il te plaît, de prier et de faire prier pour moi. Que Jésus te bénisse et que la Vierge Marie te protège.

Fraternellement,

François

 

(traduction Anita Bourdin, Zenit)

 

Lire la suite

16/01/2014 | Lien permanent

Le gouvernement Ayrault confirme le feu vert aux épandages aériens de pesticides

 HozCnphhgKSLBBZ-556x313-noPad.jpg

Ce sera peut-être pire qu'avant :  

 

François Hollande a-t-il sacrifié l'environnement aux intérêts industriels, mettant ses pas (en cela aussi) dans ceux de Nicolas Sarkozy ? Le masque gouvernemental n'est pas encore tombé quant au gaz de schiste. Mais il est tombé quant à l'épandage aérien de pesticides. Contrairement à la promesse de Stéphane Le Foll en 2012, la porte des dérogations préfectorales s'ouvre encore plus largement à cette nuisance depuis le décret du 23 décembre dernier !  « Les conditions exigées sont encore moins restrictives qu'avant », déclare au Monde une association environnementale martiniquaise [*]... En lutte contre la cyperméthrine qui tue les abeilles, les apiculteurs toulousains avaient cru obtenir gain de cause à l'été 2013 ; ils constatent aujourd'hui que Le Foll n'a tenu aucun compte de leurs avertissements. Le ministère de l'Agriculture soutient les préfets contre les tribunaux, et instaure ainsi « un feu vert permanent » aux épandages aériens – alors que ceux-ci constituent un danger pour la santé publique  (habitations, animaux, parcs, points de captage d'eau, rivières etc) : fait établi, que l'on regrette d'avoir à rappeler.

_________

[*] Les Antilles « pâtissent déjà de leur contamination massive au chlordécone, un insecticide qui a rendu impropre à la consommation légumes des jardins et poissons côtiers », souligne Le Monde, mais « qu’importe : le décret prévoit des dérogations [...] à n’importe quel moment de l’année. »

 

  

Lire la suite

Hollande-Belkacem et le droit à la vie / Hollande-Medef et l'économie / Hollande-Lebranchu et les régions...

Le Débat de la semaine à Radio Notre-Dame :  ici

 

 

-

Lire la suite

17/01/2014 | Lien permanent

Défendre la famille ?

           contre la loi MEDEF qui sacrifie les allocations !        

famille,hollande

     Quand la droite laisse le PCF défendre les familles :

 

Forte actualité (cf le Débat de la semaine ce matin sur RND) autour des questions familiales et du droit à la vie, mis en cause par ce que Jean-Paul II appelait la culture de mort.

Il y a la ''marche pour la vie'' du 19 janvier, cette fois parrainée par une trentaine d'évêques. Il y a l'offensive Belkacem pour ériger l'avortement en valeur positive, ce que ne faisait pas la loi Veil. Et il y a l'offensive Hollande pour l'euthanasie active,  nouveauté qui finira par donner à certains le droit de décider si la vie d'autrui vaut (ou non) d'être vécue.

Sans oublier une autre question de société, moins macabre mais menaçante : l'abolition de la cotisation familiale d'entreprise ! Par quoi les allocations familiales seront-elles financées ? On n'en sait rien. Mais la droite politique, après avoir arpenté les rues en 2012 avec LMPT (pour ''défendre la famille'' contre la ''dictature socialiste''), ne proteste pas contre la suppression de la cotisation d'entreprise, et ne réclame pas son remplacement par la CSG ou la TVA sociale... qui déplaisent à la droite parce que ce sont des impôts ! Des gens m'écrivent que ''moins l'Etat intervient et mieux ça vaut''. Disant cela, ces gens (qui par ailleurs se posent en Militants de la Famille) n'ont pas l'air de voir que les allocations doivent être financées.

Si l'on se pose en défenseur de la famille, il faudrait se souvenir que cette cause est réellement vitale et mériterait une entorse aux dogmes (du libéralisme) - si les Français ne voulaient pas subir ce qui arrive aux Allemands : la disparition démographique programmée.

Rappelons-nous quelque chose qui n'appartient pas aux idées de 2014 mais à l'histoire du XXe siècle : l'origine des cotisations familiales d'entreprise. Elles ne sont pas une invention du méchant loup conventionnel, ''l'étatisme français de 1947'' ! C'est en 1932 que la loi française a rendu obligatoire l'adhésion des entreprises aux caisses de compensation ; lesquelles avaient été fondées à partir de 1918 par des patrons catholiques [*]... Faire contribuer les entreprises au soutien des familles est une idée catholique. Hollande abolit cette idée. J'espère qu'en 2014 les catholiques vont se désolidariser de ceux qui applaudissent cette abolition.

Ceux qui n'ont à la bouche que ''le rejet de la lutte des classes'' doivent être cohérents : si l'on soutient en théorie l'idée du bien commun, il faut la traduire concrètement en institutions. Et la première des institutions (sans laquelle rien ne tient plus), c'est la famille. Et elle a besoin d'argent plus que de parades LMPT...

 

_____________

[*] salubre rappel, fait avant-hier ici  .

 

 

 

famille,hollande

      http://nitro-politic.overblog.com

 

 

Lire la suite

Page : 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21