Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20/01/2014

"Avortement : le questionnement interdit ?"

assemblée nationale,avortement

 

"Alors que l'Assemblée nationale commence aujourd’hui l’étude d’un projet de loi pour l'égalité entre les femmes et les hommes qui prévoit une transformation profonde de la législation sur l'avortement, le diocèse de Paris contribue au débat" :   


<< Les statistiques publiées par l’Institut national d’études démographiques montrent qu’actuellement en France, il y a 26 à 27 avortements pour 100 naissances. Une situation dans laquelle notre pays est installé depuis au moins dix ans. Il s’agit là d’une violence intergénérationnelle qui ne peut laisser personne indifférent : un enfant conçu sur quatre est volontairement éliminé.

C’est dans ce contexte qu’est présentée ce lundi 20 janvier en première lecture à l’Assemblée Nationale un projet de loi incluant la suppression de la condition de "situation de détresse" de la femme qui encadre le recours à l'IVG et l’élargissement du délit d’entrave à l’avortement aux « pressions morales et psychologiques » à l’encontre des femmes qui vont « s’informer » sur l’avortement. La proposition de supprimer la clause de détresse de la femme pour une demande d’IVG revient à faire entrer dans le droit ce qui est déjà un fait : les avortements d’aujourd’hui, de l’aveu même du ministère de la santé, sont souvent « de convenance ». Inscrire ce fait dans la loi revient à légitimer la violence d’une génération d’adultes sur la génération qui la suit.

D’autre part, l’élargissement du délit d’entrave revient à diminuer fortement les possibilités d’échange ouvrant à l’alternative de garder l’enfant. C’est en fait voler à la femme concernée la liberté de s’adresser à quelqu’un dans la situation d’ambivalence où elle se trouve si souvent face à sa grossesse. Finalement, d’une tolérance, puis d’un droit, l’avortement tend à devenir la seule réponse supportable aux questionnements des femmes enceintes, presque un devoir. Banaliser l’avortement dans le droit et vouloir  réduire au silence tout questionnement sur cette pratique revient à combiner pour le pire les excès du libéralisme et du socialisme : d’une part l’individu impose ses désirs à la collectivité qu’elles qu’en soient les conséquences, de l’autre on use de la puissance étatique pour  forcer  les consciences à se lier à l’idéologie dominante.

Nous ne pouvons nous permettre de traiter avec légèreté une telle source de violence sociale, par exemple en se laissant aller au slogan simpliste de qualifier ceux qui questionnent où expriment leur opposition à l’avortement de "lobbies très conservateurs". Ces mots ont malheureusement été entendus dans la bouche d’une ministre de la République. Va-t-on traiter le pape François de lobbyiste « très conservateur » parce qu’il a exprimé son horreur de l’avortement – sans vouloir pour autant juger les femmes acceptant de le pratiquer –, comme d’autres l’ont traité de « marxiste » parce qu’il dénonçait l’abandon des laissés pour compte du marché ?

Plutôt que d’accentuer la fuite en avant caractérisant sur cette question les gouvernements de droite comme de gauche depuis de trop nombreuses années il conviendrait de mobiliser les efforts de tous pour réfléchir aux moyens de sortir d’un phénomène minant sourdement la paix sociale. Certes, ce dialogue sera difficile tant les positions sur le sujet peuvent être éloignées. Mais la mission d’un gouvernement n’est-elle pas d’aider à surmonter les conflits par le dialogue et non d’accentuer les divisions en discréditant une partie de la population ? Quel bel exemple la France pourrait donner à l’Europe en sortant de l’obstination idéologique et de la facilité des anathèmes pour oser un vrai dialogue national sur la manière de remédier à cette blessure béante de l’élimination de plus de 200 000 enfants par an ! >>

Brice de Malherbe, théologien

Matthieu Villemot, philosophe

Faculté Notre Dame, Collège des Bernardins

Commentaires

ELISÉE

> Oui, la France est vraiment un "séjour agréable", bien que nos nappes phréatiques et certaines d'entre nos lois... à méditer !

2R 2:19-
Les hommes de la ville dirent à Elisée : "La ville est un séjour agréable, comme Monseigneur peut voir, mais les eaux sont malsaines et le pays souffre d'avortements."
______

Écrit par : Aventin / | 20/01/2014

PARLEMENTAIRES

> Texte parfaitement ajusté à la situation.
Mais j’ai peu d’espoir sur la capacité de réflexion éthique et sur le courage des parlementaires. La gauche est allée trop loin dans la promotion des structures de péché, elle ne reculera pas.
Ayons au moins le courage de mettre des mots sur les législations d’esprit criminel en préparation sur l’avortement et l’euthanasie, et sur la responsabilité des hommes et des femmes politiques potentiellement complices d’un nouveau massacre des innocents.

Interpellons-les aux prochaines manifs : « Pitié pour nos enfants, grâce pour nos parents ! ».
François Hollande, un nouvel Hérode ?
François Hérode ?
______

Écrit par : Denis / | 20/01/2014

À LEUR SAUCE

> Il sera interdit. Ici, on parle d'avortement. Là-bas, on parle d'interruption volontaire de grossesse. Le premier est connoté négativement comme un meurtre. Le second parle d'une interruption de grossesse comme je parlerai d'une sensation de faim ou de soif. C'est très neutre. Ça se soigne sans faire d'histoires. Le second fait appel à la notion de liberté (interruption volontaire). Pouvoir avorter devient une affirmation de sa liberté. Il en devient donc un droit à absolument réaliser car, là-bas, c'est une augmentation de la liberté personnelle, donc une "avancée civilisationnelle" pour citer un ministre. Le questionnement sur l'avortement sera donc interdit.

Il passera comme le "mariage pour tous" et pour les mêmes raisons. S'y opposer sera discrédité de toutes les façons possibles. Vu qu'il n'y a pas de clause de conscience pour les maires, il ne peut pas y avoir de clause de conscience pour les médecins. Ce serait contraire à l'égalité républicaine.

L'euthanasie est sous la main. Elle va aussi passer pour les mêmes raisons. Je pense aussi que la famille n'a pas fini de subir des avanies. Les Eglises, vu leurs oppositions à toutes ces "avancées civilisationnelles", devraient passer dans le collimateur du gouvernement.

Pendant ce temps, le PS et son patron feront passer des lois que le Medef et les financiers seront heureux d'accepter. Michea parlait d'une répartition du travail. La droite faisait passer les lois financières et la gauche fait passer les lois sociétales. L'UMPS existe et est très actif.

Nous serons mangés à leur sauce.
______

Écrit par : DidierF / | 20/01/2014

VIOLENCE

> Ce texte est très juste. J'ajouterai un aspect dont on parle peu. Cette entrée de l'avortement dans les moeurs a aussi un impact sur la violence au sein de la société dans d'autres domaines parce qu'elle inscrit en filigrane dans les esprits que le meurtre est une solution acceptable pour se débarrasser d'un problème.
______

Écrit par : Barbara / | 20/01/2014

SELECTIF

> Au fait, quand même, l'avortement sélectif en raison du sexe est interdit. Un interdit totalement bafoué d'ailleurs. Nos gouvernants veulent y mettre bon ordre car "c'est une violence inadmissible faite aux femmes" que de supprimer des embryons et foetus de sexe féminin parce que ce sont des filles. (Mais si c'est parce qu'elles auraient eu les yeux verts, une fente palatine, un naevus disgrâcieux ou autre raison, c'est acceptable.)
Quand découvriront-ils que c'est une violence inadmissible faite aux hommes que de supprimer des embryons et foetus de sexe masculin ?
______

Écrit par : Barbara / | 20/01/2014

VOCABULAIRE

> Remarque linguistique: avorter = ne pas venir à terme, comme un projet qui avorte. Dire qu'une femme avorte, c'est, dans la langue même, nier l'existence de l'enfant. C'est l'enfant qui avorte. C'est lui qui ne vient pas à terme. Mais le mentionner, ce serait parler de lui et supposer qu'il existe...
______

Écrit par : Ninelene / | 20/01/2014

AXELLE LEMAIRE

> Au secours Lavoisier ! La République n'a plus besoin de savants, ça gêne le Progrès.
Axelle Lemaire, députée : argument du "retour au Moyen-Age, puis "une mère a bien le droit de garder ou non son enfant" et, pour finir en beauté : "on ne peut pas parler d'enfant, puisqu'il s'agit à peine d'un embryon...
A 11mn45
http://www.bfmtv.com/video/bfmtv/bfm-story/bfm-story-faut-il-revenir-question-lavortement-20-01-171508/

Isabelle


[ PP à I - J'ai entendu cette dame tout à l'heure : elle est minérale. Un bloc de béton aveugle. Pour elle, apparemment, le vivant n'existe pas. ]

réponse au commentaire

Écrit par : Isabelle / | 20/01/2014

PRIMORDIAL

> Je ne puis que souscrire à l'intégralité de ce texte.
Sur les questions graves touchant à l'anthropologie, il est primordial de garder la tête froide. Hélas, sortir "de l’obstination idéologique et de la facilité des anathèmes", ce serait renoncer à un quasi-sport national. Alors pour tout débat, on en restera à la tranche de veau sur l'autel contre le foetus en kit PVC. Pendant ce temps, le programme généralisé d'instrumentalisation de l'humain suit son cours, inexorable.
______

Écrit par : Albert Christophe / | 20/01/2014

ANTENNE

> Ce serait encore mieux que les diocèses pour illustrer leur propos mettent en place dans chaque lycée catholique une antenne d'écoute pour offrir aux jeunes femmes enceintes en difficulté une information minimale et des solutions pour accueillir leur enfant.
______

Écrit par : Chris / | 20/01/2014

LE DÉNI

> Le pire, dans la situation contemporaine, ce n'est pas l'acte en tant que tel : la pratique de l'avortement existe depuis des temps immémoriaux, y compris dans les siècles pompeusement qualifiés de « chrétiens ».

Non, ce qui est vraiment affligeant, c'est l'enfermement dans le déni, le refus de reconnaître l'avortement pour ce qu'il est; bref, le mensonge envers soi-même et autrui. Il n'y a dès lors plus de place pour le retour sur soi et à la réconciliation; l'espérance s'évanouit et les solitudes se font plus lourdes et implacables.

Nous sommes confrontés à une violence intergénérationnelle, qui vient également impacter les relations homme-femme, le rapport aux mondes médical et entreprenarial, etc.

Violence sourde, d'autant plus inflexible qu'elle ne s'assume pas comme telle. Ne prétend-elle pas s'exercer au nom des « droits » des femmes et de leur émancipation ? Voilà de nobles motifs, permettant d'occulter à bon compte des réalités plus sordides. D'autres voyaient dans l'esclavage un moyen de conversion; l'histoire bégaie.
______

Écrit par : Blaise / | 20/01/2014

RU

> Et comme souvent, pour avoir une info, non pas nécessairement objective, mais au moins "différente" sur le sujet :

http://french.ruvr.ru/2014_01_20/France-un-fascisme-inverse-mis-en-place-9394/
______

Écrit par : Feld / | 20/01/2014

TRADUCTIONS

> Dans la Bible de Jérusalem et la Louis Segond, il est plutot question de "terre stérile" à laquelle Elisée va porter remède par le pouvoir de purification (thaumaturgique) qu'il tient de Dieu.
Il n'y est pas question précisément de quelque chose comme d'une terre ou se pratique l'acte d'avortement humain, ni d'une terre de malediction ou très expressément se multiplient les fausses couches, mais d'une terre maudite de manière générale, ou Elisée apporte le secours de Dieu.
Quelle traduction de la Bible utilisez-vous, Aventin?
Sinon ça me semble une traduction tendancieuse qui porterait à conforter les détracteurs des chrétiens dans leur idée que nous ne sommes qu'une bande de (dangereux) fanatiques.
______

Écrit par : christophe b / | 20/01/2014

En accord intime avec Barbara.

> Il arrive parfois que l'on se demande, sentant s'épuiser toute (bonne) volonté de s'opposer : mais comment en est-on arrivé là ?
Nous savons bien avec le prophète Jérémie que "le cœur de l'homme est compliqué et malade", mais comment est-il possible que plus personne, ou presque, ne semble percevoir, jusqu'à en souffrir, la dimension intrinsèquement violente de l'avortement ?
Ni, comme le souligne Barbara, à quel point cette abdication de la raison et du bon sens fait le lit de la barbarie ?
Comment en est-on arrivé à accepter que la vie soit ainsi soumise à l'arbitraire de l'hédonisme tout-puissant ?
Et voir cette gauche humaniste jusqu'à l'absurde, animée d'un projet de transmutation de l'homme, certaine de posséder le gène du progrès humain et du Sens de l'Histoire, voir cette gauche être rien de moins que confortée par une droite amorale et ondulante, pharisienne et tout aussi obsédée de pouvoir, voir ces deux rejetons d'un même refus de Dieu, aussi roué l'un que l'autre, faire semblant de s'opposer tandis qu'in petto ils sont d'accord pour sceller la condamnation de plus de deux cent mille vies par an, voir cela me procure une certaine répulsion.

Sur le fond, que vienne, proposée par nos frères évêques, une réflexion profonde sur ces réalités inséparables que sont la mort, la peur de mourir, la fragilité, le plaisir, l'argent, l'avortement, quand commence la vie ?, l'euthanasie, où s'arrête la dignité ?, le relativisme, la violence, le besoin d'amour, la beauté, la vérité, la conscience, l'homme et la femme, la famille, la sainteté, l'espérance, l'amour qui sauve, le désir du retour de J-C.
Prions ensemble.
______

Écrit par : Jean-Marie Achéritéguy / | 21/01/2014

Haglund,

> vous avez raison de parler de la détresse des femmes qui se découvrent enceintes et pour qui cela représente un dilemme terrible.
Nous n'y sommes pas moins sensibles que vous : c'est la réponse apportée à cette détresse qui nous révolte car elle supprime une vie innocente.

Or, cette réponse donne les images que vous refusez d'entendre et de voir et je vous comprends. Le jour où je les ai vu je n'ai plus pu me dire "pour le choix", je vous assure.

Ensuite, n'oublions pas que les causes d'avortements ne sont plus majoritairement liées à une situation de détresse puisque justement on entend aligner le texte sur la réalité en supprimant la notion de détresse dans le texte (notion d'ailleurs floue), car elle ne correspond plus à ce qui est devenu un droit absolu.
______

Écrit par : DV / | 21/01/2014

EXPERIENCE

> Pendant 18 mois/2 ans j’ai discuté avec des femmes confrontées ou ayant été confrontées à l’avortement.
Certaines avaient avorté dans les années 70 et avaient besoin d’en parler.
35 ans après.
La majorité de celles qui étaient confrontées y étaient poussées par leur entourage.

Il en ressortait que le Planning Familial ne conseille absolument pas, et ne fait que pousser à avorter : « eh ma p’tite, si on vient ici c’est pour avorter. C’est un droit. »
En quelques jours elles doivent assimiler des masses de sophismes : « c’est une partie de toi, donc tu en disposes », « c’est un être en devenir ». Le tout dans l’urgence et l’affolement.
Les prises de rendez-vous avec le donneur de mort. Les attentes dans des couloirs à linoléum où pèse une chape de mauvaise conscience ou d’affectation de bonne conscience.

« Si t’avortes pas, je te largue » est la phrase la plus souvent rapportée. « c’est dégueulasse de me mettre un gosse sur le dos ».
Et les copines, la sœur du copain qui vous fait la gueule.
Après l’avortement, souvent elles rentrent seules. En face d’elle soi dans le métro, il y a un bébé sur les genoux de sa mère.
L’une d’elles racontait que revenue chez elle, son copain jouait sur l’ordi ou était au téléphone.
Une autre que son copain avait téléphoné. Il voulait savoir si « l’ivg avait bien marché ». Il était content.

Mais souvent aussi la fille est accompagnée. Au début le couple est content, ça y est, on ‘en’ est débarrassé.
Les jours qui suivent, on va en cours, au bureau.
Et puis le temps passe. Il y a un pot de naissance au boulot, on y pense.
Quelquefois vient la fin de la relation avec le père et là elle se dit « tout ça pour ça ».
On y pense. On se refuse le droit d’être triste, méthode Coué « c’était le mieux à faire »
Certaines ont cherché à revoir le médecin, la conseillère Planning ; l’accueil est toujours glacial « pourquoi vous revenez ? »
Certaines écrivent des poèmes au bébé. J’en ai lu. Elles lui donnent un nom, elles lui parlent.
D’autres gomment tout. Ça disparaît, sujet interdit.
Et puis un jour, la sœur, la copine, fonde sa famille. Et là on se rend compte qu’on n’a pas arrêté d’y penser, d’avoir ça au fond de la mémoire.
Quelquefois aussi, on apprend que le père avec lequel on s’est séparé depuis longtemps « en a eu un autre » avec la fille avec laquelle il s’est installé depuis.
Et on y pense.

Et puis on rencontre quelqu’un. On se rend compte qu’il faut lui en parler parce que ça fait partie de soi.
Il arrive aussi que de discussion en discussion, la femme prenne conscience que l’avortement c’est se faire introduire un objet froid dans l’intimité corporelle et que cet objet à aspirer quelque chose qui était en elle, une partie d’elle, au point de modifier leur corps. Que cet acte froid a pris une partie d’elle. Qu’un vie est partie. Et là c’est la prise de conscience que l’avortement est un viol.
Tout femme avortée est une femme violée. Et c’est légal.
A qui en parler ? on lui demande de se taire : « tu vas favoriser les arguments des pro life ». A nouveau le chantage.
______

Écrit par : E Levavasseur / | 21/01/2014

LES MOTS QU'ON NE VEUT PAS ENTENDRE

> ça ne change pas grand chose sur le fond mais '26 à 27 avortements pour 100 naissances' cela ne fait pas 'un enfant conçu sur quatre est volontairement éliminé' mais ' UN enfant conçu sur CINQ est volontairement éliminé' (le total des conceptions est 100 + 26 ).
Le scandale est effectivement dans le chantage exprimé dans la conclusion de E.L. : on demande à la femme qui choisit/subitl'avortement de se taire , pour pouvoir laisser les suivantes y avoir recours ! Le syndrome arrive des années plus tard, donc on veut décorréler les 2 événements, taire le lien , alors qu'il y a bien un deuil à faire.

Là encore, les partisans promeuvent du déni, refusent de mettre un nom sur un acte : avorter oblige à faire le deuil d'un enfant. Deuil, enfants : 2 mots qu'ils ne veulent pas entendre.
______

Écrit par : franz / | 21/01/2014

L'ANNEE DE L'APPEL

> Grand moment pour mon ego ! Je parcours un fil auquel je n'ai pas encore participé, et voilà que je découvre (sous la plume de DV) un appel à contribution ! Je ne demande pas mieux, mais le sujet me demande de peser un peu ce que j'écris, et j'ai beaucoup de boulot. Demain, j'essaie de passer une tête.
______

Écrit par : Haglund / | 21/01/2014

Pour contribuer à ce fil :

> Déclaration de l'évêque du Havre : http://www.lehavre.catholique.fr/contenu/2014/mgr-brunin/declaration%20en%20faveur%20dune%20culture%20de%20la%20vie%20janvier%202014.pdf

Et l'émission "Le Grand Témoin" sur Radio Notre Dame, du lundi 20 janvier 2014 : Anne-Hélène Frustié, représentant en France de l’initiative de la démarche Rompre le silence (ivg-romprelesilence.fr) : http://radionotredame.net/wp-content/uploads/podcasts/le-grand-temoin/le-grand-temoin-20-01-2014.mp3
______

Écrit par : Pema / | 23/01/2014

Les commentaires sont fermés.